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Donc d'où viens ton affirmation comme quoi il y a quelques centaines de millions d'années , trop de végétations sur terre et d'algues dans le mer ont produit plus d'oxygène que la planète pouvait absorber et son excès dans l'atmosphère a cramé une grande parti de la vie sur terre ......
PS: sachant que la végétation se régule d'elle même comme je t'ai expliqué plus haut.
Ben tu tapes " période trop d'oxygène sur terre " sur Google et tu verras les articles donc les sources sur ce sujet .....
Je crois même me rappeler que ça été un sujet d'article dernièrement dans " Nature" et que c'est dans l'émission " La terre au carré " sur France Inter qui en ont parlés , ça te vas comme fiabilité des sources ?
Putain , on a quand même des boulets qui traînent encore sur le forum ......
Tu sais que tu peux faire la même chose à Zanzibar pour 3 fois moins cher, en mer, et avec la possibilité de ne pas être enfermé dans un camp de concentration pour blancs ?
Tu sais que tu peux faire la même chose à Zanzibar pour 3 fois moins cher, en mer, et avec la possibilité de ne pas être enfermé dans un camp de concentration pour blancs ?
Bah Negugusse sera dépaysé lui, ce n'est pas une Blanchette comme La Rousse.
Tu sais que tu peux faire la même chose à Zanzibar pour 3 fois moins cher, en mer, et avec la possibilité de ne pas être enfermé dans un camp de concentration pour blancs ?
Ca m'étonnerait que tu puises loger en front de mer à Zanzibard dans une chambre pour 2 à 15 € en pension complète ....
Et puis de toute façon , Zanzibard c'est nul , il a jamais de vent comme tu as pu le constater toi même ......
Ben tu tapes " période trop d'oxygène sur terre " sur Google et tu verras les articles donc les sources sur ce sujet .....
Je crois même me rappeler que ça été un sujet d'article dernièrement dans " Nature" et que c'est dans l'émission " La terre au carré " sur France Inter qui en ont parlés , ça te vas comme fiabilité des sources ?
Putain , on a quand même des boulets qui traînent encore sur le forum ......
ouais en fait t'as aucune source à me donner, juste un "j'ai entendu dire que"
Un travail récent de Ernst-Georg Beck (2006), Université de Freiburg, Allemagne, a consisté à analyser les mesures faites, par des chercheurs de plusieurs disciplines (biologie, médecine,…), en ce qui concerne le CO2, depuis deux cents ans. Elles contredisent les conclusions tirées à partir des seules carottes glaciaires.
Nous extrayons le résumé suivant de l'article de Beck, qui est lui-même une "short version". Des analyses chimiques précises du CO2 dans l'air depuis 180 ans, basées sur plus de 90 000 mesures, montrent une évolution différente de ce qu'annonce le GIEC. Depuis 1829, la concentration en CO2 dans l'air dans l'hémisphère nord a baissé, à partir d'une valeur d'environ 400 ppm, jusqu'en 1900, à une valeur d'environ 300 ppm. Elle a augmenté ensuite jusqu'en 1942, à plus de 400 ppm. Après ce maximum, elle est retombée à 350, pour remonter ensuite à 380 ppm aujourd'hui.
La précision sur ces mesures est d'environ 3 ppm. Il n'existe donc aucune croissance exponentielle du CO2 depuis l'âge préindustriel.
Passons maintenant ? l'analyse des m?canismes physico-chimiques li?s ? l'effet de serre. Le CO2 repr?sente 3.6 % des gaz ? effet de serre, contre 95 % pour la vapeur d'eau, qui n'est pas recens?e. Il y a ensuite bien d'autres gaz ? effet de serre dans l'atmosph?re, que l'on ne recense pas non plus. Le m?thane vient en troisi?me position. Comment le CO2 agit-il ? Il intervient de mani?re naturelle dans tous les m?canismes d'?change terre-atmosph?re, oc?an-atmosph?re. Les oc?ans contiennent 50 fois plus de CO2 que l'atmosph?re, mais les diff?rents processus physico-chimiques sont mal connus ; tous les deux jours on remet les r?sultats en cause et de nouveaux param?tres interviennent, qui n'avaient jamais ?t? pris en compte auparavant.
On ne sait pas, par exemple, si ce sont les couches profondes ou les couches superficielles des oc?ans qui jouent le r?le principal dans les ?changes li?s au CO2. De mani?re g?n?rale, on peut dire tr?s simplement qu'il n'existe aucune connaissance fiable, indiscutable, valid?e, concernant ces m?canismes. Pour un math?maticien, une tentative de r?solution d'un probl?me fond?e uniquement sur la variable secondaire et n?gligeant la variable principale est une absurdit?, une aberration : si l'on veut un jour comprendre l'effet de serre et ses variations, il faudra commencer par ?tudier la vapeur d'eau.
Or, comme nous l'avons dit, la vapeur d'eau repr?sente 95 % et le CO2 3.6 % : il y a du chemin ? faire ! La raison pour laquelle la vapeur d'eau n'est pas ?tudi?e, pas m?me recens?e, est, elle aussi de nature religieuse. On sait pertinemment que la Nature ?met et transforme quantit? de vapeur d'eau (l'?vaporation des oc?ans, la pluie, les volcans), infiniment plus que la contribution de l'homme. Il n'y a pas d'espoir, sur la vapeur d'eau, de d?montrer l'existence d'un "p?ch?", d'un mauvais comportement de l'homme. En revanche, sur le CO2, on peut esp?rer s'attaquer ? nos industries, pr?sent?es comme responsables.
