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ouep un bon JAI des familles comme le dit Rone... en plus gros boulet ptilou a oublié la latte...
pour ma part une grosse progression en surf backside plus trachant et radical..
un BL posé tout en douceur.. mais voile dans l'eau impossible de la remonter
Je pense que j'ai du faire le bon mouvement jusqu'a l'aterrisage.. et chopé la bonne vague au bon moment.. du coup la rotation s'est faite plus vertical et moins horizontal comme souvent au jai.
3 h de nav bien gras.. en 5.7 puis 4.7.. j'suis rincé la !!
big up a ptilou et renaud pour leur back tourné, et lachage de renaud en FWD
nav en 4.5 puis 3.9 : c'est bon
c clair un jaï bien velu!!!
arrivé à 18h j'ai failli partir en 4.7 sur les (mauvais) conseils de rone...
heureusement que j'ai pas gréé trop vite, le rone qui rentre surtoilé en 4.5...
donc pdt 1h30 en 4m bien bien toilé
qq backplouf donc un pas mal tourné (devant rone!)
Sinon entrainement à la rotation avant en envoyant mais sans les pieds dans les straps, juste pour avoir la sensation. qq tours assez violents et un tout en douceur, quasi 3/4 de rotation.
une tentative de vrai loop, mais bon... une belle gauffre au final
ca vient en tout cas...
de bons aerials backside replaqués, mais bon c'est trop facile en on-shore!
mais bon c'est joussif de taper son petit saut en back et de replaquer dans la vague... pour repartir en surf direct!!!
par contre en frontside... mauvais le gars!!!
dernier bord à trois, c'était bien cool en lachage de back
A mediter (histoire peut etre connu chez vous) deux setois :
Session inoubliable
Ce jour restera dans nos mémoires et renforce nos liens. Récit :
“Vers 19h00 nous sommes à l’eau, quelques bords avec un vent moyen, 19h30 le vent tombe progressivement, avec mon entraînement, la connaissance de mon matériel et mon poids je m’en sors mais Toph coule. Après plusieurs tentatives, l’épuisement, la fatigue et le froid il ne peut plus rentrer. Nous dérivons dangereusement, en moins d’une 1/2 heure nous sommes au large de Fort Brescou (environ 2 milles nautiques). Isa qui immortalisait nos exploits avec le téléobjectif, voit qu’il se passe quelque chose d’anormal, elle déclenche les secours à 19h52. De notre côté nous prenons une première décision nous démontons mon gréement (Zone 5,2) le fixe à mon flotteur (Pro Wave 66) je détache le tire veille l’attache au straps de mon autre flotteur (Freestyle Pro 90) Toph s’accroche au flotteur remorqué et je prends la manoeuvre avec l’Expression 5,7. Mais avec le poids du gréement démonté et le faible volume de la planche Toph ne tient pas, notre dérive continue. il lâche le gréement plié. il arrive à s’allonger plus facilement. La nuit est installée.
Nous entendons l’hélicoptère mais il nous cherche en remontant le vent ???
Je me fixe des objectifs terrestre avec les éclairages côtiers d’abord la plage des conques, la plage du Môle, de la roquille, le port Ambonne, la plage des naturistes, la réserve du Bagnas... nous avançons un peu mais nous dérivons beaucoup aussi, je ne peux pas remonter au vent avec la remorque.
Je n’arrête pas de parler pour que Christophe me réponde mais il a de plus en plus froid et il a des crampes. J’ai raconter un tas de connerie pour qu’il me parle.
Que font les secours ???
Je me fixe toujours des objectifs maintenant c’est les phares du port de Marseillan. Je pompe pour essayer de gagner de la vitesse avec le peu de vent. Je me concentre pour ne pas tomber sur Christophe, mais avec le peu de volume sous les pieds je force, heureusement que je m’entraîne souvent.
Vers 22h47, nous entendons un moteur, et puis une lumière se rapproche, les sauveteurs de la SNSM sont là.
La délivrance.
Première étape hisser Toph sur le bateau, je monte à bord et ensuite nous attrapons le matériel, je démonte le gréement. Après je rejoins mon équipier dans la cabine, il est au sec mais en état d’hypothermie. Direction le Cap d’Agde. Nous arrivons, mon copain est pris en charge par les pompiers. Résultat hypothermie 32° (à 30° il perdait connaissance). Isa m’attend, nous chargeons le matos, je me douche, et vers 2 heures du matin nous avons été cherché Toph aux urgences, il avait repris des forces.
Que serait il passé si nous n’avions pas croisé la vedette des sauveteurs ? Nous étions à 1,5 milles de Marseillan.
Un très grand merci à la SNSM de Sète et au Cross Med surtout pour l’assistance psychologique pour Isa.
