Directwind.com

Homerdusud @ 18/04/2011 - 17h20 a dit:

je sens plus rien depuis que funlolo a regle ma selle sur mon vtt

Tu as encore une selle ?


Tu dois pas être copain de funlolo depuis longtemps...

Certains lisent d'autres se gaussent embourbés dans leur fange nauséabonde...

des réactions?

Eric Verhaeghe dont le livre Jusqu’ici tout va bien. Enarque, membre du Medef, président de l’Apec, :


Cette idée selon laquelle l’organisation sociale serait un fait de nature indépendant de la volonté humaine, indépendant de choix collectifs, est le paradigme sous-jacent à l’ensemble de l’idéologie du marché.


Soit les peuples décident d’être libres et assument leur liberté, soit ils s’asservissent


On voit bien que la représentation walrassienne d’un capitalisme fondé sur la prise de risque individuelle est une vision totalement romantique et totalement fausse par rapport à la réalité de ce qu’est le capitalisme aujourd’hui.


Pour être plus simple et plus clair, la taille des banques, sans loi Glass-Steagall, leur permet d’imposer au contribuable de payer pour réparer les pots cassés par les banquiers, et ce sujet doit être traité parce que c’est un problème de démocratie, c’est un problème politique et non un problème économique. Le retour à la loi Glass-Steagall est évidemment un préalable fondamental pour régler cette question, parce que ça permettra de réduire mécaniquement la taille des banques et notamment d’isoler en compartiments les opérations risquées d’investissement et les opérations non risquées de dépôt.


Les positions LaRouche-Cheminade sont des positions qui vont dans le bon sens et dont, d’ailleurs, ils n’ont pas le monopole puisque le principe de la loi Glass-Steagall est globalement partagé par un certain monde alternatif, on va dire, à l’économie néo-libérale. On peut reconnaître à LaRouche et Cheminade le mérite d’être sans doute les plus anciens à avoir défendu ces positions et de les avoir défendues avec le plus de constance. Ce qu’il faut aujourd’hui, c’est arriver à rassembler autour de ces positions de bon sens, qui souvent ont été assimilées ou discréditées par l’image de la dissidence. Je crois qu’il faut, et on n’aura pas le choix dans le monde qui est en train de se reconstruire, dépasser ces vieilles antiennes et inventer un après 2008 qui aura du sens – je dirais platonicien – c’est-à-dire la capacité à organiser une harmonie entre tous sur des bases de justice et d’égalité.[/quote]

thejoker @ 18/04/2011 - 19h14 a dit:

Certains lisent d'autres se gaussent embourbés dans leur fange nauséabonde...

des réactions?

Eric Verhaeghe dont le livre Jusqu’ici tout va bien. Enarque, membre du Medef, président de l’Apec, :


Cette idée selon laquelle l’organisation sociale serait un fait de nature indépendant de la volonté humaine, indépendant de choix collectifs, est le paradigme sous-jacent à l’ensemble de l’idéologie du marché.


Soit les peuples décident d’être libres et assument leur liberté, soit ils s’asservissent


On voit bien que la représentation walrassienne d’un capitalisme fondé sur la prise de risque individuelle est une vision totalement romantique et totalement fausse par rapport à la réalité de ce qu’est le capitalisme aujourd’hui.


Pour être plus simple et plus clair, la taille des banques, sans loi Glass-Steagall, leur permet d’imposer au contribuable de payer pour réparer les pots cassés par les banquiers, et ce sujet doit être traité parce que c’est un problème de démocratie, c’est un problème politique et non un problème économique. Le retour à la loi Glass-Steagall est évidemment un préalable fondamental pour régler cette question, parce que ça permettra de réduire mécaniquement la taille des banques et notamment d’isoler en compartiments les opérations risquées d’investissement et les opérations non risquées de dépôt.


Les positions LaRouche-Cheminade sont des positions qui vont dans le bon sens et dont, d’ailleurs, ils n’ont pas le monopole puisque le principe de la loi Glass-Steagall est globalement partagé par un certain monde alternatif, on va dire, à l’économie néo-libérale. On peut reconnaître à LaRouche et Cheminade le mérite d’être sans doute les plus anciens à avoir défendu ces positions et de les avoir défendues avec le plus de constance. Ce qu’il faut aujourd’hui, c’est arriver à rassembler autour de ces positions de bon sens, qui souvent ont été assimilées ou discréditées par l’image de la dissidence. Je crois qu’il faut, et on n’aura pas le choix dans le monde qui est en train de se reconstruire, dépasser ces vieilles antiennes et inventer un après 2008 qui aura du sens – je dirais platonicien – c’est-à-dire la capacité à organiser une harmonie entre tous sur des bases de justice et d’égalité.