Ensuite, le CO2 produit par l'homme ne se distingue en rien du CO2 "ordinaire" ; il est comme lui absorbé par les plantes, les océans, etc. Considérer que le CO2 anthropique vient grossir la teneur atmosphérique est une absurdité.
Il est intéressant, pour juger de la pertinence des mesures prises, de chercher à évaluer la quantité de CO2 anthropique. On estime actuellement que, en 1750, la concentration de CO2 dans l'atmosphère était de 280 ppm, et qu’elle est de 350 en 2004 (Jean-Marc Jancovici), soit une augmentation de 25 % (nous prenons ici l'estimation de M. Jancovici et nous lui en laissons la responsabilité : le paragraphe précédent montre qu'elle n'est pas correcte).
La part de la France dans les émissions mondiales de CO2 est de (source DGEMP) : 106/7250= 0.015 .
La part de la France dans les émissions de GES est donc au total :
3.6/100 x 25/100 x106/7250= 1,31 10-4, soit 0.013 % !
Le calcul précédent est mené de la manière suivante :
3.6/100 : part du CO2 dans l'ensemble des gaz à effet de serre ;
25/100 part du CO2 anthropique (estimation Jancovici) .
106/7250 : part de la France dans le CO2 anthropique.
Chose amusante, certains calculs semblent montrer que la part de CO2 due à la respiration humaine serait aussi importante que celle due au parc automobile. Il est intéressant aussi de chiffrer la part de la France dans la composition de l'atmosphère : rejets de CO2 dus à l’industrie française, rapportés à l’atmosphère totale.
Cette part vaut :
0.03/100 x 25/100x 106/ 7250= 1,09 x 10-6. puisque la part du CO2 dans l'atmosphère est 0.03 %.
Autrement dit, ce pour quoi nous nous battons aujourd'hui représente un millionième de la composition atmosphérique : si nous cessions complètement toute émission de CO2 par nos industries, la composition atmosphérique varierait au mieux d'un millionième. En fait, la variation serait non-décelable, parce que, comme nous l'avons dit plus haut, la teneur en CO2 varie constamment, d'un point à un autre, d'un jour à l'autre, et une variation aussi fine ne pourrait pas être mise en évidence, au sein des variations normales. Il est donc clair, au vu de ces chiffres, que nous nous battons "pour du vent", si l'on ose dire. Don Quichotte se battait contre des moulins à vent, qui ont au moins un aspect matériel.
Tu sais que tu peux faire la même chose à Zanzibar pour 3 fois moins cher, en mer, et avec la possibilité de ne pas être enfermé dans un camp de concentration pour blancs ?
Ca m'étonnerait que tu puises loger en front de mer à Zanzibard dans une chambre pour 2 à 15 € en pension complète ....
A mais à ce tarif là tu passes en MP immédiatement et je signe !
Il est intéressant, pour juger de la pertinence des mesures prises, de chercher à évaluer la quantité de CO2 anthropique. On estime actuellement que, en 1750, la concentration de CO2 dans l'atmosphère était de 280 ppm, et qu’elle est de 350 en 2004 (Jean-Marc Jancovici), soit une augmentation de 25 % (nous prenons ici l'estimation de M. Jancovici et nous lui en laissons la responsabilité : le paragraphe précédent montre qu'elle n'est pas correcte).
La part de la France dans les émissions mondiales de CO2 est de (source DGEMP) : 106/7250= 0.015 .
La part de la France dans les émissions de GES est donc au total :
3.6/100 x 25/100 x106/7250= 1,31 10-4, soit 0.013 % !
Le calcul précédent est mené de la manière suivante :
3.6/100 : part du CO2 dans l'ensemble des gaz à effet de serre ;
25/100 part du CO2 anthropique (estimation Jancovici) .
106/7250 : part de la France dans le CO2 anthropique.
Chose amusante, certains calculs semblent montrer que la part de CO2 due à la respiration humaine serait aussi importante que celle due au parc automobile. Il est intéressant aussi de chiffrer la part de la France dans la composition de l'atmosphère : rejets de CO2 dus à l’industrie française, rapportés à l’atmosphère totale.
Cette part vaut :
0.03/100 x 25/100x 106/ 7250= 1,09 x 10-6. puisque la part du CO2 dans l'atmosphère est 0.03 %.
Autrement dit, ce pour quoi nous nous battons aujourd'hui représente un millionième de la composition atmosphérique : si nous cessions complètement toute émission de CO2 par nos industries, la composition atmosphérique varierait au mieux d'un millionième. En fait, la variation serait non-décelable, parce que, comme nous l'avons dit plus haut, la teneur en CO2 varie constamment, d'un point à un autre, d'un jour à l'autre, et une variation aussi fine ne pourrait pas être mise en évidence, au sein des variations normales. Il est donc clair, au vu de ces chiffres, que nous nous battons "pour du vent", si l'on ose dire. Don Quichotte se battait contre des moulins à vent, qui ont au moins un aspect matériel.
Joke, stp, tu nous fais une synthèse et tu reviens dans 3 heures. Et ne regarde pas la copie du voisin.