Une conclusion heureuse : nous sommes vivants.
La morale de l’histoire naviguez à plusieurs, informez de votre départ à une personne qui reste à terre, équipez vous d’une fusée de détresse, ne quittez jamais votre flotteur, et ne partez pas sans entraînement.
Si un jour vous retrouvez une Zone 5,2 bleu, un mât Ultra Wave X9 et un wishbone X9 appelez moi !!!
Si c'est beau, mais jvoudrais vendre la severne avant de prendre une 65, si j'arrive pas à la vendre d'ici mon départ à maui, je risque de devoir prendre une 69 :/
A mediter (histoire peut etre connu chez vous) deux setois :
Session inoubliable
Ce jour restera dans nos mémoires et renforce nos liens. Récit :
“Vers 19h00 nous sommes à l’eau, quelques bords avec un vent moyen, 19h30 le vent tombe progressivement, avec mon entraînement, la connaissance de mon matériel et mon poids je m’en sors mais Toph coule. Après plusieurs tentatives, l’épuisement, la fatigue et le froid il ne peut plus rentrer. Nous dérivons dangereusement, en moins d’une 1/2 heure nous sommes au large de Fort Brescou (environ 2 milles nautiques). Isa qui immortalisait nos exploits avec le téléobjectif, voit qu’il se passe quelque chose d’anormal, elle déclenche les secours à 19h52. De notre côté nous prenons une première décision nous démontons mon gréement (Zone 5,2) le fixe à mon flotteur (Pro Wave 66) je détache le tire veille l’attache au straps de mon autre flotteur (Freestyle Pro 90) Toph s’accroche au flotteur remorqué et je prends la manoeuvre avec l’Expression 5,7. Mais avec le poids du gréement démonté et le faible volume de la planche Toph ne tient pas, notre dérive continue. il lâche le gréement plié. il arrive à s’allonger plus facilement. La nuit est installée.
Nous entendons l’hélicoptère mais il nous cherche en remontant le vent ???
Je me fixe des objectifs terrestre avec les éclairages côtiers d’abord la plage des conques, la plage du Môle, de la roquille, le port Ambonne, la plage des naturistes, la réserve du Bagnas... nous avançons un peu mais nous dérivons beaucoup aussi, je ne peux pas remonter au vent avec la remorque.
Je n’arrête pas de parler pour que Christophe me réponde mais il a de plus en plus froid et il a des crampes. J’ai raconter un tas de connerie pour qu’il me parle.
Que font les secours ???
Je me fixe toujours des objectifs maintenant c’est les phares du port de Marseillan. Je pompe pour essayer de gagner de la vitesse avec le peu de vent. Je me concentre pour ne pas tomber sur Christophe, mais avec le peu de volume sous les pieds je force, heureusement que je m’entraîne souvent.
Vers 22h47, nous entendons un moteur, et puis une lumière se rapproche, les sauveteurs de la SNSM sont là.
La délivrance.
Première étape hisser Toph sur le bateau, je monte à bord et ensuite nous attrapons le matériel, je démonte le gréement. Après je rejoins mon équipier dans la cabine, il est au sec mais en état d’hypothermie. Direction le Cap d’Agde. Nous arrivons, mon copain est pris en charge par les pompiers. Résultat hypothermie 32° (à 30° il perdait connaissance). Isa m’attend, nous chargeons le matos, je me douche, et vers 2 heures du matin nous avons été cherché Toph aux urgences, il avait repris des forces.
Que serait il passé si nous n’avions pas croisé la vedette des sauveteurs ? Nous étions à 1,5 milles de Marseillan.
Un très grand merci à la SNSM de Sète et au Cross Med surtout pour l’assistance psychologique pour Isa.
Une conclusion heureuse : nous sommes vivants.
La morale de l’histoire naviguez à plusieurs, informez de votre départ à une personne qui reste à terre, équipez vous d’une fusée de détresse, ne quittez jamais votre flotteur, et ne partez pas sans entraînement.
Si un jour vous retrouvez une Zone 5,2 bleu, un mât Ultra Wave X9 et un wishbone X9 appelez moi !!!
latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,latte de Rone, latte de Rone, latte de Rone,
bon faut pas que j'oublie ta latte !!!
latte oubliée
En fait renaud en parlant de logo : rien vu sur ta voile
fait un gros coucou a un mec en simmer et exocet; parti nav avec lui, en fait finalement c'était pas hmagic (??): il a pas du comprendre le gars (remarque pas de DWXIII dans la voile; j'aurai du me mefier )
fuck fuck fuck, réunion d'agence que mon directeur est venu me rappeler, je suis sorti du taff à 19h30 :-//
du coup j'ai tracé à Epluchures, y avait 25 nds et peu de vagues, pas le temps de gréer avant la nuit, j'ai chopé mon surf et j'ai filé à l'eau en courant
Au final 1 grosse heure dans l'eau, grace à mon malibu j'ai pu prendre plein de vagues pas tres belles mais sympas quand meme.