[/quote]


on dit érections .......................

thejoker @ 18/04/2011 - 19h14 a dit:

Certains lisent d'autres se gaussent embourbés dans leur fange nauséabonde...

des réactions?

On sent branle !!!!!!!!!!!!!!!

bon si ca part comme ca , a demain ................

CHRISTOPHE ROUSSE @ 18/04/2011 - 20h07 a dit:

thejoker @ 18/04/2011 - 19h14 a dit:

Certains lisent d'autres se gaussent embourbés dans leur fange nauséabonde...

des réactions?

On sent branle !!!!!!!!!!!!!!!

à sec !!!

avec des craviers ?

thejoker @ 18/04/2011 - 18h14 a dit:

Certains lisent d'autres se gaussent embourbés dans leur fange nauséabonde...

des réactions?

Le pb, c'est que personne ne lit...mais comme je suis naïf, je vais faire un effort.


Revenir au Glass-Steaglass ou à l'étalon or ne résoudra rien. Les 2 ont été abandonnés parce-qu’ils posaient des problèmes insurmontables.


Dans le cas de la monnaie, on la lie a une matière première qui a sa demande propre et son offre propre et ce faisant, on introduit des facteurs exogènes, donc encore plus de volatilité. De plus l'état des réserves-or a empoisonné les relations entre états tout au long du XXième avant l'abandon de l'étalon-or (d'ailleurs la France en est en partie responsable). L'idée d'une monnaie uniquement basée sur un jeu d'écritures comptables est difficilement accessible intellectuellement, pourtant c'est probablement le moyen le plus efficient. Après, tout dépend de ce qu'on fait au niveau des écritures, comment on contrôle la masse monétaire.


Pour la séparation des métiers de finance, revenir au Glass-Steagall revient a remettre les différents types de banques en compétition sur les marchés des refinancement, et ce, au détriment des banques de dépôt. Le pb du Glass-Steagall est la mise en concurrence sur plusieurs marchés d'institutions ayant des contraites radicalement différentes. N'oublions pas que l'une des raisons de la remise en cause de Glass-Steagal a été la désintermédiation financière qui a permis une réduction sensible des couts de financement des entreprises. Remettre en cause l'un revient a remettre en cause l'autre. Et je ne parle même pas des conséquences en termes de compétition entre les places financières. Pour finir, cela ne résoudrai pas l'épineux problème des siv, sortes de mini- banques hors bilan domiciliées offshore volant sous les radars.


Dans les 2 cas, cela créerait des rigidités qui joueraient largement en faveur de la spéculation. N'est il pas plus pertinent de se demander dans quelle mesure l'endettement des états a introduit une asymétrie dans leur rapports aux marchés et a conduit insidieusement a un transfert du pouvoir de décision vers ceux-cis? Auquel cas, la tentation du retour en arrière n'est plus qu'un leurre populiste qui ne fera qu'aggraver les choses.


Bien qu'ils soient liés, on a tendance a mélanger politique monétaire, séparation des métiers de banque, désintermédiation, mondialisation des marchés financiers, titirisation et enfin les paradis fiscaux que l'on devrait nommer far west financiers. Si ces différents aspects de la finance moderne sont interdépendants, il faut les analyser dans cette interdépendance et se garder des solutions simpliste qui nous entraineraient dans une spirale encore plus destructrice.

Xstar la raison de l'endettement des Etats est largement liée à la perte de contrôle de leur monnaie par ces Etats, ce qui les a conduits a emprunté sur les marchés (ne parlons même pas des pratiques actuelles où un Etat bien noté emprunte pas cher pour prêter plus cher à un Etat moins bien noté..)


Cette perte de contrôle de la monnaie n'a aucune raison technique ou économique mais bien idéologique :

"Cette transformation de l’organisation sociale en un objet de nature, c’est une réification, c’est-à-dire une représentation des rapports sociaux comme une espèce de chose naturelle contre laquelle la volonté humaine ne peut rien. Cette réification, évidemment, est un fait idéologique. Elle répond à la volonté des détenteurs de capitaux, hostiles à toute réglementation choisie par les peuples, et favorable à la libre expression de leur volonté de puissance. L’image de la main invisible du marché, c’est cela. Elle nous dit : surtout ne cherchez pas à modifier le rapport de forces naturel entre les acteurs économiques, laissez libre cours à ce rapport de forces naturel et ne cherchez surtout pas à y introduire des critères moraux ou des garde-fous qui pourraient constituer ce qu’on appelle des biais à la concurrence. En réalité, cette religion de la libre concurrence dans laquelle nous vivons, et qui est un pur fait idéologique, c’est l’habillage intellectuel d’un simple rapport de force entre détenteurs des capitaux et salariés. Et ce rapport de forces, il faut avoir à l’esprit que c’est un choix idéologique et non pas le produit d’une analyse scientifique."

http://www.solidariteetprogres.org/article7624.html





Eric de Keuleneer, Economiste et professeur à la Solvay Business School de l’Université libre de Bruxelles (ULB).

