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grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

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Lesly
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par Lesly »



:fear:
Maria Chapdelaine
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par Maria Chapdelaine »

Xstar @ 15/09/2009 - 22h04 a dit:

le joker aime les demi vérités mélangées a beaucoup de conneries; comme d'hab de la daube sensationnaliste qui joue sur les frustrations.


http://www.hoaxbuster.com/hoaxteam/forum_contributions.php?idForum=3152&idMess=79422




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Xstar
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par Xstar »

Lesly @ 15/09/2009 - 21h11 a dit:



Tu seras prié, Xstar, d'éviter de faire la mauvaise langue a l'avenir.  :speaking:




c'est bien la première fois qu'on se plaint de ma langue...
Maria Chapdelaine
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par Maria Chapdelaine »

Le Joker fait enquête



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nic 11
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par nic 11 »

1 septembre 2009 (Nouvelle Solidarité) — Elaborant sur les révélations du New York Times concernant la poussée spéculative qui cherche à développer au plus vite la titrisation des assurances vie outre-Atlantique, un article du site Marianne2 dénonce tout l’horreur de cette nouvelle invention.


Car, « plus le titulaire de la police d’assurance meurt vite, moins l’acquéreur a à cotiser longtemps et plus les profits sont hauts. D’où l’intérêt de viser les vieux et les malades. Or, si, dans la crise des subprimes, le risque était l’insolvabilité des foyers américains ayant emprunté pour acheter un bien immobilier, le risque de ces subprimes de la mort, c’est que les détenteurs des polices vivent trop longtemps ! C’est pourquoi les mathématiciens et agences d’évaluation du risque prévoient déjà la nécessité d’une diversification dans les portefeuilles : un peu de leucémie, une maladie coronarienne, de l’Alzheimer et vous me rajouterez un ou deux cancéreux... Les maladies ayant la plus grande chance d’être soignées compensant les incurables. On ne sait jamais qu’un traitement soit trouvé pour l’un d’eux et que sa durée de vie double : on pourrait perdre sa mise ! »


Encore mieux, Marianne2 révèle que la France dispose elle-même d’une petite expérience dans ce domaine :


« Au début des années 2000, la Macif avait déjà commercialisé des titres d’assurance auto : rachetant les polices d’assurances aux conducteurs, elle avait permis de fabriquer des produits pour spéculer sur les accidents de voiture ! Pris de remords, se souvient une journaliste spécialisée dans les questions de retraites, certains employés avait fait fuiter l’affaire dans la presse... n’empêchant pas d’autres mutuelles de prendre le relais. »


Autre pavé dans la mare révélé par l’article, c’est le fait qu’Axa, un des géants français de l’assurance, dans le cadre d’une « séminaire d’innovation », présentait dès le mois de mai 2007 le formidable potentiel de la titrisation des risques d’assurances.


Les experts d’Axa y salivaient sur les bonnes perspective que pourraient offrir cette « titrisation de la mort » dans le cadre d’une pandémie de grippe, surtout si les décès étaient aussi élevés que ceux de la grippe espagnole en 1918 !


« Ironie du sort », conclut Marianne2, « parmi les premiers clients de ces produits ont déjà pris place... les fonds de pension vieillesse ! »


Article : Wall Street veut titriser la mort


Signez dès aujourd’hui : l’appel pour la création d’une enquête parlementaire sur la crise financière
nic 11
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par nic 11 »

revient the joke chui chaud du papier collé :dev:
yvonik
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par yvonik »

L

e professeur Bernard Debré, député UMP de Paris, n'est pas ce qu'on peut appeler un factieux. « La politique gouvernementale me fait chaud au coeur », déclarait-il encore le 8 juillet dernier. Et pourtant, c'est un beau pavé qu'il vient d'envoyer dans la mare gouvernementale.


Dans un entretien au Journal du Dimanche, il dénonce l'instrumentalisation politique d'une « grippette sans danger » qui, de son point de vue de médecin, ne mérite pas les centaines de millions dépensés :


   « Cette grippe n'est pas dangereuse. On s'est rendu compte qu'elle était peut-être même un peu moins dangereuse que la grippe saisonnière. Alors maintenant, il faut siffler la fin de la partie ! »


Bernard Debré considère qu'on a tendance, à tort à assimiler la grippe A H1N1 avec la grippe aviaire, H5N1, mortelle pour l'homme :


   « Nous appréhendions une redistribution des gènes pouvant faire sortir un virus très virulent et très contagieux. Cette loterie a eu lieu. Mais elle a produit un bon numéro : le H1N1. On redoutait un valet de pique, on a tiré une dame de coeur… »


« Va-t-on se mettre à comptabiliser les diarrhées ? »


Actuellement la grippe A H1N1 a fait 800 morts dans le monde, et elle a déjà, selon les experts, passé le pic de contamination. Le risque d'une mutation existe, mais il n'est pas privilégié par les virologues.


