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Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 10:43
par thejoker

CHRISTOPHE ROUSSE @ 10/05/2010 - 09h53 a dit:

ice @ 10/05/2010 - 09h46 a dit:

Après les trafics de comptes des sociétés (Enron), les trafics de comptes des états histoire de rester sous les 3%. :inn:


On va tous y passer un par un.



Mais on s'en branle , ice , les Etats on le monopole de émission de la monnaie et on toujours , grâce a cela , pu fabriquer de l'inflation pour payer leurs dettes . Par contre , ou on risque de se faire baiser , c'est s'ils n'indexent pas les salaires ......




LA Rousse tu débarques de quelle planète??

cela fait des lustres que les Etats Européens (hors GB) ne contrôlent plus leur monnaie!!


de plus la création monétaire n'implique pas l'inflation en conséquence du moment que cette création est dirigée vers des investissements en infrastructure car cela correspond à une augmentation réelle des richesses d'un Etat à la différence de donner les sous sans contrepartie..


concernant l'inflation financiere elle, elle n'est pas calculée!!! le différentiel se fait vis à vis de l'economie réelle

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 11:07
par thejoker
les banquiers ont gagné contre L'Europe qui n'a pas le courage de mettre en place un "Glass Steagall" permettant d'EPURER les comptes bancaires! Les peuples vont payer....

Precisons au passage que la GB et ses banquiers (dont les banques francaises installées à la City) speculent contre l'Europe et ne participent pas au plan.........!!

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 12:13
par CHRISTOPHE ROUSSE

thejoker @ 10/05/2010 - 10h43 a dit:

CHRISTOPHE ROUSSE @ 10/05/2010 - 09h53 a dit:

ice @ 10/05/2010 - 09h46 a dit:

Après les trafics de comptes des sociétés (Enron), les trafics de comptes des états histoire de rester sous les 3%. :inn:


On va tous y passer un par un.



Mais on s'en branle , ice , les Etats on le monopole de émission de la monnaie et on toujours , grâce a cela , pu fabriquer de l'inflation pour payer leurs dettes . Par contre , ou on risque de se faire baiser , c'est s'ils n'indexent pas les salaires ......




LA Rousse tu débarques de quelle planète??

cela fait des lustres que les Etats Européens (hors GB) ne contrôlent plus leur monnaie!!


de plus la création monétaire n'implique pas l'inflation en conséquence du moment que cette création est dirigée vers des investissements en infrastructure car cela correspond à une augmentation réelle des richesses d'un Etat à la différence de donner les sous sans contrepartie..


concernant l'inflation financiere elle, elle n'est pas calculée!!! le différentiel se fait vis à vis de l'economie réelle



Je comprend toujours rien .........

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 13:32
par thejoker
ben va te remettre au lit avec une camomille

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 13:51
par gregboulnaish
Je pense qu'il va plutot rester au bar pour s'envoyer un ti punch...

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 14:16
par thejoker
Samedi 8 MAI,

alors que nous fêtions les 65 ans de la victoire contre le fascisme, nos

dirigeants se soumettaient au chantage des puissances financières en

adoptant un plan de renflouem...ent suicidaire de 750 milliards d’euros.

Prêtant en gage aux financiers la vie de ses peuples , l’Europe est

revenu à des politiques d’austérité de même nature et de même ampleur

que celles de Brüning en 1932 et Laval en 1935.


http://www.solidariteetprogres.org/article6620.html

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 14:16
par thejoker
LA DECLARATION DE PHILADELPHIE


Déclaration concernant les buts et objectifs de l’Organisation internationale du Travail


La Conférence générale de l’Organisation internationale du travail, réunie à Philadelphie en sa vingt-sixième session, adopte, ce dixième jour de mai 1944, la présente Déclaration des buts et objectifs de l’Organisation internationale du travail, ainsi que des principes dont devrait s’inspirer la politique de ses membres.


I


La Conférence affirme à nouveau les principes fondamentaux sur lesquels est fondée l’Organisation, à savoir notamment :


a) le travail n’est pas une marchandise ;

b) la liberté d’expression et d’association est une condition indispensable d’un progrès soutenu ;

c) la pauvreté, où qu’elle existe, constitue un danger pour la prospérité de tous ;

d) la lutte contre le besoin doit être menée avec une inlassable énergie au sein de chaque nation et par un effort international continu et concerté dans lequel les représentants des travailleurs et des employeurs, coopérant sur un pied d’égalité avec ceux des gouvernements, participent à de libres discussions et à des décisions de caractère démocratique en vue de promouvoir le bien commun.