J'ai surfé pieds nus, quel plaisir incomparable par rapport aux chaussons !!
Apparement vous vous etes bien gavés au Jai, c'est cool pour vous
Vivement la prochaine !
Ce week end 3 jours de séminaire à la Palmyre (c'est en dessous de la presqu'ile d'Oléron), va y avoir du surf !!!
hier Jai vers 14h côté piscine,vent bien moyen 18nds et au kite encore moins
j'ai attendu une heure puis 5.9 à l'eau
2 heures de nav avec un plan d'eau magnifique, le vent à continué à prendre des tours avec des claques autour de 30 nds
passage en 5.3 pour 1 heure
Rone je nav plus au large en partant de la piscine sauf sur la fin ou le vent à tourné nord ouest // à la plage, sur un bord je me suis retrouvé loin derrière toi vers le camping....
A mediter (histoire peut etre connu chez vous) deux setois :
Session inoubliable
Ce jour restera dans nos mémoires et renforce nos liens. Récit :
“Vers 19h00 nous sommes à l’eau, quelques bords avec un vent moyen, 19h30 le vent tombe progressivement, avec mon entraînement, la connaissance de mon matériel et mon poids je m’en sors mais Toph coule. Après plusieurs tentatives, l’épuisement, la fatigue et le froid il ne peut plus rentrer. Nous dérivons dangereusement, en moins d’une 1/2 heure nous sommes au large de Fort Brescou (environ 2 milles nautiques). Isa qui immortalisait nos exploits avec le téléobjectif, voit qu’il se passe quelque chose d’anormal, elle déclenche les secours à 19h52. De notre côté nous prenons une première décision nous démontons mon gréement (Zone 5,2) le fixe à mon flotteur (Pro Wave 66) je détache le tire veille l’attache au straps de mon autre flotteur (Freestyle Pro 90) Toph s’accroche au flotteur remorqué et je prends la manoeuvre avec l’Expression 5,7. Mais avec le poids du gréement démonté et le faible volume de la planche Toph ne tient pas, notre dérive continue. il lâche le gréement plié. il arrive à s’allonger plus facilement. La nuit est installée.
Nous entendons l’hélicoptère mais il nous cherche en remontant le vent ???
Je me fixe des objectifs terrestre avec les éclairages côtiers d’abord la plage des conques, la plage du Môle, de la roquille, le port Ambonne, la plage des naturistes, la réserve du Bagnas... nous avançons un peu mais nous dérivons beaucoup aussi, je ne peux pas remonter au vent avec la remorque.
Je n’arrête pas de parler pour que Christophe me réponde mais il a de plus en plus froid et il a des crampes. J’ai raconter un tas de connerie pour qu’il me parle.
Que font les secours ???
Je me fixe toujours des objectifs maintenant c’est les phares du port de Marseillan. Je pompe pour essayer de gagner de la vitesse avec le peu de vent. Je me concentre pour ne pas tomber sur Christophe, mais avec le peu de volume sous les pieds je force, heureusement que je m’entraîne souvent.
Vers 22h47, nous entendons un moteur, et puis une lumière se rapproche, les sauveteurs de la SNSM sont là.
La délivrance.
Première étape hisser Toph sur le bateau, je monte à bord et ensuite nous attrapons le matériel, je démonte le gréement. Après je rejoins mon équipier dans la cabine, il est au sec mais en état d’hypothermie. Direction le Cap d’Agde. Nous arrivons, mon copain est pris en charge par les pompiers. Résultat hypothermie 32° (à 30° il perdait connaissance). Isa m’attend, nous chargeons le matos, je me douche, et vers 2 heures du matin nous avons été cherché Toph aux urgences, il avait repris des forces.
Que serait il passé si nous n’avions pas croisé la vedette des sauveteurs ? Nous étions à 1,5 milles de Marseillan.
Un très grand merci à la SNSM de Sète et au Cross Med surtout pour l’assistance psychologique pour Isa.
Une conclusion heureuse : nous sommes vivants.
La morale de l’histoire naviguez à plusieurs, informez de votre départ à une personne qui reste à terre, équipez vous d’une fusée de détresse, ne quittez jamais votre flotteur, et ne partez pas sans entraînement.
Si un jour vous retrouvez une Zone 5,2 bleu, un mât Ultra Wave X9 et un wishbone X9 appelez moi !!!
un petit rappel a l ordre ca remet les idees en place ....vous avez eu chaud .... enfin facon de parler...