Le député analyse l'enchaînement de la panique : l'OMS a d'abord, « de façon un peu rapide, commencé à gesticuler, avec des communiqués quotidiens et des conférences de presse à répétition ». Puis les gouvernements ont suivi, ils n'avaient pas vraiment d'autres choix. Mais c'est ensuite que Debré place sa pique la plus sévère :


   « Je leur reproche d'avoir ensuite succombé à une surmédiatisation politique de cet événement. »


Et il ne se cache pas de viser le gouvernement français :


   « Il y a 800 cas répertoriés en France. C'est une plaisanterie ! Va-t-on se mettre à comptabiliser les diarrhées ? (…) Il est inutile d'affoler les populations sauf à vouloir leur marteler, à des fins politiques, le message suivant : bonnes gens , dormez sans crainte, nous veillons sur vous. »


100 millions de doses de vaccins commandées


Vendredi, lors d'uin déplacement dans les Yvelines en compagnie de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, le Premier ministre François Fillon continuait encore à agiter le spectre d'une catastrophe sanitaire à venir, tout en martelant que la France était « prête » à l'affronter :


   « L'augmentation de cas confirmés au niveau mondial se poursuit, la situation est très préoccupante dans l'hémisphère Sud (…) et en Europe. La situation du Royaume-Uni, qui est le pays le plus touché, nous laissent penser que la pandémie est naturellement inévitable. »


Sur Europe 1, il répondait aussi aux critiques :


   « J'entends

   bien quelques commentaires sur le registre “n'en font-ils pas trop ? ”

   (…) On a une crise économique déjà assez sévère pour pas y rajouter

   une paralysie du pays pour cause de pandémie




Nouvel épisode dans le feuilleton grippe A : d'après une étude britannique publiée dans le très sérieux British Medical Journal, le médicament Tamiflu aurait plus d'effets indésirables que de bénéfices avérés. Un rebondissement qui devrait agiter un peu plus les détracteurs du « phénomène H1N1 » et alimenter les nombreuses polémiques et théories du complot que le virus a déjà répandues.


La controverse scientifique : la grippe A est-elle vraiment dangereuse ?


En France, le professeur Bernard Debré a, le premier, émis des réserves sur la virulence de la grippe A, la qualifiant fin juillet de « grippette » :


   « Nous appréhendions une redistribution des gènes pouvant faire sortir un virus très virulent et très contagieux. Cette loterie a eu lieu. Mais elle a produit un bon numéro : le H1N1. On redoutait un valet de pique, on a tiré une dame de coeur… »


Faux, répond Meriadeg Le Gouil, virologue à l'Institut Pasteur, pour qui « c'est un phénomène qu'il faut prendre au sérieux et traiter avec la plus grande prudence ». La communauté scientifique s'attend à ce que le virus mute radicalement à l'automne, mais là encore, pas de certitudes.


Mais plus que le virus, ce sont aujourd'hui les moyens de lutter contre qui font débat. Ce mardi, le British Medical Journal avertissait les autorités des effets indésirables (nausées, crises d'asthme etc.) chez les enfants traités avec le médicament anti-grippe A, le Tamiflu.


Pour les auteurs de l'étude, il est donc « inapproprié » de traiter cette maladie relativement bénigne avec ce médicament aux « bénéfices limités », le Tamiflu ne faisant que « réduire l'affection d'une journée et demi » et limiter les risques de contagion.


Quant aux effets du vaccin contre la grippe A, là aussi, les doutes sont nombreux. Est-il bien raisonnable de faire vacciner tout le monde ? Est-ce efficace, ou au contraire dangereux ? La course effrénée que se livrent les laboratoires pharmaceutiques inquiète. Même l'OMS le reconnaît :


   « Les contraintes de temps signifient que les données cliniques seront inévitablement limitées quand les premiers vaccins contre la pandémie seront administrés. »


Sur Internet, la suspicion est de mise et l'analogie avec les épidémies de grippes précédentes est fréquente, comme sur le site Mecanopolis :


   « En 1976, les mêmes complices ont fait un spectaculaire coup d'argent en inventant une crise pandémique relayée par les médias. Résultat ? De tous ceux qui ont été assez imbéciles pour se faire vacciner… 5% sont morts, directement après avoir reçu le virus (qui n'était visiblement pas inoculé) ; et 10% ont été terrassés par des handicaps débilitants sévères (comme le syndrome de Guillain-Barré et bien pire). »


La controverse médiatique : en fait-on trop ?


