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maurice5533 @ 23/04/2007 - 18h11 a dit:

honnetement les gens qui votent pour sarko sont des gens qui veulent une france qui relève la tête de l'eau et les changes de leur train train quotidien et les aides a gagner + d'argent en travaillant + ce qui est logique car l'économie sera donc relancée grâce au travail des employées qui relanceront l'entreprise qui relancera les fournisseurs donc si l'entreprise engrange plus de bénefices on est tous daccord que les salaires augmentent donc   .  En revanche les gens qui sont content de gagner le smic en se branlant la nouille aux 35heures et qui n'ont aucun but professionel si ce n'est de travailler moins pour gagner plus ce qui est une impossibilité économique ( sauf arlette laguiller qui veut taxer les grandes entreprises et aini obtenir 250 milliards d'euros qui permettront d'augmenter le smic a 1500 pour des branleurs de nouilles pénalisant ainsi des personees qui peuvent travailler plus de 80 heures par semaine ) ALORS VOTER NICOLAS SARKOZY .

ice @ 24/04/2007 - 10h19 a dit:

Tu as en tous cas une très bonne vision du libéralisme. C'est pourtant si simple. Les mecs bossent plus, l'entreprise y gagne, du coup elle investie, elle embauche, elle gagne plus, elle redistribue ses richesse gagnées aux salariés, paye mieux ses fournisseurs, qui eux mêmes investissent, embauchent, payent mieux leurs salariés, qui du coup consomment plus, ont les moyens d'acheter français et le font par patriotisme économique, du coup fini les délocalisations et enfin, toute la racaille qui n'a plus d'alloc et crève de faim peut avoir du taf avec un bon salaire et comprends qu'elle a eu tord d'avoir peur du libéralisme.

ice @ 24/04/2007 - 08h19 a dit:

Les électeurs de gauche et de la droite molle centriste sont des frileux et font ramer les quelques dynamiques que nous sommes. Le pire, c'est qu'ils ne font rien et en plus il faut les aider. Je comprends pas les mecs qui ont pas d'ambition. Rester à la maison, pas trop bosser, avoir des loisirs. Pfff. C'est lamentable. Ils n'ont aucune image d'eux mêmes. Je préfèrerai les laisser crever de faim dans leur misère intelectuelle et j'espère que Sarkozy le fera. Heureusement qu'avec les 35 heures on a pu geler leur salaire, imposer l'annualisation du temps de travail et au final accroitre la productivité en supprimant toutes ces petites pauses à la con. De toutes façons, la seule gestion valable du personnel c'est la pression. A part pour des mecs comme toi et moi, qui veulent relever la France et ont l'ambition de réussir, peu de gens se donnent de la peine sans avoir une épée de Damoclès au dessus de la tête. Les cons.


Tu as en tous cas une très bonne vision du libéralisme. C'est pourtant si simple. Les mecs bossent plus, l'entreprise y gagne, du coup elle investie, elle embauche, elle gagne plus, elle redistribue ses richesse gagnées aux salariés, paye mieux ses fournisseurs, qui eux mêmes investissent, embauchent, payent mieux leurs salariés, qui du coup consomment plus, ont les moyens d'acheter français et le font par patriotisme économique, du coup fini les délocalisations et enfin, toute la racaille qui n'a plus d'alloc et crève de faim peut avoir du taf avec un bon salaire et comprends qu'elle a eu tord d'avoir peur du libéralisme.


Putain, pour moi c'est tellement simple et tellement évident que je comprends pas que tout le monde adhère pas à ça.


Bon quelque part, c'est pas si évident au départ et Sarko à raison de se débarasser des freins idéologiques et surtout humains pour permettre aux français courageux et méritants de réussir individuellement pour une France plus riche et plus puissante.


Je regrette qu'il n'y ait pas plus de gens comme toi sur tous les forums.

oursin @ 24/04/2007 - 11h39 a dit:

Jam, je crois que Ice a voulu faire du second degré.

En fait il voulait dire :


Tu as en tous cas une très bonne vision du libéralisme. C'est pourtant si simple. Les mecs bossent plus, l'entreprise y gagne, du coup elle délocalise (investit ailleurs), elle débauche, elle gagne plus, elle redistribue ses richesse gagnées aux  actionnaires, étrangle ses fournisseurs, qui eux mêmes  délocalisent , débauchent, payent mieux leurs  actionnaires, qui du coup doivent s'éxiler fiscalement, ont les moyens d'acheter  allemand et le font par égoisme, du coup fini les syndicalistes et enfin, tous les  salariés militants crèvent alors de faim et comprennent mais un peu tard qu'ils se sont bien faits entubés par ce libéralisme.

