Juste une petite mise au point !, Droit de réponse de Wind Magazine
Posté : 24 sept. 2008, 16:15
Voici un communiqué OFFICIEL de Wind Magazine !<br /><br />
#####################<br />
Suite aux interventions publiées sur le forum de directwind.com depuis le samedi 20 septembre, je tiens à apporter quelques précisions au nom de la rédaction et du service publicité de Wind Magazine. Ainsi, les personnes qui souhaiteront s’exprimer le feront en connaissance de cause.<br /><br />
En préambule, nous n’avons pas pour politique d’intervenir ou de commenter les posts des forums nous concernant. Le web est un espace de liberté et nous le respectons. Nous considérons que les internautes et nos lecteurs sont suffisamment intelligents pour faire la part des choses.<br /><br />
En revanche, lorsqu’un « acteur du milieu windsurf » comme Eric Carrière, représentant la marque F2 en France, se répand à notre encontre sur un forum, ses propos prennent une tout autre valeur. Et quand ce dernier règle ses comptes en diffamant notre équipe, je me dois d’apporter des précisions pour éclairer le débat.<br /><br />
Mais avant de rectifier ces propos diffamatoires, restituons « l’action » qui a déclenché la fureur d’Eric Carrière et sa sortie de route (dangereuse pour un fan de Formule 1). Lorsque la société F2 a déposé le bilan en mai dernier, nous avons été alertés parmi les premiers grâce à un informateur très proche de F2, puis nous en avons eu la confirmation en notre qualité de créancier (quelques pages de publicité n’ayant pas été réglées à la date du dépôt de bilan, d’où une importante perte nette enregistrée chez nous). En notre qualité de journalistes, nous avons décidé de livrer à nos lecteurs cette information sur Wind et Windmag.com, et d’enquêter sur les raisons qui avaient amené les nouveaux propriétaires de F2 à déposer le bilan en un temps record de neuf mois !<br />
Monsieur Eric Carrière a fait alors pression pour que l’information ne soit pas diffusée en France (alors qu’elle l’était partout en Allemagne). Nous sommes passés outre, contrairement à d’autres médias. Dès lors, Eric Carrière a enchaîné coups de téléphone, messages d’insultes et pressions diverses. De notre côté, nous avons continué à faire notre travail, c’est-à-dire à traiter F2 comme tout autre marque du marché. Puis profitant de post sur les chronos « à la ramasse » de Dunkerbeck à Lüderitz (une mauvaise blague mettant en scène une fausse interview menée par notre collègue de windsurfjournal - post depuis retiré de notre site <a href="http://www.windmag.com),">www.windmag.com),</a> Eric Carrière a cru opportun de régler ses comptes et de se payer Wind.<br /><br />
Venons-en au post publié par Eric Carrière, le 20 septembre sur directwind.com.<br /><br />
Entre autres mensonges, le représentant de F2 avance que « la bible WAND « copyright » eux ils sont venu un ou deux jours mais ils ont bien Surfer, il y avait de belles conditions sur l’ile de Ré parait-il ! Aussi ils n’ont pas manqué l’apéro qu’ils avaient annoncé, c’est la moindre des choses …. ! 6 euros par mois le canard et quelques milliers d’euros la page de Pub, j’espère que les vagues étaient bonnes à ce tarif car les dindons ces bien nous lecteurs et professionnel. »<br /><br /><br />
Voici donc l’emploi du temps de l’équipe de Wind sur le Grand Pavois de la Rochelle (je tiens à votre disposition les justificatifs afférents).<br /><br />
Charlotte Roulois, notre directrice de publicité, était à La Rochelle le mardi 9 septembre, veille de l’ouverture du salon. Elle en est repartie le mardi 16 au matin après une bonne semaine de travail. Elle n’est pas allée surfer.<br /><br />
Pour ma part (Gilles Debrix, rédacteur en chef de Wind), je suis arrivé sur le salon à 17h30, le jeudi 11 septembre (osant voyager en cette date fatidique) et j’en suis reparti le lundi 15 à 15 heures.<br /><br />
Erwan Jauffroy, notre responsable des tests, est arrivé le vendredi et est reparti le lundi 15. En provenance d’une session de test et en partance pour un sujet à paraître dans le prochain Wind de novembre.<br /><br />
Dans le même temps, pub et rédaction ont géré à distance le bouclage du Wind d’octobre qui s’est déroulé le vendredi 19 septembre (petit sujet sur le Grand Pavois). Par ailleurs, nous avons délibérément choisi de ne pas faire de « live » sur le Grand Pavois sachant que Windsurfjournal était sur place et le ferait beaucoup mieux que nous.<br /><br />
Enfin, nous avons passé un maximum de temps avec les représentants des nombreuses marques exposant au Grand Pavois (Karin Jaggi, qui co-gère désormais F2 International nous a d’ailleurs très bien accueillis sur le stand de la marque). Et nous considérons avoir fait notre travail sur ce salon en notre âme et conscience sans avoir à rendre compte de l’organisation de notre emploi du temps, ni de nos sessions tests sur l’eau. L’équipe de Wind Magazine est composée de passionnés et pratiquants de windsurf qui entendent rester libres dans leur travail et dans leur vie privée sans avoir à rendre de comptes à Monsieur Carrière.<br /><br />
Un seul Dieu, un seul maître : la planète bleue.<br /><br />
Dernière précision : vous ne trouverez malheureusement pas de F2 dans le Wind Spécial Test Vagues qui sort fin septembre, car F2 ne nous a pas livré les planches que nous avions demandées.<br /><br />
En vous remerciant pour votre écoute, Messieurs et Mesdames les juré(e)s.<br />