Pour Dominique Wolton, directeur de recherche au CNRS et spécialiste des médias :


   « Ils font globalement moins de catastrophisme qu'il y a vingt ans, mais la mondialisation de l'information accentue l'effet sensationnaliste. »


Car quand un mort est signalé à l'autre bout du monde, l'AFP en fait immédiatement une « alerte », reprise en choeur par les médias en une avalanche de chiffres déclinés en feuilleton.


Quant aux responsables politiques, ils saturent les canaux de communication, multipliant les messages plus ou moins alarmistes. Dernier en date : Luc Chatel se déclare prêt à « fermer toutes les écoles » dans une interview au Figaro ce mercredi.


Résultat, les médias sont accusés de relayer et d'orchestrer la psychose, comme sur le blog du mensuel satirique l'Oppressoir :


   « Les Français sont aveuglés par la pétoche. C'est distrayant, c'est facile, ça évite de se concentrer sur l'essentiel et, finalement, de se rebeller légitimement. Merci les journaleux. »


La controverse complotiste : qui veut tuer l'humanité ?


Dans le brouhaha médiatique, les tenants de la théorie du complot tentent de se faire entendre, comme Alex Jones, cinéaste et animateur de radio aux Etats-Unis.


Dans le « Alex Report Show », les intervenants - le docteur Rima Laibow, spécialisée dans la médecine naturelle, et son époux Bert Stubblebine, ancien général de l'armée américaine - expliquent avoir la preuve que le virus est « génétiquement fabriqué et militarisé » et que le vaccin est un poison destiné à « se débarrasser de nous et à en tirer profit ». Le même Stubblebine avait déjà remis en cause la « version officielle » des attentats du 11 septembre.


Preuves de ce génocide planifié, selon Alex Jones, les scandales sanitaires (bien réels) dans lesquels Baxter, l'un des groupes pharmaceutiques prêt à commercialiser le vaccin contre la grippe A, a été impliqué.


L'an dernier, le groupe américain a en effet reconnu sa responsabilité dans le « scandale de l'héparine » : 81 décès à l'héparine altérée, 758 cas d'allergies sévères à cet anti-coagulant. En cause : l'utilisation d'une molécule moins coûteuse, le sulfate de chondroïtine sursulfaté (SCS) à la place de l'héparine.


Et, en 2008, la fabrication d'un vaccin expérimental contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire a failli provoquer une pandémie. Accidentel, selon Baxter ; prémédité pour Jones.


Et Jones n'est pas le seul à croire à un complot. Une plainte après du FBI a été déposée pour prévention d'un génocide mondial par une journaliste autrichienne, Jane Burgermeister (voir son blog ici).


La journaliste d'« investigation » assure avoir des preuves d'actes de bioterrorisme dans lesquels des personnalités et institutions de premier plan seraient mouillées. En vrac : l'OMS, l'ONU, Barack Obama, David de Rothschild, David Rockefeller, Georges Soros, Werner Fayman (chancelier d'Autriche) etc.


En France, l'association « SOS-Justice », après avoir « découvert cette plainte sur Internet », a demandé au parquet de Nice fin juillet l'ouverture d'une « enquête criminelle pour prévention d'une crise sanitaire grave ».


Pour la présidente de l'association, Mirella Carbonatto, pas de doute, il s'agit bien d'un vaste complot ourdi par les élites du monde entier pour se débarrasser d'une partie de la population. Au téléphone, elle assure :


   « Ils sont déjà à mes trousses, je suis sur écoute ».


Enfin, en Israël, dans un autre genre, plusieurs dizaines de rabbins kabbalistes ont survolé mardi à bord d'un avion le territoire en priant contre la grippe porcine




Comment contourner une rentrée difficile en distrayant l'attention ? C'est ce à quoi s'emploie le ministre de l'Education nationale avec ses interventions répétées sur la grippe A. Face à une maladie sur la gravité de laquelle le monde médical apparaît divisé -en France, pas plus d'un millier de personnes touchées, pas un seul mort imputable à la grippe- les mesures annoncées relèvent d'un catalogue à la Prévert plus que d'une politique de santé scolaire bien pensée.


Le déballage médiatique vient à point nommé occulter la grande misère de la médecine scolaire : moins d'un médecin en moyenne pour 10 000 élèves, avec des départements sinistrés (en Mayenne, par exemple, en 2006, avec seulement deux médecins pour 60 000 élèves), arrêt du recrutement, licenciement des vacataires. Si l'épidémie de grippe est aussi terrifiante qu'on nous le présente, un effort dans ce domaine aurait sans doute été le bienvenu, de même d'ailleurs, que la prise en considération du triste état des sanitaires dans les écoles, dont le délabrement est régulièrement montré du doigt.

