Dr Moreau @ 24/03/2009 - 13h01 a dit:
thejoker @ 21/03/2009 - 19h26 a dit:
le rêve de chaque pauvre est le bonheur!
Et en son temps, chaque Pol Pot, Hitler ou Staline était certain de connaître la martingale pour combler ce rêve.
On l'a échappé belle.
Larouche & cie semble réservé aux nouilles pseudo-intellectuelles.
et l'ALL ne fiancait personne?
"Non au révisionnisme sur le
« New Deal » de Franklin Roosevelt !
C ertains pamphlétaires à la solde de Wall Street et de Londres, tels que Jim Powell et Amity Shlaes, ont pratiquement plagié la littérature de l’American Liberty League (ALL), affirmant que le New Deal de Franklin Roosevelt avait en réalité « fait perdurer la grande dépression ».
A l’heure actuelle, ils fulminent contre la présidence Obama, qui menace d’emprunter la voie de son prédécesseur. En réalité, ces épigones savent fort bien que la mise en oeuvre d’une politique à la FDR, c’est-à-dire une politique hamiltonienne de crédit productif public et d’investissement dans l’économie réelle, condamnerait les empires financiers off-shore, qui se goinfrent d’argent de la drogue, de la spéculation et du pillage.
Dans leurs études sur FDR, publiées par l’American Entreprise Institute (AEI), le Cato Institute et Rupert Murdoch, les deux auteurs récrivent, chacun de son côté, les évènements du milieu des années 30, notamment en ce qui concerne la période suivant la réélection triomphale de FDR en 1936. Ils tentent visiblement de dissimuler le fait que l’ALL s’était lancée dans une subversion économique des Etats-Unis, sachant que Roosevelt dépendait des géants américains comme J.P. Morgan, Guarantee Trust, Brown Brothers Harriman, Dillon Reed, General Motors, U.S. Steel, et du Pont Chemical, pour la production d’équipements et de matériel de guerre.
Face à l’échec de leurs tentatives de renverser et d’assassiner Roosevelt en 1933-34, les gros bonnets de Wall Street parrainant l’American Liberty League, qui finançaient ouvertement Mussolini et Hitler dans les années 1920, exigèrent que les programmes du New Deal soient éliminés ou fortement
réduits, au nom de l’« équilibre budgétaire ». En conséquence de ce chantage, aggravé par les décisions de la Cour suprême rejetant plusieurs aspects du New Deal, le chômage augmenta et l’économie recula temporairement.
C’est effectivement cette opposition acharnée qui finit par saboter le New Deal, et non sa démarche initiale. Les mêmes arguments frauduleux sont utilisés aujourd’hui contre le président Obama, pour qu’il continue à renflouer sans compter les banques moribondes de Wall Street et de Londres."