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C'est du calcul Directwindesque .... tu peux trouver l'equivalent dans les tables U-Rinet... ou alors dans la loi de windsurfgore. Nos amis etrangers ont quasimment des methodes de calcul identiques.
Bref si t'es pas initié au debicul tu peux pas comprendre [right][snapback]383962[/snapback][/right]
Nous par exemple ! Bon quelle connerie je vais encore pouvoir trouver !
Il faut d'abord tenir compte du taux marginal de position, puis de l'age du capitaine (qui est à la hausse si j'ai bien compris). Ceci dit, la sublimation du flux marginal de capitalisation sous-jacente fait en sorte que le retour anticipé sur l'investissement virtuel , compte tenu du coefficient de rotation du stock est dans une phase haussière anticipée , malgré la ventilation chronologique normative. Bref c'est simple quoi !
Je fais partie des nouveaux pratiquants depuis deux ans, malgré mes 43 ans. Pourquoi ? 1/ J'ai toujours trouvé ce sport attirant mais dans les années 80, il fallait être hyper motivé et c'était dur de trouver des conseils. Dans le même temps, dans les années 80 j'étais étudiant et j'avais pas une tune.
2/ Il y a aujourd'hui des initiations pour les jeunes, faites sur du matos adapté, par des moniteurs compétents, et c'est en accompagnant mon fils que je m'y suis mis et que j'ai choppé le virus (avec une planche large de débutant en 2 h tu es capable de te diriger et de faire demi tour).
3/ Sur les deux premieres années j'ai investi env 500 euros, et compte-tenu de ma localisation en région toulonnaise j'ai largement exploité le matos.
4/ D'un autre coté, j'ai fait l'impasse sur : les rollers, le vélo, le ski, le wake-board, la salle de muscu, les fringues, etc... pour pouvoir me payer du matos.
5/ Je gagne 1.5 smic depuis dix ans, car mon salaire a peu évolué. Par contre les prix à la conso ont largement augmentés, et la part qui reste, qui est celle dévolue aux loisirs, est la premiere touchée.
Je vois beaucoup de jeunes faire des stages l'été. Peu continueront la planche : - ceux qui n'habitent pas pres de la mer - ceux dont les parents ne veulent pas faire l'effort de les accompagner - ceux qui n'ont pas aimé - ceux que ça n'a pas passionné.
Parce que c'est un sport ingrat pour les débutants, tu as vite fait de te décourager, quand c'est pas ton entourage qui le fait.
Donc pour ce qui est du sport de masse, je ne crois pas que la planche l'ai été ou puisse l'être un jour. Par contre il faut souhaiter qu'elle continue dans la voie actuelle où elle n'est plus un sport d'élite, ce qui permet de trouver une offre de matériel adapté à tous les niveaux et à relativement tous les budgets.
........ Aujourd'hui, on a des domaines skiables qui permettent de se taper une randonnée de 6h00 différente chaque jour, des télésieges qui débitent tellement que ca n'arrive plus d'attendre 20 minutes (sauf exception due à la météo) et des domaines tellement vastes que même station archi-pleine on n'est pas les uns sur les autres si on prend la peine de monter en altitude. ........
Bon, allez, parce que je suis d'humeur polémiqueuse :
- les 35 heures, c'est pas compliqué : que tu gagnes X ou Y, ton budget loisir ne va pas augmenter parce que tu bosses moins. Donc il va falloir répartir la même somme sur plus de vacances, et c'est pas ça qui devrait faire vendre plus de planches... ni te permettre de partir plus souvent, surtout vu le prix du mazout en ce moment!
- pour ce qui est du ski, on a une problématique différente : l'investissement de départ est faible (comparé à la planche), voire quasi nul (louer des skis, c'est pas sorcier, et même en location on peut avoir du top matos, contrairement à la planche ou les haut de gamme sont plus que rares à la loc...), mais les frais de fonctionnement sont relativement élevés : déplacement + location appart + forfait + location eventuelle du matos + bouffe sur place = peau des couilles. Par contre, il y a pas mal de plans qui permettent de s'en tirer à bon compte : appart des potes à la montagne, squatter à 8 dans un appart pour 4, avoir son matos, être moniteur de ski, acheter un forfait saison pas cher, pouvoir partir hors vacances ou en semaine et habiter près des stations, semaines tout compris soldées...
En plus, le ski est une discipline relativement ancienne et plutot abordable pour un débutant comparée à la planche (chausser les skis et démarrer est quand même plus simple et envisageable que monter sur une planche). Qui plus est, les structures d'enseignement sont très développées et bien rodées, et du coup, on a un parc de pratiquants relativement grand. Si on rajoute à ça le snow qui a attiré une nouvelle clientèle, on est vraiment dans un sport de masse (environ 6 millions de pratiquants français en 2002/2003. L'économie du ski française est n°1 mondiale, tant au niveau du parc et des equipements que de la fréquentation).
Pour finir, le ski dépend de moins en moins des conditions météo (merci les canons à neige!), contrairement à la planche (même si la FW et les planches type Kona permet pas mal d'élargir le spectre de nav). Il est bien plus facile de poser sa semaine de congés pour partir au ski que pour faire de la planche.