II


Convaincue que l’expérience a pleinement démontré le bien-fondé de la déclaration contenue dans la Constitution de l’Organisation internationale du travail, et d’après laquelle une paix durable ne peut être établie que sur la base de la justice sociale, la Conférence affirme que :


a) tous les êtres humains, quelles que soient leur race, leur croyance ou leur sexe, ont le droit de poursuivre leur progrès matériel et leur développement spirituel dans la liberté et la dignité, dans la sécurité économique et avec des chances égales ;

b) la réalisation des conditions permettant d’aboutir à ce résultat doit constituer le but central de toute politique nationale et internationale ;

c) tous les programmes d’action et mesures prises sur le plan national et international, notamment dans le domaine économique et financier, doivent être appréciés de ce point de vue et acceptés seulement dans la mesure où ils apparaissent de nature à favoriser, et non à entraver, l’accomplissement de cet objectif fondamental ;

d) il incombe à l’Organisation internationale du travail d’examiner et de considérer à la lumière de cet objectif fondamental, dans le domaine international, tous les programmes d’action et mesures d’ordre économique et financier ;

e) en s’acquittant des tâches qui lui sont confiées, l’Organisation internationale du travail, après avoir tenu compte de tous les facteurs économiques et financiers pertinents, a qualité pour inclure dans ses décisions et recommandations toutes dispositions qu’elle juge appropriées.


III


La Conférence reconnaît l’obligation solennelle pour l’Organisation internationale du travail de seconder la mise en œuvre, parmi les différentes nations du monde, de programmes propres à réaliser :


a) la plénitude de l’emploi et l’élévation des niveaux de vie ;

b) l’emploi des travailleurs à des occupations où ils aient la satisfaction de donner toute la mesure de leur habileté et de leurs connaissances et de contribuer le mieux au bien-être commun ;

c) pour atteindre ce but, la mise en œuvre, moyennant garanties adéquates pour tous les intéressés, de possibilités de formation et de moyens propres à faciliter les transferts de travailleurs, y compris les migrations de main-d’œuvre et de colons ;

d) la possibilité pour tous d’une participation équitable aux fruits du progrès en matière de salaires et de gains, de durée du travail et autres conditions de travail, et un salaire minimum vital pour tous ceux qui ont un emploi et ont besoin d’une telle protection ;

e) la reconnaissance effective du droit de négociation collective et la coopération des employeurs et de la main-d’œuvre pour l’amélioration continue de l’organisation de la production, ainsi que la collaboration des travailleurs et des employeurs à l’élaboration et à l’application de la politique sociale et économique ;

f) l’extension des mesures de sécurité sociale en vue d’assurer un revenu de base à tous ceux qui ont besoin d’une telle protection, ainsi que des soins médicaux complets ;

g) une protection adéquate de la vie et de la santé des travailleurs dans toutes les occupations ;

h) la protection de l’enfance et de la maternité ;

i) un niveau adéquat d’alimentation, de logement et de moyens de récréation et de culture ;

j) la garantie de chances égales dans le domaine éducatif et professionnel.


IV


Convaincue qu’une utilisation plus complète et plus large des ressources productives du monde, nécessaire à l’accomplissement des objectifs énumérés dans la présente Déclaration, peut être assurée par une action efficace sur le plan international et national, et notamment par des mesures tendant à promouvoir l’expansion de la production et de la consommation, à éviter des fluctuations économiques graves, à réaliser l’avancement économique et social des régions dont la mise en valeur est peu avancée, à assurer une plus grande stabilité des prix mondiaux des matières premières et denrées, et à promouvoir un commerce international de volume élevé et constant, la Conférence promet l’entière collaboration de l’Organisation internationale du travail avec tous les organismes internationaux auxquels pourra être confiée une part de responsabilité dans cette grande tâche, ainsi que dans l’amélioration de la santé, de l’éducation et du bien-être de tous les peuples.


