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France 2 , journal de 13 h , il font depuis quelque temps le panier de la ménagère , les mêmes produits de consommation courante acheter tous les 2 mois dans le même magasin :

Café 1 ere prix : + 20 %

Huile : + 20 %

en 2 mois le panier a prix 8 % quand l'insee annonce 2,7 % d'inflation sur 12 mois , si c'est pas du foutage de gueule .......

France inter , ce matin , Benoit Hamon :

"On ne sortira de la crise financière et de l'Euro quand permettant aux Etats de refinancer leurs dettes en empruntant directement auprès de la Banque Central Européen "

On y arrive , on y arrive ..................

-

CHRISTOPHE ROUSSE @ 15/07/2011 - 08h45 a dit:

France inter , ce matin , Benoit Hamon :

"On ne sortira de la crise financière et de l'Euro quand permettant aux Etats de refinancer leurs dettes en empruntant directement auprès de la Banque Central Européen "

On y arrive , on y arrive ..................

pour payer encore des intérêts à des banques privées???

et augmenter donc in fine la dette!!


on y arrive a la faillite généralisée avec des incompétents aux ordres du lobbby financier!!


et quand le bon peuple croit raisonner et tout comprendre alors on peut etre plus qu'inquiet..

Quand Hollande veut faire payer le peuple français pour les vols des spéculateurs!!? Bientôt tous grec???

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/hollande-il-faut-reequilibrer-les-comptes-publics-sans-tarder-16-07-2011-1535172.php

http://www.lepost.fr/article/2011/07/16/2549803_la-bataille-qui-commence-aujourd-hui-dans-les-balkans.html


"La bataille qui commence aujourd'hui dans les Balkans


16/07/2011 à 11h45 - mis à jour le 16/07/2011 à 16h17 | 4479 vues | 58 réactions

Grèce


Grèce | Max PPP

Un jour, des historiens tenteront d’expliquer comment la Grèce, berceau de notre civilisation regorgeant de trésors et de sites inestimables a pu aller au tapis sous les coups de boutoirs de quelques usuriers après une ou deux décennies de budgets mal ficelés et de lâcheté politique.


J’imagine leur embarras pour comprendre comment une nation riche du Parthénon ou de Mikonos a pu être déclarée insolvable par une bande de banquiers aux cols plus blancs que la conscience.


En attendant, les Balkans nous entrainent dans un de ces merdiers dont ils ont le secret et changent le visage du monde. Car le domino grec n’est que la première cible (la plus facile) de l’offensive d’un certain libéralisme contre une certaine vision de l’intérêt général.


Le capitalisme, comme tout système fondé sur l’accumulation (d’argent, de pouvoir, de territoires, de Rolex…) n’est pas programmé pour s’autolimiter. Il est indispensable qu’existent des contre-pouvoirs pour le renvoyer régulièrement dans ses 22, parfois sèchement, et lui claquer le beignet.


Ces derniers temps, les contre-pouvoirs ont désertés et le système a acquis des pans de la société qu’on lui croyait interdit : l’accès à l’énergie, le droit de rouler sur les autoroutes, une santé de qualité, l’accès à l’eau potable ou même la possibilité de se garer dans un centre ville. Ces nouveaux monopoles génèrent des milliards au nez et à la barbe de l’Etat qui les a abandonnés faute d’avoir su les gérer (j’ai les noms des coupables).


La bataille qui se joue aujourd’hui autour de la dette "souveraine" n’est que la suite. Après avoir acquis le contrôle du domaine public, le capitalisme dispute aujourd’hui aux Etats le privilège de battre monnaie. S’il gagne, il s’attaquera sans doute à d’autres fonctions "souveraines" : lever l’impôt, constituer des armées… Et qui sait, un jour, accorder le droit de cité et user de la violence légale ?


Bien sûr, j’ignore tout de l’issue de la lutte. A vrai dire, je ne sais même pas, une fois raccroché mon costume de clown du dimanche, quel camp je servirai de fait lundi dans mon activité de cadre si moyen.


En revanche, j’ai deux certitudes :

- Si l’on veut que l’intérêt général ait une chance, il lui faudra des généraux moins blaireaux que Dupont-Aignan, Chevènement ou Mélenchon ou plus aguerris qu’Eva Joly (quoique).

- Du côté de libéralisme, la puissance de feu est sans limite. On a donc intérêt en face à mobiliser un sacré paquet de fantassins.


Défendez-vous."

thejoker @ 17/07/2011 - 10h52 a dit:

CHRISTOPHE ROUSSE @ 15/07/2011 - 08h45 a dit:

France inter , ce matin , Benoit Hamon :

"On ne sortira de la crise financière et de l'Euro quand permettant aux Etats de refinancer leurs dettes en empruntant directement auprès de la Banque Central Européen "

On y arrive , on y arrive ..................

pour payer encore des intérêts à des banques privées???

et augmenter donc in fine la dette!!


on y arrive a la faillite généralisée avec des incompétents aux ordres du lobbby financier!!


et quand le bon peuple croit raisonner et tout comprendre alors on peut etre plus qu'inquiet..

Ben non , le but est de réduire les taux d’intérêt  et le montant de la dette , les pays comme la Grèce pourrait par exemple emprunter à 3 % a la banque centrale européen pour rembourser sa dette en antissipper qu'elle a souscrit à 16 % .

