Une catastrophe annoncé pour la Bretagne, et spécialement pour founelolo .......
Posté : 22 oct. 2010, 22:34
UN GÈNE<br />
CONTRE<br />
L’ALCOOLISME<br />
Une trouvaille pleine de promesses.<br />
Des chercheurs de Caroline du Nord ont<br />
découvert une variation génétique qui<br />
protégerait contre l’alcoolisme : la variante<br />
du gène CYP2E1, présente chez<br />
10 à 20 % de la population. Chez ces derniers,<br />
la sensation d’ivresse intervient<br />
dès l’absorption de petites quantités<br />
d’alcool, ce qui diminue leur risque de<br />
devenir alcooliques. En agissant sur ce<br />
gène, les scientifiques pourraient rendre<br />
les individus plus sensibles à l’alcool et<br />
réduire de fait les cas d’alcoolisme.<br />
« Nous avons découvert un gène qui protège<br />
contre l’alcoolisme et qui en plus<br />
de cela a un effet très puissant », s’est<br />
félicité le Dr Kirk Wilhelmsen, principal<br />
auteur de cette étude parue dans l’édition<br />
en ligne de la revue Alcoholism : clinical<br />
and experimental research. « Mais,<br />
a-t-il poursuivi, l’alcoolisme est une maladie<br />
très complexe, il y a un grand<br />
nombre de raisons […] pour lesquelles<br />
les gens boivent et les effets de cette<br />
variante génétique pourraient seulement<br />
n’être qu’une de ces raisons. » W I. G.
CONTRE<br />
L’ALCOOLISME<br />
Une trouvaille pleine de promesses.<br />
Des chercheurs de Caroline du Nord ont<br />
découvert une variation génétique qui<br />
protégerait contre l’alcoolisme : la variante<br />
du gène CYP2E1, présente chez<br />
10 à 20 % de la population. Chez ces derniers,<br />
la sensation d’ivresse intervient<br />
dès l’absorption de petites quantités<br />
d’alcool, ce qui diminue leur risque de<br />
devenir alcooliques. En agissant sur ce<br />
gène, les scientifiques pourraient rendre<br />
les individus plus sensibles à l’alcool et<br />
réduire de fait les cas d’alcoolisme.<br />
« Nous avons découvert un gène qui protège<br />
contre l’alcoolisme et qui en plus<br />
de cela a un effet très puissant », s’est<br />
félicité le Dr Kirk Wilhelmsen, principal<br />
auteur de cette étude parue dans l’édition<br />
en ligne de la revue Alcoholism : clinical<br />
and experimental research. « Mais,<br />
a-t-il poursuivi, l’alcoolisme est une maladie<br />
très complexe, il y a un grand<br />
nombre de raisons […] pour lesquelles<br />
les gens boivent et les effets de cette<br />
variante génétique pourraient seulement<br />
n’être qu’une de ces raisons. » W I. G.