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Suite aux interventions publiées sur le forum de directwind.com depuis le samedi 20 septembre, je tiens à apporter quelques précisions au nom de la rédaction et du service publicité de Wind Magazine. Ainsi, les personnes qui souhaiteront s’exprimer le feront en connaissance de cause.<br /><br />
En préambule, nous n’avons pas pour politique d’intervenir ou de commenter les posts des forums nous concernant. Le web est un espace de liberté et nous le respectons. Nous considérons que les internautes et nos lecteurs sont suffisamment intelligents pour faire la part des choses.<br /><br />
En revanche, lorsqu’un « acteur du milieu windsurf » comme Eric Carrière, représentant la marque F2 en France, se répand à notre encontre sur un forum, ses propos prennent une tout autre valeur. Et quand ce dernier règle ses comptes en diffamant notre équipe, je me dois d’apporter des précisions pour éclairer le débat.<br /><br />
Mais avant de rectifier ces propos diffamatoires, restituons « l’action » qui a déclenché la fureur d’Eric Carrière et sa sortie de route (dangereuse pour un fan de Formule 1). Lorsque la société F2 a déposé le bilan en mai dernier, nous avons été alertés parmi les premiers grâce à un informateur très proche de F2, puis nous en avons eu la confirmation en notre qualité de créancier (quelques pages de publicité n’ayant pas été réglées à la date du dépôt de bilan, d’où une importante perte nette enregistrée chez nous). En notre qualité de journalistes, nous avons décidé de livrer à nos lecteurs cette information sur Wind et Windmag.com, et d’enquêter sur les raisons qui avaient amené les nouveaux propriétaires de F2 à déposer le bilan en un temps record de neuf mois !<br />
Monsieur Eric Carrière a fait alors pression pour que l’information ne soit pas diffusée en France (alors qu’elle l’était partout en Allemagne). Nous sommes passés outre, contrairement à d’autres médias. Dès lors, Eric Carrière a enchaîné coups de téléphone, messages d’insultes et pressions diverses. De notre côté, nous avons continué à faire notre travail, c’est-à-dire à traiter F2 comme tout autre marque du marché. Puis profitant de post sur les chronos « à la ramasse » de Dunkerbeck à Lüderitz (une mauvaise blague mettant en scène une fausse interview menée par notre collègue de windsurfjournal - post depuis retiré de notre site <a href="http://www.windmag.com),">www.windmag.com),</a> Eric Carrière a cru opportun de régler ses comptes et de se payer Wind.<br /><br />
Venons-en au post publié par Eric Carrière, le 20 septembre sur directwind.com.<br /><br />
Entre autres mensonges, le représentant de F2 avance que « la bible WAND « copyright » eux ils sont venu un ou deux jours mais ils ont bien Surfer, il y avait de belles conditions sur l’ile de Ré parait-il ! Aussi ils n’ont pas manqué l’apéro qu’ils avaient annoncé, c’est la moindre des choses …. ! 6 euros par mois le canard et quelques milliers d’euros la page de Pub, j’espère que les vagues étaient bonnes à ce tarif car les dindons ces bien nous lecteurs et professionnel. »<br /><br /><br />
Voici donc l’emploi du temps de l’équipe de Wind sur le Grand Pavois de la Rochelle (je tiens à votre disposition les justificatifs afférents).<br /><br />
Charlotte Roulois, notre directrice de publicité, était à La Rochelle le mardi 9 septembre, veille de l’ouverture du salon. Elle en est repartie le mardi 16 au matin après une bonne semaine de travail. Elle n’est pas allée surfer.<br /><br />
Pour ma part (Gilles Debrix, rédacteur en chef de Wind), je suis arrivé sur le salon à 17h30, le jeudi 11 septembre (osant voyager en cette date fatidique) et j’en suis reparti le lundi 15 à 15 heures.<br /><br />
Erwan Jauffroy, notre responsable des tests, est arrivé le vendredi et est reparti le lundi 15. En provenance d’une session de test et en partance pour un sujet à paraître dans le prochain Wind de novembre.<br /><br />
Dans le même temps, pub et rédaction ont géré à distance le bouclage du Wind d’octobre qui s’est déroulé le vendredi 19 septembre (petit sujet sur le Grand Pavois). Par ailleurs, nous avons délibérément choisi de ne pas faire de « live » sur le Grand Pavois sachant que Windsurfjournal était sur place et le ferait beaucoup mieux que nous.<br /><br />
Enfin, nous avons passé un maximum de temps avec les représentants des nombreuses marques exposant au Grand Pavois (Karin Jaggi, qui co-gère désormais F2 International nous a d’ailleurs très bien accueillis sur le stand de la marque). Et nous considérons avoir fait notre travail sur ce salon en notre âme et conscience sans avoir à rendre compte de l’organisation de notre emploi du temps, ni de nos sessions tests sur l’eau. L’équipe de Wind Magazine est composée de passionnés et pratiquants de windsurf qui entendent rester libres dans leur travail et dans leur vie privée sans avoir à rendre de comptes à Monsieur Carrière.<br /><br />
Un seul Dieu, un seul maître : la planète bleue.<br /><br />
Dernière précision : vous ne trouverez malheureusement pas de F2 dans le Wind Spécial Test Vagues qui sort fin septembre, car F2 ne nous a pas livré les planches que nous avions demandées.<br /><br />
En vous remerciant pour votre écoute, Messieurs et Mesdames les juré(e)s.<br />
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