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Clément Juglar postule le premier l'existence d'un cycle court, en répondant à une question mise au concours public par l'Académie des sciences morales et politiques.<br /><br />
Son livre, Les crises commerciales et leur retour périodique en France en Angleterre et aux États-Unis (1862) fait date. Il a étudié en détail les premières crises du XIXe siècle et notamment celles de 1810, 1818, 1825, 1830, 1837, 1847, 1857, 1867, 1882, 1891.<br /><br />
Exploitant les courbes des prix et l'évolution du crédit, l'auteur montre que la crise décennale est due principalement aux dérèglements périodiques du crédit. Il met les banques au centre de l'explication des crises dites alors « commerciales ».<br /><br />
<!--size=--><span style="font-size:16px"><!--color=--><span style="color:red">Pour lui, la spéculation et le crédit tendent les ressorts économiques à l'extrême. La période d'euphorie finale provoque des anticipations excessives qui ne trouvent pas de réalité. Le renversement commence. Le crédit s'arrête. L'investissement également. Les entreprises se retrouvent avec des capitaux sans rentabilité et des excès de stocks. La production ralentit. Le chômage augmente. Les prix baissent, entraînant des anticipations négatives qui aggravent la crise. Certaines banques trop engagées font faillite.</span><!--/color=--></span><!--/size=--><br /><br />
Puis la situation est assainie. La reprise se produit progressivement. L'optimisme revient et l'investissement reprend puis s'accélère.<br /><br /><br />
(C'est moi, ou on est en plein vers la fin d'un cycle de crise? Bordel, encore deux ou trois and, et a nous les pryde a tour de bras!!!!  <img src="smileys/ph34r.gif" alt=":fear:" class="smiley" /> =

Quand les économistes arrêteront de se prendre pour des physiciens et accepteront d'être les acteurs d'une science molle, on lira moins de conneries.

Bah perso jsuis pas persuadé que ce soit des conneries ces histoires de cycles, ca colle quand meme pas mal...

Le saviez tu ? Il existe une corrélation entre l'augmentation du nombre d'ascenseurs et le nombre de divorce. Il ne faut pas confondre corrélation et causalité.


Wé ça compile là, alors j'ai du temps

Wé, mais si les gens baisaient pas autant dans les ascenseurs, ils se mariraient moins, et divorceraient moins.


Sont cons aussi, les gensse!

HDS t'es en train de te jokizer... je te préviens juste, ça serait chiant pour après...

J expérimente, ça fait quoi de poser un copier coller et d attendre


Demain je me déguise en hyène!

jveux voir ça

Et apres demain tu vas faire un tour de vélo sans selle avec Funlolo !!

On le perd les gars !!

erreur mon cher ! AVEC selle !!!

Homerdusud @ 16/07/2012 - 16h24 a dit:

Clément Juglar postule le premier l'existence d'un cycle court, en répondant à une question mise au concours public par l'Académie des sciences morales et politiques.


Son livre, Les crises commerciales et leur retour périodique en France en Angleterre et aux États-Unis (1862) fait date. Il a étudié en détail les premières crises du XIXe siècle et notamment celles de 1810, 1818, 1825, 1830, 1837, 1847, 1857, 1867, 1882, 1891.


Exploitant les courbes des prix et l'évolution du crédit, l'auteur montre que la crise décennale est due principalement aux dérèglements périodiques du crédit. Il met les banques au centre de l'explication des crises dites alors « commerciales ».


Pour lui, la spéculation et le crédit tendent les ressorts économiques à l'extrême. La période d'euphorie finale provoque des anticipations excessives qui ne trouvent pas de réalité. Le renversement commence. Le crédit s'arrête. L'investissement également. Les entreprises se retrouvent avec des capitaux sans rentabilité et des excès de stocks. La production ralentit. Le chômage augmente. Les prix baissent, entraînant des anticipations négatives qui aggravent la crise. Certaines banques trop engagées font faillite.


Puis la situation est assainie. La reprise se produit progressivement. L'optimisme revient et l'investissement reprend puis s'accélère.



(C'est moi, ou on est en plein vers la fin d'un cycle de crise? Bordel, encore deux ou trois and, et a nous les pryde a tour de bras!!!!   =

Cela risque d'être plus compliqué cette fois ci.

Mais, il ya un mais.

Un banquier me disait que la solution serait d'annluer toutes les dettes d'un commun accord entre les pays.

Cela relancerait la croissance immédiatement en limitant la casse  aux classes intermédiaires.