Tant qu'on aura ces freins au développement de la pratique de la planche (premier achat cher et plutot obscur pour un néophyte, matériel encombrant et peu pratique à mettre en oeuvre, peu de possibilités pour la location, apprentissage difficile et manquant de structures : il n'y a pas une école de planche sur chaque plage, contrairement aux ESF présentes dans toutes les stations, forte dépendance aux conditions météo...), ce sport n'est pas près de redevenir le sport de masse qu'elle a failli être dans les années 80 (pas loin d'un million de pratiquants à l'époque, il me semble).
Maintenant, est-ce bien ou pas de rester un sport confidentiel?
Les plus : -on n'est pas encombrés sur les spots! - ça permet aux gugus de parler un langage que peu de gens comprennent, du genre : "Euh, tu vois, j'ai bien slashé sur mon réentry, mais j'étais trop dans l'inside du coup j'ai foiré en envoyant mon flaka" ou " J'étais vraiment overpowered en 7.5, la chute ouvrait pas assez, du coup spin out avec le Tecto de 28..." - euh...ben...c'est tout!
Les moins : - la production du matos reste "artisanale", il n'y pas vraiment de concurrence, et les prix ne descendent pas tant que ça, surtout sur le matos haut de gamme. C'est un peu moins vrai au niveau du matos de milieu de gamme ou on trouve des prix vriament corrects, surtout pour peu qu'une promo passe par là. - la R&D n'avance pas aussi vite qu'à l'époque ou il y avait vraiment du fric dans la planche. On a plus l'impression que des "géotrouvetout" ont de temps en temps des idées géniales qui font avancer le schmilblick que de recherche structurée (ce n'est absolument pas péjoratif, juste un constat). - pas beaucoup de pratiquants, donc pas de sponsors, pas de couverture média... et pas de fric! - presque plus de surfshops, qui ont de plus en plus de fringues et de moins en moins de planches dans leur vitrines. - pas facile de louer du top matos!!!! Ou même du matos tout court : on est loin d'avoir un loueur par plage, du coup, obligation de prévoir ses déplacements en fonction, vu que seuls certains spots connus sont équipés. - idem pour trouver des cours. - c'est parfois un peu triste de nav seul sur son spot, surtout quand les conditions sont "moyennes" (temps gris, froid, pluie...). Par contre, c'est vachement moins génant dans une eau à 28° avec un alizé chaud et une eau transparente. Mais c'est dans tous les cas agréable de partager une bonne session.
Je continue à penser que notre sport a tout à gagner à se développer. Bien sur, certains spots de vagues vont devenir un peu plus encombrés, mais ça concernera une partie minime de la masse des pratiquants qui évoluera vers cette discipline, et au final, ça devrait peu se ressentir. La planche a quand même pas mal d'atouts de son coté : - entre les lacs, les rivières et les cotes, il y a des centaines d'endroits ou la pratique est possible. - la "saison" est bien plus longue que pour le ski. Les plus furieux naviguent même toute l'année. - ça devient de plus en plus facile de débuter.
Globalement d'accord avec ce que dit Mimich, et j'ajouterais qu'un spot désert, c'est zéro sécurité et donc un spot qu'un débutant ou simplement quelqu'un qui n'est pas du coin ne va pas fréquenter. Quand je vois que nous autres parisiens nous concentrons sur une dizaine (allez une quinzaine à tout casser) de spots entre la Normandie et le Nord C'est bien qu'il y a un problême d'infrastructure et pas seulement de rapport topographie/condices ...
c'est que quand je naviguais a la "grande époque du funeboarde", on etait tout au plus 30 sur l'eau quand les conditions etaient tres bonnes (je parle precisement du cap d'agde par sud-est).
aujourd'hui, on se retrouve a deux cent planchiste et une bonne trentaine de kite en meme temps meme quand les conditions sont limite mediocres!!!!!!
pour info, je ne suis pas marseillais et donc, les chiffres que je viens de donner sont verifiables et vérifiés a chaque BMS au mois d'octobre.
du coup on est obligé de s'exiler sur des "secret-spots" et surtout ne pas dire ou on navigue.
perso prendre un ticket pour avoir le droit a une vague c'est pas mon trip.
sport de masse peu etre pas mais une chose est sure c'et qu'on est de plus en plus nombreux sur l'eau.....
Le problème, c'est que ces chiffres sont les chiffres de vente, pas d'utilisation. Ces chiffres sont plus liées à la consommation globale des francais qu'au nombre réel de pratiquants.
Le mec qui navigue depuis 6 ans avec le même matos, ca fait 5 ans qu'il n'est plus comptabilisé comme consommateurs mais il est toujours sur l'eau.
Pour connaitre le nombre réel de pratiquants, il faudrait une license obligatoire. En plus, cela ferait un peu de fric pour les ecoles et les clubs
en pourait aussi envisager un bracelet electronique qu'on porterait à vie et qui enregistrerait nos jours de nav, nos passages en shop et nos achats de matos.....
ptin qu'est ce que je me fais chier aujourd'hui moi...
.... tu peux trouver l'equivalent dans les tables U-Rinet... ou alors dans la loi de windsurfgore. Nos amis etrangers ont quasimment des methodes de calcul identiques. 
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