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La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement

Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
stef38 @ 08/11/2016 - 09h44 a dit:
Je fréquente 2 bouchers essentiellement, l'un des deux est éleveurs de ses vaches, franchement dans un cas comme dans l'autre la viande est top et ne rend clairement pas d'eau. Mais nous aussi ça fait longtemps que l'on a de toute façon pas mal réduit la conso, on ne consomme que le midi en général.
c'est de la vieille vache laitière alors?
ou du bœuf?
par contre les oeufs c'est top bon !!
pas de cholestérol (d'ailleurs le cholestérol n'est pas un pb) et des protéines a gogo
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
tiya @ 08/11/2016 - 10h26 a dit:
Ah... c'est pour cela que je prends du poids alors...
oui je me suis rappeler de cela en cliquant sur "envoyer"
Bon en même temps, les conserves, sont en aluminium ...![]()
y a les métaux lourds la radioactivité pour ceux du pacifique
et surtout les conditions de pêche pas très sélectives
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
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Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Hergé @ 08/11/2016 - 10h21 a dit:
tiya @ 08/11/2016 - 09h57 a dit:
Je suis un grand consommateur de thon, j'espère qu'il ne vont pas nous dire qu'il y a des truc moisi dedans...
les métaux lourds !![]()
C'est clair qu'il vaut mieux privilegier les sardines que le thon!
- CHRISTOPHE ROUSSE
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Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Ca dépend si tu les manges avec ou sans la boite ......Endorphin @ 08/11/2016 - 11h59 a dit:
C'est clair qu'il vaut mieux privilegier les sardines que le thon!
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Endorphin @ 08/11/2016 - 11h59 a dit:
Hergé @ 08/11/2016 - 10h21 a dit:
tiya @ 08/11/2016 - 09h57 a dit:
Je suis un grand consommateur de thon, j'espère qu'il ne vont pas nous dire qu'il y a des truc moisi dedans...
les métaux lourds !![]()
C'est clair qu'il vaut mieux privilegier les sardines que le thon!
oui oui :-)
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
CHRISTOPHE ROUSSE @ 08/11/2016 - 10h54 a dit:
Et autrement , est ce que vous baisez bio aussi ?
biensur

Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
la marche rend intelligent
raison des talons hautes et autres contraintes pour la femme? (péripatéticienne ) (et l'homme)?
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
thejoker @ 29/12/2016 - 14h36 a dit:
http://www.liberation.fr/debats/2016/12/28/pascal-picq-le-bipede-humain-a-besoin-de-marcher-et-de-parler-pour-penser-pour-creer_1537887
le marché rend intelligent
raison des talons hautes et autres contraintes pour la femme? (péripatéticienne ) (et l'homme)?
Tu as tout à fait raison.
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
La hyène @ 29/12/2016 - 17h59 a dit:
thejoker @ 29/12/2016 - 14h36 a dit:
http://www.liberation.fr/debats/2016/12/28/pascal-picq-le-bipede-humain-a-besoin-de-marcher-et-de-parler-pour-penser-pour-creer_1537887
le Marchais rend intelligent
raison des talons hautes et autres contraintes pour la femme? (péripatéticienne ) (et l'homme)?
Tu as tout à fait raison.

Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
pieuvre @ 30/12/2016 - 19h20 a dit:
La hyène @ 29/12/2016 - 17h59 a dit:
thejoker @ 29/12/2016 - 14h36 a dit:
http://www.liberation.fr/debats/2016/12/28/pascal-picq-le-bipede-humain-a-besoin-de-marcher-et-de-parler-pour-penser-pour-creer_1537887
le Marchais rend intelligent
raison des talons hautes et autres contraintes pour la femme? (péripatéticienne ) (et l'homme)?
Tu as tout à fait raison.








Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
EXEMPLE :
"
4.2 Tous ces braves gens ne sont nullement étonnés de l’énormité du chiffre : 15 000 litres pour 1 kilo de viande ! Ils oublient tous de préciser qu’il s’agit d’une moyenne et surtout qu’il s’agit de 15 000 litres d’ « eau virtuelle » ! Peut-être certains d’entre eux ne le savent même pas.
Pour ceux qui l’ignoreraient précisons donc que l’ « eau virtuelle » est la somme de trois sortes d’eau : l’eau bleue, l’eau verte et l’eau grise. L’ « eau bleue », c’est « l’eau circulant sous forme liquide et prélevée dans les rivières, les eaux dormantes ou dans les nappes phréatiques pour les besoins des activités humaines » (Corson et al., 2013 p. 241) C’est l’eau qui est la matière première de l’eau du robinet. Pour ce qui concerne la filière bovine, elle sert dans l’étable ou au pré à abreuver les bêtes qui peuvent aussi en boire à la rivière ou dans les mares. C’est également celle qui est utilisée pour nettoyer les locaux de l’exploitation. L’eau d’irrigation des cultures fourragères qui nourrissent les animaux et l’eau nécessaire à la transformation de la viande sont aussi de l’eau bleue. La quantité d’eau consommée pour tous ces usages correspond en France à environ 3 à 4% des 15 000 litres d’ « eau virtuelle » estimés nécessaires pour obtenir 1kg de viande de bœuf.
Quant à l’eau grise, c’est la quantité théorique d’eau qu’il faudrait rajouter à une eau polluée pour qu’elle devienne conforme aux normes environnementales. Elle représente en France 3% des 15 000 litres d’ « eau virtuelle ».
Tout le reste des 15 000 litres, c’est de l’ « eau verte ». Comme l’expliquent bien Corson et al., 2013, l’eau verte est l’eau nécessaire pour la croissance des plantes. On considère qu’elle est égale à l’évapotranspiration réelle, c’est-à-dire, à la somme de l’évaporation des sols et de la transpiration des plantes poussant sur ces sols. En d’autres termes, pour ce qui est de l’élevage bovin, il s’agit du volume d’eau de pluie stocké dans le sol sous forme d’humidité et qui s’évapore des plantes et du sol des surfaces cultivées pour l’alimentation des bêtes et des surfaces pâturées par les troupeaux. Ce volume d’eau correspond donc principalement à l’eau de pluie réceptionnée par les surfaces d’élevage.
« Chapagain et Hoekstra (2004) ont été les premiers à additionner eau bleue, eau verte et eau grise pour obtenir ce qu’ils appelaient des flux d’eau «virtuelle » des produits agricoles. Graduellement, cette expression a fait place chez ces auteurs au terme « empreinte eau », le caractère virtuel n’apparaissant plus. Cette « empreinte eau » a été ensuite assimilée à la quantité d’eau nécessaire pour produire les denrées agricoles. » (Ibid., p. 241). "
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
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