V


La Conférence affirme que les principes énoncés dans la présente Déclaration sont pleinement applicables à tous les peuples du monde, et que, si, dans les modalités de leur application, il doit être dûment tenu compte du degré de développement social et économique de chaque peuple, leur application progressive aux peuples qui sont encore dépendants, aussi bien qu’à ceux qui ont atteint le stade où ils se gouvernent eux-mêmes, intéresse l’ensemble du monde civilisé.

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 10 mai 2010, 16:57
par CHRISTOPHE ROUSSE

thejoker @ 10/05/2010 - 14h16 a dit:

LA DECLARATION DE PHILADELPHIE


Déclaration concernant les buts et objectifs de l’Organisation internationale du Travail


La Conférence générale de l’Organisation internationale du travail, réunie à Philadelphie en sa vingt-sixième session, adopte, ce dixième jour de mai 1944, la présente Déclaration des buts et objectifs de l’Organisation internationale du travail, ainsi que des principes dont devrait s’inspirer la politique de ses membres.


I


La Conférence affirme à nouveau les principes fondamentaux sur lesquels est fondée l’Organisation, à savoir notamment :


a) le travail n’est pas une marchandise ;

b) la liberté d’expression et d’association est une condition indispensable d’un progrès soutenu ;

c) la pauvreté, où qu’elle existe, constitue un danger pour la prospérité de tous ;

d) la lutte contre le besoin doit être menée avec une inlassable énergie au sein de chaque nation et par un effort international continu et concerté dans lequel les représentants des travailleurs et des employeurs, coopérant sur un pied d’égalité avec ceux des gouvernements, participent à de libres discussions et à des décisions de caractère démocratique en vue de promouvoir le bien commun.


II


Convaincue que l’expérience a pleinement démontré le bien-fondé de la déclaration contenue dans la Constitution de l’Organisation internationale du travail, et d’après laquelle une paix durable ne peut être établie que sur la base de la justice sociale, la Conférence affirme que :


a) tous les êtres humains, quelles que soient leur race, leur croyance ou leur sexe, ont le droit de poursuivre leur progrès matériel et leur développement spirituel dans la liberté et la dignité, dans la sécurité économique et avec des chances égales ;

b) la réalisation des conditions permettant d’aboutir à ce résultat doit constituer le but central de toute politique nationale et internationale ;

c) tous les programmes d’action et mesures prises sur le plan national et international, notamment dans le domaine économique et financier, doivent être appréciés de ce point de vue et acceptés seulement dans la mesure où ils apparaissent de nature à favoriser, et non à entraver, l’accomplissement de cet objectif fondamental ;

d) il incombe à l’Organisation internationale du travail d’examiner et de considérer à la lumière de cet objectif fondamental, dans le domaine international, tous les programmes d’action et mesures d’ordre économique et financier ;

e) en s’acquittant des tâches qui lui sont confiées, l’Organisation internationale du travail, après avoir tenu compte de tous les facteurs économiques et financiers pertinents, a qualité pour inclure dans ses décisions et recommandations toutes dispositions qu’elle juge appropriées.


III


La Conférence reconnaît l’obligation solennelle pour l’Organisation internationale du travail de seconder la mise en œuvre, parmi les différentes nations du monde, de programmes propres à réaliser :


a) la plénitude de l’emploi et l’élévation des niveaux de vie ;

b) l’emploi des travailleurs à des occupations où ils aient la satisfaction de donner toute la mesure de leur habileté et de leurs connaissances et de contribuer le mieux au bien-être commun ;

c) pour atteindre ce but, la mise en œuvre, moyennant garanties adéquates pour tous les intéressés, de possibilités de formation et de moyens propres à faciliter les transferts de travailleurs, y compris les migrations de main-d’œuvre et de colons ;

d) la possibilité pour tous d’une participation équitable aux fruits du progrès en matière de salaires et de gains, de durée du travail et autres conditions de travail, et un salaire minimum vital pour tous ceux qui ont un emploi et ont besoin d’une telle protection ;

e) la reconnaissance effective du droit de négociation collective et la coopération des employeurs et de la main-d’œuvre pour l’amélioration continue de l’organisation de la production, ainsi que la collaboration des travailleurs et des employeurs à l’élaboration et à l’application de la politique sociale et économique ;

f) l’extension des mesures de sécurité sociale en vue d’assurer un revenu de base à tous ceux qui ont besoin d’une telle protection, ainsi que des soins médicaux complets ;

g) une protection adéquate de la vie et de la santé des travailleurs dans toutes les occupations ;

h) la protection de l’enfance et de la maternité ;

i) un niveau adéquat d’alimentation, de logement et de moyens de récréation et de culture ;

j) la garantie de chances égales dans le domaine éducatif et professionnel.