Exemple : j'ai souscrit un emprunt immobilier de 180 000 sur 25 ans à 4,5 % , je doit rembourser in-finer le capital + 90 000 d’intérêt , on trouve en ce moment des prêts immobiliers aidé par l'état à 0 % , je peut donc espérer en vendant ma maison pour solder mon crédit et en reconstruisant une neuve une économie de 90 000 d’intérêt et baisser mon taux d'endettement .

et donc la grèce vendrait des biens publiques pour en racheter d'autres plus avantageux??


va te recoucher ...tu es vraiment idiot

thejoker @ 18/07/2011 - 08h34 a dit:

et donc la grèce vendrait des biens publiques pour en racheter d'autres plus avantageux??


va te recoucher ...tu es vraiment idiot

Et tête de nœud , tu le fais esprais ou quoi ? La Grèce peu racheter directement ses emprunts  à 16 % par des emprunts a 3 % .

mais bien sur les banquiers vont se laisser plumer


pour ceux qui jouent en bourse https://www.web-purchases.com/SCOUV/W990M737/landing.html

http://www.humanite.fr/18_07_2011-r%C3%A8gle-dor-les-peuples-ne-doivent-pas-payer-leur-crise-pcf-476476

"les gouvernements européens veulent intégrer dans la loi fondamentale des Etats l’objectif de l’équilibre budgétaire, ce que Nicolas Sarkozy appelle « la règle d’or ». Stupide économiquement - que se serait-il passé si cette règle avait été appliquée au moment de la crise financière où les Etats ont renfloué les banques -, cette proposition est une agression contre la démocratie, car les politiques économiques seraient ainsi totalement soustraites au débat politique et à la décision citoyenne. Une telle disposition, adoptée par les parlementaires des deux chambres, ne doit pas être intégrée dans la Constitution française comme le veulent le président de la République et l'Union Européenne.


Les citoyens et les citoyennes ne doivent pas payer les dettes qui sont le résultat de la soumission des Etats aux marchés financiers. Ces dettes sont illégitimes et les peuples ne doivent pas en faire les frais. Il faut exiger aujourd’hui un moratoire et des audits citoyens sur les dettes publiques. Dans l’immédiat, les organisations signataires appellent les citoyennes et les citoyens, leurs organisations associatives, syndicales et politiques à se mobiliser contre la constitutionnalisation de l’austérité et les parlementaires à voter contre ce texte si Nicolas Sarkozy osait malgré tout convoquer le Parlement en congrès à Versailles."

L'heure des choix a sonné pour l'Europe , on saurra jeudi la désicion prise , quand on voit que les banques privées on perdu jusqu'à 20 % de leur capitalisation boursiere depuis une semaine , on se doute de la direction que les politiques vont prendre ......

http://www.solidariteetprogres.org/L-euro-est-mort-mais-pas-les-eurofachos_07922


"Le système euro imposé à l’Europe il y a 20 ans pourrait exploser jeudi... à moins que l’Eurogroupe ne bascule définitivement dans l’eurofascisme.


« L’euro doit survivre à cette crise et lui survivra » , crient en coeur les principaux concepteurs de cette folie monétariste dans une tribune publiée par Le Monde. « Il en sortira même renforcé : les instruments qui manquaient à ce projet sans précédent d’une zone monétaire sans Etat et sans budget ont déjà commencé à être élaborés » , expliquent Jacques Delors, Felipe Gonzalez, Romano Prodi, Etienne Davignon et Antonio Vitorino. « La nécessité a fait loi » , disent-ils en se réjouissant presque d’avoir pu abolir en catimini la souveraineté des peuples.


« Nous devons aller vers une mutualisation plus forte des dettes souveraines européennes. Il faut les fusionner et promouvoir l’émission d’obligations européennes » , avance Mathieu Pigasse, le socialiste co-présidant la banque Lazard et néo-propriétaire du quotidien du soir. « Il faudrait instaurer une forme de gouvernement européen capable d’affirmer une solidarité budgétaire » , renchérit Jean Paul Fitoussi dans le JDD. Et la palme de la soumission ultime à la règle du jeu va à François Hollande qui veut « bien plus qu’un ministre des finances européen » et propose de « fusionner » les postes de président du Conseil et de la Commission pour piloter « un fédéralisme budgétaire et fiscal » .


En d’autres termes, il s’agit de transférer le peu de pouvoir restant à nos représentants élus dans les mains d’administrateurs et de techniciens « européens » qui savent ce qui est bon pour vous.


Mais la réalité est que les banques européennes sont en faillite : tout en demeurant une vaste fraude, le « stress-test » élaboré au siège de l’Autorité bancaire européenne (EBA) à la City de Londres, révèle déjà que 10% des banques européennes feront faillite à la moindre secousse. Sauf que leur test bancaire a autant de valeur qu’un test sismique de magnitude 5 qui aurait été fait le 10 mars 2011 sur l’île japonaise de Honshu. L’EBA n’a pas inclus dans ses paramètres le défaut souverain d’un pays européen et fait comme si le « shadow banking » (les activités cachées de nos banques dans le système offshore) n’existait pas. Quoi de plus étonnant lorsque l’on sait que le siège de l’EBA est implanté au coeur de la City de Londres et que l’Eurogroupe est présidé par le Luxembourg !


Derrière le slogan à la Goebbels « sauver l’euro » se cache un renflouement. Les banques anglo-européennes cherchent à tout prix à sauver leur peau... au détriment de la votre. Il ne vous reste donc que deux possibilités : aller comme une vache à l’abattoir ou contre-attaquer"

thejoker @ 19/07/2011 - 13h08 a dit:

"Le système euro imposé à l’Europe il y a 20 ans pourrait exploser jeudi... à moins que l’Eurogroupe ne bascule définitivement dans l’eurofascisme.

S&P bascule dans le point Godwin, pas très bon pour que l'on prenne son argumentaire au sérieux...

Ben ouais , il rêve d'un monde ou chaque hobereau de village pouvait battre monnaie et lever taxe et impôts à son bon vouloir .....