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Non le social démocrate qui aimait bien Clinton
Celui qui est responsable du renforcement de l'embargo sur l'Irak qui a tué selon les estimations les plus basses 1.5 millions d'irakiens dont 500 000 enfants de moins de 5 ans mais dont les journaleux à la solde du capital ont préféré retenir les coucheries avec la Monika, celui responsable de la guerre du Kosovo et des grandes manipulations médiatiques qui ont permis son déclenchement,......
Il faut dire que sa ministre des Affaires étrangères Madeleine Albright évidemment sous ses ordres ne valait pas mieux.
Dans le programme "60 minutes" de la chaine CBS, la présentatrice Lesley Stahl l'interroge sur les conséquences des sanctions économiques prises à l'encontre de l'Irak, sous la pression des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne.
Lesley Stahl : "Cinq ans après l'entrée en vigueur de ces sanctions, plus de 500 000 enfants sont deja morts. Je veux dire....c'est plus que le nombre de morts occasionnés par la bombe atomique lançée sur Hiroshima. N'estimez-vous pas que c'est trop cher payé ?"
Madeleine Albright : "Il s'agit évidemment d'un choix difficile. Mais nous estimons que cela en vaut la peine."
On peut dire que si le grotesque tribunal pénal international de La Haye n'était pas un tribunal américain ou plutot impérialiste, Clinton serai parmi les premiers jugés.
Et tout compte fait, si je devais choisir entre Bush et Clinton, je crois que je prendrai encore Bush mais vraiment si je n'ai pas le choix.
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Allende... Sans commentaires...même si le chili a connu une sombre période de dictature finallement cela ne l'a pas mal servi quand on compare ce pays au reste de l'amérique latine....
C'est vrai le Chili a au final connu ce que la quasi-totalité des pays d'Amérique latine ont connu. J'espère en tout cas que les USA et leurs chiens fidèles continuerons à pourchasser les rouges à travers le Monde au cas où ils revenaient au pouvoir quelques part, et que ces salauds de rouges se laisseront se faire massacrer sans réaction pour le bien de leur peuple.
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Estonie, ukraine, pologne, afghanistan et tout les autres... Ces pays auraient peut être aimé choisir d'eux même leur destin politique d'après guerre
Ukraine, Estonie (où des monuments à la gloire des SS sont aujourd'hui érigés), partie intégrante de l'URSS.
Pologne, je ne vois pas comment l'URSS dans le contexte de guerre froide pouvait laisser à ses portes un pays devenir un pion des USA, la nature ayant horreur du vide il est en effet probable que si l'URSS avait laissé ce pays choisir sa destinée les USA seraient arrivés pour installer un régime à leur solde et menacer l'URSS à sa frontière.
Afghanistan, j'aurai préféré vivre sous le régime soutenu par les soviétiques dans les années 70 que sous les talibans ou sous le régime mis en place par Washington aujourd'hui. Surtout si j'avais était une femme, il en va bien entendu autrement pour les barbouzes islamistes.
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... Mon pauvre tu as le profil du gars borné quand même... quand tout mes camarades de classe d'europe de l'est (et meme de russie) parlent de l'avant et de la souffrance qu'ils ont vécu ils ont les larmes au yeux... C'est vrai que le gars qui était employé à creuser un trou et à le reboucher pour un salaire d'ouvrier il peut être nostalgique...
Tes camarades ne font-ils pas partis des classes aisées d'aujourd'hui, celles qui ont dépouillé le peuple de leurs biens ? Car moi aussi, j'ai croisé quelques étudiants venant d'ex-pays communistes et qui bien entendu appartenaient aux classes privilégiées actuelles de la population donc leur haine du communisme n'est pas surprenante.
Sondage centre russe des analyses de l'opinion publique 21 décembre 2005 :
66% des russes se disent nostalgiques de l'ex-URSS, à travers un sondage
Les plus de 45 ans sont plus de 80 % à se dire nostalgiques
39% des jeunes russes ne regrettent pas la dissolution de l'URSS.
74% estiment que l'Union Soviétique était une grande puissance,
23% des russes sont convainus que avec sa dissolution les grandes conquetes du socialisme ont été supprimé.
Entre 74 et 78% des soutiens des partis Russie Unie, du PCFR et des nationalistes de Rodina regrettent la dissolution de l'URSS.
En contrepartie, 23% ne regrettent pas sa désintégration et sa division en 15 républiques.