QUOTE(cristiano @ 15 Mar 2006, 12:38 PM)
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voui mais tu étais plus jeune !! beaucoup plus jeune
@+ Erwann
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On sort surtout beaucoup plus facilement en slalom/ freeride qu'en vague
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Les waveux ont aujourd'hui l'alternative du freestyle pour s'amuser quand les condtions de vagues ne sont pas présentes ou le vent trop light, en slalom, avec les voiles actuelles qui vrillent plus (idem pour celle de vague d'ailleurs), on peut les tenir très loin, même si c'est dans ce cas au détriment de leur performances (faut pas rêver).
Je comprend aussi la façon de penser de Jean-sé pour un même programme avec une voile unique :
- pas trop d'air, je vais à la vague pépère mais je me tape du surf royal,
- du bon air, je suis le roi du spot,
- trop d'air, je privilégie le contrôle, je surfe à l'abri de la vague et j'envoie du beau jump de temps à autre en récupérant un peu plus que dans des conditions parfaites et j'évite d'être trop radical,
- toujours fonction des conditions, je suis à tel endroit plutôt qu'un autre, parce que j'aurai un meilleur contrôle, donc la session sera meilleure,
J'ai pratiqué pas mal de cette façon, qu'il me corrige si je me trompe, la dernière remarque est valable pour tout le monde et quelle que soit la pratique : faut parfois savoir se faire humble pour mieux profiter de sa session
Reste ensuite à savoir si on est un accro de la moindre risée et bien évidemment comme ça a déjà été dit fonction de la situation géographique. Le cas du parisien qui va naviguer relativement régulièrement ailleurs, c'est du grand commun et ça nécessite inévitablement beaucoup de matos, entre les conditions qu'il pourra rencontrer aussi bien sur les plans d'eau locaux que lors de ses virées de l'ouest au sud, sans oublier le nord.
Reste quand même une réflexion de fond sur le matos utilisé et la plage d'utilisation préférentielle de celui ci, or avec une bonne adéquation, on peut quand même le limiter considérablement :
- en vague avec des planches freestyle ou les nouveaux concept de volume pour vagues européennes,
- en slalom idem
Ceci pour celui qui pratique un peu toutes les disciplines. Or on n'est pas particulièrement conscient des possibilités qui s'offrent aujourd'hui grâce à certaines planches. J'ai été scié de la polyvalence de certains (rares !) modèles pour en avoir essayé dans des conditions complètement hors programme à priori et je pense qu'il faut aujourd'hui remettre un peu en cause nos idées sur ce plan, un peu comme lors de la sortie des bonnes convertibles.
Evidemment, ce concept a ses limitations, il ne s'agit que d'adaptation et non de programmes définis et pour celui qui a des objectifs précis, il n'y a pas trop d'alternatives...