Les pauvres pourraient à nouveau emprunter, les riches seraient à peine moins riches.


C'est plus compliqué parceque la crise touche plusieurs générations sur du long terme.

Rien qu'en France, 40 ans d'escrocqueries cela laisse forcément des traces que les générations futures seront incapables d'assumer. Donc va falloir trancher dans le vif et profondemment pour que la situation s'assainisse. Je crois pas que l'auteur cité, a cherché à détailler jusqu'où il faudrait aller creuser.

Pour moi, plus on attend, plus cela sera douloureux.


A qui profite la crise finalement ?

Parcequ'il est clair à présent qu'il était facile de sortir des subprimes en créant des badbank qui rachetaient les parties pourries des actions.

Les Espagnols sont en train de le faire, La France et la Belgique l'ont fait pour Dexia et le Crédit Agricole.

Donc c'est quoi le piège ?

- Endetter les pays à outrace en les laissant gérer soit par des incompétents notoires soit par des escrots orateurs pour équilibrer ses propres pertes ?

- Déclencher des guerres pour financer les économies ?

merydine @ 18/07/2012 - 09h13 a dit:

Homerdusud @ 16/07/2012 - 16h24 a dit:

Clément Juglar postule le premier l'existence d'un cycle court, en répondant à une question mise au concours public par l'Académie des sciences morales et politiques.


Son livre, Les crises commerciales et leur retour périodique en France en Angleterre et aux États-Unis (1862) fait date. Il a étudié en détail les premières crises du XIXe siècle et notamment celles de 1810, 1818, 1825, 1830, 1837, 1847, 1857, 1867, 1882, 1891.


Exploitant les courbes des prix et l'évolution du crédit, l'auteur montre que la crise décennale est due principalement aux dérèglements périodiques du crédit. Il met les banques au centre de l'explication des crises dites alors « commerciales ».


Pour lui, la spéculation et le crédit tendent les ressorts économiques à l'extrême. La période d'euphorie finale provoque des anticipations excessives qui ne trouvent pas de réalité. Le renversement commence. Le crédit s'arrête. L'investissement également. Les entreprises se retrouvent avec des capitaux sans rentabilité et des excès de stocks. La production ralentit. Le chômage augmente. Les prix baissent, entraînant des anticipations négatives qui aggravent la crise. Certaines banques trop engagées font faillite.


Puis la situation est assainie. La reprise se produit progressivement. L'optimisme revient et l'investissement reprend puis s'accélère.



(C'est moi, ou on est en plein vers la fin d'un cycle de crise? Bordel, encore deux ou trois and, et a nous les pryde a tour de bras!!!!   =

Cela risque d'être plus compliqué cette fois ci.

Mais, il ya un mais.

Un banquier me disait que la solution serait d'annluer toutes les dettes d'un commun accord entre les pays.

Cela relancerait la croissance immédiatement en limitant la casse  aux classes intermédiaires.

Les pauvres pourraient à nouveau emprunter, les riches seraient à peine moins riches.


C'est plus compliqué parceque la crise touche plusieurs générations sur du long terme.

Rien qu'en France, 40 ans d'escrocqueries cela laisse forcément des traces que les générations futures seront incapables d'assumer. Donc va falloir trancher dans le vif et profondemment pour que la situation s'assainisse. Je crois pas que l'auteur cité, a cherché à détailler jusqu'où il faudrait aller creuser.

Pour moi, plus on attend, plus cela sera douloureux.


A qui profite la crise finalement ?

Parcequ'il est clair à présent qu'il était facile de sortir des subprimes en créant des badbank qui rachetaient les parties pourries des actions.

Les Espagnols sont en train de le faire, La France et la Belgique l'ont fait pour Dexia et le Crédit Agricole.

Donc c'est quoi le piège ?

- Endetter les pays à outrace en les laissant gérer soit par des incompétents notoires soit par des escrots orateurs pour équilibrer ses propres pertes ?

- Déclencher des guerres pour financer les économies ?

mettre en place ce qui va remplacer les etats nations..

en fait les etats nations europeens sont deja soumis à la bce et aux traites europeens...


ensuite qu'est ce qui va suivre? à en croire les complotistes : des fous voudraient mettre en place une monnaie mondiale et reduire la population mondiale....

Hollande d'ailleurs a fait un pas dans ce sens en mettant en place une austerite touchant principalement les bas salaires (qui ne sont plus leur electorat ) et en evoquant l'euthanasie...