Jean-Sé @ 24/04/2007 - 11h47[img a dit:

http://goscinny.free.fr/photoexpression/farpaitement.gif[/img]

La hyène @ 24/04/2007 - 11h56 a dit:

Déconnez pas les mecs, ouvrez les ouvrages d'économie, regardez les débats parlementaires y'a pas un type sérieux, même à droite qui pourrait imaginer un schéma comme ça.

ice @ 24/04/2007 - 11h01 a dit:

Le libéralisme, ça pourrait être ce que tu décris Oursin. Mais ce n'est pas ça. Il faut aussi compter sur l'inné. Le libéral est naturellement bon. C'est ce qui le différencie du gaucho de base, génétiquement bien dôté en gènes qui font pousser les poils dans la main. Je pense que la génétique devrait aussi pouvoir expliquer pourquoi le prolo se pochtronne avec de la vinasse dégueulasse quand le fils de bonne famille à le bon sens de sniffer de la poudre accompagnée d'un bon verre de vin. Bien sur, l'inné n'est pas tout. L'acquis joue un rôle agravant chez les gauchos nés dans les familles d'enseignants, la pire racaille qui désinforme les enfants (les siens, mais pire, ceux des autres) à des fins individualistes et sous couvert de bonnes pensées nauséabondes. Le libéral, lui, ne voit son ambition personnelle qu'a travers la réussite de tous. Les délocalisations sont en réalité des oeuvres humanistes visant à offrir à tous, à travers le monde, les richesses jusqu'àlors confisquées par une minorité, à l'échelle mondiale, de nantis frileux et paresseux vivant sur des droits acquis par d'autres. Tous les libéraux, moi et Maurice en tête, le savent, mais ne peuvent le dire car peu sont ouverts et sont prêts à entendre la vérité. Se plaindre et se vautrer dans son misérabilisme et son canapé But est bien plus confortable que de s'ouvrir à la vrai nature de l'homme libéral. Pourtant, quand on a poser son cul dans des fauteuils de bureau à 15000€, on sait bien qu'un canapé but c'est vraiment de la merde.

ice @ 24/04/2007 - 12h01 a dit:

Le libéralisme, ça pourrait être ce que tu décris Oursin. Mais ce n'est pas ça. Il faut aussi compter sur l'inné. Le libéral est naturellement bon. C'est ce qui le différencie du gaucho de base, génétiquement bien dôté en gènes qui font pousser les poils dans la main. Je pense que la génétique devrait aussi pouvoir expliquer pourquoi le prolo se pochtronne avec de la vinasse dégueulasse quand le fils de bonne famille à le bon sens de sniffer de la poudre accompagnée d'un bon verre de vin. Bien sur, l'inné n'est pas tout. L'acquis joue un rôle agravant chez les gauchos nés dans les familles d'enseignants, la pire racaille qui désinforme les enfants (les siens, mais pire, ceux des autres) à des fins individualistes et sous couvert de bonnes pensées nauséabondes. Le libéral, lui, ne voit son ambition personnelle qu'a travers la réussite de tous. Les délocalisations sont en réalité des oeuvres humanistes visant à offrir à tous, à travers le monde, les richesses jusqu'àlors confisquées par une minorité, à l'échelle mondiale, de nantis frileux et paresseux vivant sur des droits acquis par d'autres. Tous les libéraux, moi et Maurice en tête, le savent, mais ne peuvent le dire car peu sont ouverts et sont prêts à entendre la vérité. Se plaindre et se vautrer dans son misérabilisme et son canapé But est bien plus confortable que de s'ouvrir à la vrai nature de l'homme libéral. Pourtant, quand on a poser son cul dans des fauteuils de bureau à 15000€, on sait bien qu'un canapé but c'est vraiment de la merde.

La hyène @ 24/04/2007 -  a dit:

On en a rien à foutre des idées. On en a rien à foutre des paroles. il faut juger les gens à leurs actes ! C'est au moins la seule chose que la philosophie m'ait appris ! Tout le reste n'est que névrose.


(c'est vrai que la, l'argument est pas trop sarkosien, du coup)