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Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
Pour les breizhou qui étaient déjà nés vous en avez quel souvenir ? De la nuit et surtout le matin ?
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
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Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
raa le bon vieux temps où les dépressions faisaient la loi de septembre à mars... maintenant les plus gros coup de baston c'est en juillet
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
Je peux voir dire qu'avec le matos de l'époque, on en a chier
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
Jean Sé est parti naviguer comme ça :
Il est revenu comme ça
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
Les traces, ben, y'a plus un arbre de 2m de diamètre devant la plage des barges (c'est le nom des rochers qu'on voit à marée basse) et il reste qu'un arbre sur la terrasse du bistrot du port..
Jean-Sé, on a retrouvé ta 4.2 dans les terres...
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
le toit de la longère à coté de la maison sur la cour. On va à l'école, jour de piscine: toutes les fenetres explosés à l'école.
Pas de piscine et retour à la maison.
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
J'ai pas navigué mais je m'en souviens bien. J'avais débuté en wind, pardon, en "fun", l'année d'avant (d'où mon avatar).
J'avais 21 ans.
Time flies...
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
J'ai pris une autre route et là s'était un peu près accessible, en évitant les toits. Enfin un toit ça avance pas vite.
Le collège lui avait pas trop mal résisté, p't'être même qu'on a eu cours ! Sadiques !
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
d'un coup, les mns chopent le porte voix, et alertent les gens de se casser le plus vite possible de la plage, tempête en vue !
keskidi ? tempête en vue ? on matte le large, rien... pas bien lui, il va inquiéter le touriste...et puis à bien regarder, l'eau frissonne, loin...une brise se met en route sur la plage, le ballon perd la trajectoire des secondes d'avant, et le mns hurle de plus belle en agitant les bras ! a pas l'air content du tout, il saute de son fauteuil de 3 métres de haut, et commence a botter le ass des touristes qui pigent rien!
voyant quand même que le gars rigole pas, mais pas du tout, les gens commencent à plier les serviettes, gentiment, tout en demandant aux lardons de ramasser seaux et pelles, parce que le mosieur a pas l'air de plaisanter quand même...
ET LA....
pas le temps de dire ouf ! l'eau qui frissonnait encore trente secondes avant se met à fumer, le genre leucate par tram de 55nds établis !forcément à seignosse l'été, y a qu'a la télé que tu le vois le truc !
tout vole ! et quand je dis vole, je plaisante à peine ! un gars de pas loin du quintal avec son morpion sous le bras m'a fait un upon en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le gosse de 4 ans éjecté dans les airs et roulant dans les dunes, le père a sa poursuite ; des femmes des gosses qui hurlent , le sable type karcher qui rentre dans les poumons forcément sollicités puis que tout le monde court a en perdre haleine ; là j'aperçois un mec qui se dit que son salut est dans la cabine telephonique du bord de plage, s'y engouffre avec sa femme et ... la cab menace de se faire arracher, le type du coup essaie de sortir, mais le vent joue un effet d'aspiration qui l'empêche d'entrebaillé la porte ! les gens tombent comme des mouches, happés par le zef, sablés par les rafales de vent, tout en slalomant entre quelques tuiles des apparts de loc qui s'envolent ici et là...
je trouve mon salut dans un renfoncement de porte de résidence, tout en continuant à observer et chercher les potes du regard ! on s'est tous paumé dans la tempête, aucun d'entre nous n'a suivi le même chemin...et ça souffle encore pendant plus d'une heure comme ça...puis, ça tombe, quasi d'un coup...
plus loin dans les rues et les quartiers résidentiels, c'est l'hécatombe : les bagnoles, les maisons, les commerces, y a un paquet de rucs H.S...
ce jour là, il y avait ausii le gand prix de PAU en F3000.... les mecs ont rammassé des chênes centenaires sur le capot des caisses... drole d'année !
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
1987, mes débuts en funboard...
une semaine après la Bretagne il y a eu une tempète dans le golf du Lion.
Juste après c'était mon premier W-E planche avec des potes. On descendait vers Béziers. Heureusement le vent s'était calmé voir éteint. La première fois ou j'ai fais vibrer l'aileron sur un Tiga Swift.
Sur cette même planche j'avais fais mon premier planning quelques mois plus tôt, le jour de la mémorable demi finale de rugby (gagnée contre l'Australie).
Le vent soufflant tellement fort ce jour et le coeur sur le point de lacher à 5 minutes de la fin je me souviens ne pas avoir pu regarder les dernières minutes préférant foncer faire de la planche.
souvenirs...
Mes premières planches étaient des Tiga (d'ou mon pseudo)
Re :Le même jour, il y a 20 ans, en BZH, Souvenir de l'ouragan de 87
seaclone @ 15/10/2007 - 22h13 a dit:
même année mais l'été dans les landes, plage de seignosse...calme plat, pas de surf ce jour, beach volley, nanas en maillot, ect...
d'un coup, les mns chopent le porte voix, et alertent les gens de se casser le plus vite possible de la plage, tempête en vue !
keskidi ? tempête en vue ? on matte le large, rien... pas bien lui, il va inquiéter le touriste...et puis à bien regarder, l'eau frissonne, loin...une brise se met en route sur la plage, le ballon perd la trajectoire des secondes d'avant, et le mns hurle de plus belle en agitant les bras ! a pas l'air content du tout, il saute de son fauteuil de 3 métres de haut, et commence a botter le ass des touristes qui pigent rien!
voyant quand même que le gars rigole pas, mais pas du tout, les gens commencent à plier les serviettes, gentiment, tout en demandant aux lardons de ramasser seaux et pelles, parce que le mosieur a pas l'air de plaisanter quand même...
ET LA....
pas le temps de dire ouf ! l'eau qui frissonnait encore trente secondes avant se met à fumer, le genre leucate par tram de 55nds établis !forcément à seignosse l'été, y a qu'a la télé que tu le vois le truc !
tout vole ! et quand je dis vole, je plaisante à peine ! un gars de pas loin du quintal avec son morpion sous le bras m'a fait un upon en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le gosse de 4 ans éjecté dans les airs et roulant dans les dunes, le père a sa poursuite ; des femmes des gosses qui hurlent , le sable type karcher qui rentre dans les poumons forcément sollicités puis que tout le monde court a en perdre haleine ; là j'aperçois un mec qui se dit que son salut est dans la cabine telephonique du bord de plage, s'y engouffre avec sa femme et ... la cab menace de se faire arracher, le type du coup essaie de sortir, mais le vent joue un effet d'aspiration qui l'empêche d'entrebaillé la porte ! les gens tombent comme des mouches, happés par le zef, sablés par les rafales de vent, tout en slalomant entre quelques tuiles des apparts de loc qui s'envolent ici et là...
je trouve mon salut dans un renfoncement de porte de résidence, tout en continuant à observer et chercher les potes du regard ! on s'est tous paumé dans la tempête, aucun d'entre nous n'a suivi le même chemin...et ça souffle encore pendant plus d'une heure comme ça...puis, ça tombe, quasi d'un coup...
plus loin dans les rues et les quartiers résidentiels, c'est l'hécatombe : les bagnoles, les maisons, les commerces, y a un paquet de rucs H.S...
ce jour là, il y avait ausii le gand prix de PAU en F3000.... les mecs ont rammassé des chênes centenaires sur le capot des caisses... drole d'année !
Appel M6 t'as leur prochain scénario de film catstrophe...