Bienvenue sur le forum le plus FUN du windsurf !
Sur Directwind, site libre et totalement indépendant, vous pouvez échanger et partager votre passion pour le windsurf, librement et sans prise de tête...
La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Tu as vu les 2 Lomic?
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Bientôt le 2ème. Et j'ai vu le premier à reculons, craignant un truc écolo-gnangan culpabilisant et en fait pas du tout, très chouette 

Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Je trouve surtout, que pour une fois on voit des idées novatrices, et déjà en application, résultat c'est plutôt positif et optimiste. J'ai été impressionné par Détroit, après c'est sans doute qu'une petite partie de la ville et c'est peut être tourné pour accentuer l"effet, mais entre ruines et nouveau jardins, on dirait une vue d'un futur possible...
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
http://www.bloomassociation.org/dossier-peche-minotiere/
BLOOM a plongé dans le monde opaque de la « pêche minotière » qui capture les poissons situés en bas de la chaîne alimentaire — comme les sardines et les anchois — afin de les réduire en farines et en huile pour alimenter les poissons d’élevage, les porcs et les volailles, bien que 90% des poissons ciblés soient parfaitement comestibles par les humains.
Par le biais de ce rapport et d’une étude scientifique conduite simultanément, BLOOM met en lumière que la pêche minotière, résultant de la surexploitation globale des stocks de poissons traditionnels, contribue désormais, au niveau mondial, à surexploiter de façon séquentielle les premiers échelons de la chaîne alimentaire, pourtant indispensables aux équilibres océaniques.
Dans leur insatiable quête de ressources à capturer, les navires-usines gigantesques ont étendu leurs activités aux eaux lointaines des pays en développement, où ils sont entrés en concurrence directe avec les pêcheries vivrières locales en capturant ces petits poissons dits « de fourrage », ce qui constitue une grave menace pour la sécurité alimentaire.

Les Recommandations de BLOOM
Diminuer notre demande en poissons carnivores d’élevage (saumon, bar, cabillaud etc.),
en porcs et en volailles ;
Utiliser les poissons sauvages consommables (anchois, sardines etc.) pour la consommation directe et non pour la transformation en farine et en huile ;
Interdire la certification « pêche durable » pour la pêche minotière ;
Encourager les solutions circulaires telle que la culture d’insectes pour nourrir les animaux d’élevage. Cela permet, en outre, une meilleure gestion des déchets agricoles ou urbains ;
L’UE doit devenir un modèle en refusant de réduire du poisson sauvage pour nourrir des animaux d’élevage. Une loi interdisant l’utilisation de farine de poissons dans l’alimentation animale devrait être promulguée.
BLOOM a plongé dans le monde opaque de la « pêche minotière » qui capture les poissons situés en bas de la chaîne alimentaire — comme les sardines et les anchois — afin de les réduire en farines et en huile pour alimenter les poissons d’élevage, les porcs et les volailles, bien que 90% des poissons ciblés soient parfaitement comestibles par les humains.
Par le biais de ce rapport et d’une étude scientifique conduite simultanément, BLOOM met en lumière que la pêche minotière, résultant de la surexploitation globale des stocks de poissons traditionnels, contribue désormais, au niveau mondial, à surexploiter de façon séquentielle les premiers échelons de la chaîne alimentaire, pourtant indispensables aux équilibres océaniques.
Dans leur insatiable quête de ressources à capturer, les navires-usines gigantesques ont étendu leurs activités aux eaux lointaines des pays en développement, où ils sont entrés en concurrence directe avec les pêcheries vivrières locales en capturant ces petits poissons dits « de fourrage », ce qui constitue une grave menace pour la sécurité alimentaire.