Détourner l'opinion publique des questions qui fâchent


Mais pour un ministre tenu par des contraintes budgétaires, la fermeture des établissements et l'appel à la « solidarité familiale » sont évidemment d'une mise en œuvre plus abordable… et politiquement plus rentable.


Placer la rentrée scolaire sous le signe de la grippe offre également pour un responsable politique l'immense avantage de détourner l'opinion publique des questions qui fâchent et dont les conséquences conditionnent pourtant l'avenir des élèves bien plus sûrement qu'une hypothétique épidémie, jusqu'à présent plus imaginaire que réelle.


L'opinion publique, manipulée sans relâche depuis plusieurs semaines par les médias à l'écoute de la moindre déclaration d'un ministre qui apparaît ici plus dans son rôle de porte-parole du gouvernement que de responsable de l'éducation, atteint un niveau de conditionnement qui lui fera considérer tout le reste comme négligeable voire indécent : négligeable, la suppression continue des postes d'enseignants (13 500 pour cette seule rentrée) malgré l'augmentation des effectifs scolaires ; négligeable, la publication en catimini, en pleine période de vacances, des décrets potentiellement désastreux sur la formation des enseignants ; négligeable, encore les lourdes sanctions prononcées, toujours pendant l'été, contre les enseignants « désobéisseurs », signe que l'actuel ministre ne renonce en rien à l'autoritarisme de son prédécesseur.


Alors que la peste rôde autour de nos écoles et de nos cités, qui oserait interpeller le gouvernement avec d'aussi mesquines préoccupations ?

Entretenir autour des élèves un climat de peur et d'angoisse


Susciter une peur irraisonnée et en jouer à des fins politiques : ce virus providentiel offre aux autorités l'occasion de passer sans trop d'encombres les semaines toujours hasardeuses de la rentrée scolaire. La dramatisation entretenue par le ministre de l'Education nationale autour d'un problème de santé publique, qui, jusqu'à plus ample informé, reste bénin dans ses manifestations, relève en outre d'une rhétorique dont le gouvernement use et abuse depuis de nombreuses années : l'école est un lieu dangereux, où l'élève vit en permanence sous la menace.


Lorsqu'il n'est pas lui-même menaçant, l'élève est menacé, ce qui justifie n'importe quelle réponse de type sécuritaire ou autoritaire, comme, par exemple, la vaccination généralisée des élèves -pas prévue pour l'instant mais il suffit d'attendre- malgré les sérieuses réserves que suscite le vaccin… ou la vidéosurveillance et les portiques de détection dont les parlementaires de droite ont voté le principe au printemps dernier.


Quoique la vidéosurveillance ne soit pas plus utile pour prévenir la violence que le vaccin pour prémunir de la grippe, les responsables politiques attendent de ce type d'annonces la reconnaissance par l'opinion de leur efficacité, de leur compétence. Trois élèves touchés par le virus suffiraient à faire fermer une classe ? Mais chaque année, les écoles sont décimées par des épidémies de grippe saisonnière ou de gastroentérite sans qu'on n'ait jamais envisagé le moindre confinement, ni d'ailleurs, que cela fasse la une de l'actualité.


On voit bien qu'avec le plan contre la grippe A, l'enjeu est ailleurs : il ne s'agit pas tant de préserver la santé des élèves que d'entretenir autour d'eux un climat de peur et d'angoisse, un climat dont le gouvernement saura toujours tirer le plus grand profit.





ENJOY
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par Ouazou »

...ouf! trop long...pas l'temps!
louping
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par louping »

vous avez pas la version à écouter...
Dr Moreau
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par Dr Moreau »

thejoker @ 15/09/2009 - 19h07 a dit:

Une information de Jean Jacques Crèvecoeur…


« Je vous envoie ce (...)




Une conséquence imprévue de la campagne de prévention.

Initialement prévue pour se laver les mains, la solution hydroalcoolisée consommée à l'apéro va faire plus de dégâts que la grippe.
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par thejoker »

bon alors tout baigne :

personne ne va nous vacciner de force

la grippe A est moins dangereuse que la grippe saisonniere

et on peut donc boire les solutions hydroalcoolisée?
Lesly
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par Lesly »

thejoker @ 16/09/2009 - 14h05 a dit:

bon alors tout baigne :

personne ne va nous vacciner de force

la grippe A est moins dangereuse que la grippe saisonniere

et on peut donc boire les solutions hydroalcoolisée?



Oui vas-y, s'il te plait!

Le flacon cul sec!
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par DW_anonyme »

Mettre de l'alcool au taf c'est une bonne chose, mais il faudrait peut-être se poser la question du goût. C'est infâme !
fredmam
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Re :grippe a ou arnaque, qu'en pensez vous?

Message par fredmam »

T'aurais pu faire un sondage genre oui, non, j'men tape ?
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