IV


Convaincue qu’une utilisation plus complète et plus large des ressources productives du monde, nécessaire à l’accomplissement des objectifs énumérés dans la présente Déclaration, peut être assurée par une action efficace sur le plan international et national, et notamment par des mesures tendant à promouvoir l’expansion de la production et de la consommation, à éviter des fluctuations économiques graves, à réaliser l’avancement économique et social des régions dont la mise en valeur est peu avancée, à assurer une plus grande stabilité des prix mondiaux des matières premières et denrées, et à promouvoir un commerce international de volume élevé et constant, la Conférence promet l’entière collaboration de l’Organisation internationale du travail avec tous les organismes internationaux auxquels pourra être confiée une part de responsabilité dans cette grande tâche, ainsi que dans l’amélioration de la santé, de l’éducation et du bien-être de tous les peuples.


V


La Conférence affirme que les principes énoncés dans la présente Déclaration sont pleinement applicables à tous les peuples du monde, et que, si, dans les modalités de leur application, il doit être dûment tenu compte du degré de développement social et économique de chaque peuple, leur application progressive aux peuples qui sont encore dépendants, aussi bien qu’à ceux qui ont atteint le stade où ils se gouvernent eux-mêmes, intéresse l’ensemble du monde civilisé.



Bon a par ça , tu baise ?

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 11 mai 2010, 09:52
par thejoker

CHRISTOPHE ROUSSE @ 10/05/2010 - 16h57 a dit:

thejoker @ 10/05/2010 - 14h16 a dit:

LA DECLARATION DE PHILADELPHIE


Déclaration concernant les buts et objectifs de l’Organisation internationale du Travail



Bon a par ça , tu baise ?



pas avec les tafiolles qui comprennent rien a l'economie ...  :dev:

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 11 mai 2010, 12:03
par La hyène

thejoker @ 11/05/2010 - 09h52 a dit:

CHRISTOPHE ROUSSE @ 10/05/2010 - 16h57 a dit:

thejoker @ 10/05/2010 - 14h16 a dit:

LA DECLARATION DE PHILADELPHIE


Déclaration concernant les buts et objectifs de l’Organisation internationale du Travail



Bon a par ça , tu baise ?



pas avec les tafiolles qui comprennent rien a l'economie ...  :dev:




merde, depuis le temps que je te fais des amorces, tu crois que c'est foutu pour nous ?





Posted Image

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 11 mai 2010, 12:20
par thejoker

La hyène @ 11/05/2010 - 12h03 a dit:

thejoker @ 11/05/2010 - 09h52 a dit:

CHRISTOPHE ROUSSE @ 10/05/2010 - 16h57 a dit:

thejoker @ 10/05/2010 - 14h16 a dit:

LA DECLARATION DE PHILADELPHIE


Déclaration concernant les buts et objectifs de l’Organisation internationale du Travail



Bon a par ça , tu baise ?



pas avec les tafiolles qui comprennent rien a l'economie ...  :dev:




merde, depuis le temps que je te fais des amorces, tu crois que c'est foutu pour nous ?





Posted Image



t'es une grande folle, toi c'est pas pareil!!

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 11 mai 2010, 12:42
par La hyène

thejoker @ 11/05/2010 - 12h20 a dit:



t'es une grande folle, toi c'est pas pareil!!








:inn: Posted Image

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 11 mai 2010, 12:49
par funlolo
et ech queue tu chuche ?

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 11 mai 2010, 14:37
par oursin
Pour connaître la réponse en image,

déroule le spoiler :


SpoilerPosted Image

Re : La réalite financière nous rattrape !

Posté : 11 mai 2010, 19:19
par thejoker

funlolo @ 11/05/2010 - 12h49 a dit:

et ech queue tu chuche ?




on t'a deja dit de ne pas parler la bouche pleine!