Les Recommandations de BLOOM
Diminuer notre demande en poissons carnivores d’élevage (saumon, bar, cabillaud etc.),
en porcs et en volailles ;
Utiliser les poissons sauvages consommables (anchois, sardines etc.) pour la consommation directe et non pour la transformation en farine et en huile ;
Interdire la certification « pêche durable » pour la pêche minotière ;
Encourager les solutions circulaires telle que la culture d’insectes pour nourrir les animaux d’élevage. Cela permet, en outre, une meilleure gestion des déchets agricoles ou urbains ;
L’UE doit devenir un modèle en refusant de réduire du poisson sauvage pour nourrir des animaux d’élevage. Une loi interdisant l’utilisation de farine de poissons dans l’alimentation animale devrait être promulguée.
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Les inconvenients du veganisme
https://eric-verhaeghe.entreprise.news/2017/03/28/les-mefaits-ecologiques-du-vegan-illustres-par-linra/
"L’INRA vient de consacrer une étude à l’élevage et à la consommation de viande. Cette étude revient sur quelques idées fausses concernant l’élevage et ses méfaits écologiques.
...
On trouve très fréquemment le chiffre de 15 000 litres d’eau consommée pour produire un kg de viande. Mais ce chiffre, obtenu par la méthode de « water footprint » (empreinte eau) englobe l’eau bleue (eau réellement consommée par les animaux et l’irrigation des cultures), l’eau grise (eau utilisée pour dépolluer les effluents et les recycler) et l’eau verte (eau de pluie). Or cette méthode a été conçue pour des sites industriels et ne tient pas compte des cycles biologiques. En réalité 95% de cette empreinte eau correspond à l’eau de pluie, captée dans les sols et évapotranspirée par les plantes, et qui retourne de fait dans le cycle de l’eau. Ce cycle continuera même s’il n’y a plus d’animaux. La communauté scientifique considère qu’il faut entre550 à 700 litres d’eau pour produire 1kg de viande de bœuf. En eau utile (1), il faut50 litres.
..."
https://eric-verhaeghe.entreprise.news/2017/03/28/les-mefaits-ecologiques-du-vegan-illustres-par-linra/
"L’INRA vient de consacrer une étude à l’élevage et à la consommation de viande. Cette étude revient sur quelques idées fausses concernant l’élevage et ses méfaits écologiques.
...
On trouve très fréquemment le chiffre de 15 000 litres d’eau consommée pour produire un kg de viande. Mais ce chiffre, obtenu par la méthode de « water footprint » (empreinte eau) englobe l’eau bleue (eau réellement consommée par les animaux et l’irrigation des cultures), l’eau grise (eau utilisée pour dépolluer les effluents et les recycler) et l’eau verte (eau de pluie). Or cette méthode a été conçue pour des sites industriels et ne tient pas compte des cycles biologiques. En réalité 95% de cette empreinte eau correspond à l’eau de pluie, captée dans les sols et évapotranspirée par les plantes, et qui retourne de fait dans le cycle de l’eau. Ce cycle continuera même s’il n’y a plus d’animaux. La communauté scientifique considère qu’il faut entre550 à 700 litres d’eau pour produire 1kg de viande de bœuf. En eau utile (1), il faut50 litres.
..."
Re :La permaculture, le bio, la bonne alimentation, et impact sur environnement
Vous connaissez ce film de l'excellente Marie-Monique ROBIN ?
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=250345.html
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Qui croirait que la championne internationale des villes en transition est une petite commune française ? C’est pourtant Rob Hopkins, fondateur du mouvement des villes en transition, qui le dit. Qu’est ce qu’on attend ? raconte comment une petite ville d’Alsace de 2 200 habitants s’est lancée dans la démarche de transition vers l’après-pétrole en décidant de réduire son empreinte écologique.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=250345.html
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Qui croirait que la championne internationale des villes en transition est une petite commune française ? C’est pourtant Rob Hopkins, fondateur du mouvement des villes en transition, qui le dit. Qu’est ce qu’on attend ? raconte comment une petite ville d’Alsace de 2 200 habitants s’est lancée dans la démarche de transition vers l’après-pétrole en décidant de réduire son empreinte écologique.