Après une formation d’ingénieur commercial à l’Université libre de Bruxelles (ULB), un MBA à la Wharton School en Pennsylvanie, Eric de Keuleneer a été, entre 1977 et 1983, chef de la syndication et du trading à la Kredietbank SA luxembourgeoise, puis, de 1983 à 1995, directeur du Corporate and Investment Banking à la Générale de Banque devenue Fortis (désormais Fortis BNP Paribas). Depuis octobre 1995, il occupe le poste d’administrateur délégué de l’Office central de crédit hypothécaire (OCCH), devenu depuis 2001 la banque Credibe SA. Parmi ses multiples mandats, citons celle d’administrateur de la Fondation universitaire et d’ancien membre du conseil de surveillance de la Commission Bancaire Financière et des Assurances (CBFA) de Belgique.


"NS : Ceux qui, dans le monde financier, s’opposent au retour aux principes de Glass-Steagall, affirment que si on l’applique aux banques existantes, beaucoup tomberont en faillite.


EDK : Si c’est le cas, c’est qu’elles sont déjà insolvables aujourd’hui et qu’il faudrait donc les nationaliser. Il faut se rendre compte qu’un certain nombre de banques – à la prochaine crise qui arrive bientôt – risquent la nationalisation et devront être réformées en profondeur. Suite à cela, elles retrouveront peut-être une activité tout à fait routinière et de service public. "

http://www.solidariteetprogres.org/article7653.html



donc je ne vais pas faire une synthèse des interviews de ces deux économistes en place et je vous engage à les lire plus posément pour ceux qui croient que les peuples peuvent se laisser tondre la laine sur le dos sans prise de conscience que l’Économie doit être au service de l'Homme.

J'aimais déjà ni les énarques ni les gens du MEDEF, mais alors s'ils en plus ils militent à S&P..... manqueraient plus qu'ils soient nouars !

La hyène @ 18/04/2011 - 13h44 a dit:

Sacré varrehehehffgueueugueu.



Quel blagueur ! Lui, enarque ?

tiens, on n'entend plus parler de lui, Carlos Gohn a du l'exécuter sur une suspicion de vol de carrés de sucre a la machine a café.

Xstar @ 19/04/2011 - 10h13 a dit:

La hyène @ 18/04/2011 - 13h44 a dit:

Sacré varrehehehffgueueugueu.



Quel blagueur ! Lui, enarque ?

tiens, on n'entend plus parler de lui, Carlos Gohn a du l'exécuter sur une suspicion de vol de carrés de sucre a la machine a café.

Tu déconnes, fayot comme il était, il était plutôt du coté de la sécurité. il a du sauter avec l'équipe de "collaborateurs".



J'aime pas ce Carlos Goshn, son nom est trop difficile a écrire dans les posts.

La hyène @ 19/04/2011 - 09h17 a dit:

Xstar @ 19/04/2011 - 10h13 a dit:

La hyène @ 18/04/2011 - 13h44 a dit:

Sacré varrehehehffgueueugueu.



Quel blagueur ! Lui, enarque ?

tiens, on n'entend plus parler de lui, Carlos Gohn a du l'exécuter sur une suspicion de vol de carrés de sucre a la machine a café.

Tu déconnes, fayot comme il était, il était plutôt du coté de la sécurité. il a du sauter avec l'équipe de "collaborateurs".

C'est clair que je vois plutot les choses comme ça  


Un ex DWinder dont je tairais le nom qui l'a rencontré en vrai à plusieurs reprises m'avait dit qu'il arrivait aux apéros avec le badge Renault toujours au cou et qu'il faisait rarement une phrase sans le mot Renault dedans


J'espère qu'il ne s'est pas pendu après cette histoire qui a nuit gravement à l'image de la marque. ceci dit celle-ci s'en relèvera, quand on s'est relevé de la R12 et de la R14, on se relève de tout...

Ne le négligez pas. C'est quand même à ma connaissance le seul mec qui ait réussi à taper Mimich.


Ca prouve que chez Renault on doit avoir un sacré sens de l'économie.



(puisqu'on balance sur les trolls...)