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délire
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Faut-il réévaluer la spéculation astro-mythologique de freud dans son approche structuraliste de la psychosomatique fliessienne ? <!--emo&:D--><img src='smileys/biggrin.gif' border='0' style='vertical-align:middle' alt='biggrin.gif' /><!--endemo--> <br /><br />si vous avez un avis la dessus.... <!--emo&:P--><img src='smileys/tongue.gif' border='0' style='vertical-align:middle' alt='tongue.gif' /><!--endemo-->
Re :délire
QUOTE(juh @ 9 Apr 2006, 05:46 PM)
Faut-il réévaluer la spéculation astro-mythologique de freud dans son approche structuraliste de la psychosomatique fliessienne ? 
si vous avez un avis la dessus....
[right][snapback]354719[/snapback][/right]
si vous avez un avis la dessus....
[right][snapback]354719[/snapback][/right]
L'avis est partagé
Re :délire
hhheeeuuuu non
Re :délire
t'es sur?
Re :délire
ha oui
Re :délire
pourtant j'aurai dit nan... 
Re :délire
ben si
Re :délire
réponse: "ah! ça dépend"
Re :délire
QUOTE(juh @ 9 Apr 2006, 06:26 PM)
réponse: "ah! ça dépend"
[right][snapback]354750[/snapback][/right]
[right][snapback]354750[/snapback][/right]
..c'est un pièges pour les bleus.? (ou pour les "blue", ca dépend comment tu le voit..)
Re :délire
.....
nan j'ai rien dit, j'ai rien dit!!!!
nan j'ai rien dit, j'ai rien dit!!!!
Re :délire
vivivivivi....mais encore?!
Re :délire
QUOTE
171 cm, 65 kg
et ta largeur au metre-bau?
Re :délire
Enfin pour éclaicir le sujet:
Les gens qui ainsi execrent et disent haïr la psycahnalyse et son inventeur me semblent dans la même posture excessive que celui qui encense et idolâtre un savant, fut-il "grand" en effet.
J'y vois la même recherche de perfection et d'absolu, un même refus du relativisme des choses. Car enfin...:
Freud est aussi l'héritier d'un passé complexe et multiple, il ne s'est pas fait "seul". Par ailleurs, son athéisme ne doit faire oublier, par exemple, les probables origines talmudiques de la psychanalyse, que Gérard Haddad relate si bien dans "L'enfant illégitime". Je souligne cela pour appuyer que rien n'est ex-nihilo, que, de tout temps les hommes ont cherché des solutions pour penser et panser leurs maux et leurs mots...
Et qu'effectivement, dans le Talmud entre autre, on perçoit ce souci de l'écoute de l'autre, cette nécéssité du "tiers" dans la guérison psychique et ou physique d'un homme. Bref, Freud doit aussi beaucoup à divers prédecesseurs. Les Lumières du XVIIIème, aussi, lui ont servi de "boussole" rationnaliste.
Les religions baissant la garde à la fin du XIXème siècle, les croyances perdant leur punch, Freud est arrivé au bon moment pour aider l'homme à trouver des chemins pour supporter un peu mieux sa misère, qui, d'"hystérique", a quelque chance sur le divan de devenir "banale"(Je le cite). Mais misère quand même. Regardez autour de vous. La vie, même avec Freud, même avec un divan, n'est pas un long fleuve tranquille. Et les détracteurs de l'invention freudienne lui en veulent surement de cette "imperfection" et cette relativité.
Les gens qui ainsi execrent et disent haïr la psycahnalyse et son inventeur me semblent dans la même posture excessive que celui qui encense et idolâtre un savant, fut-il "grand" en effet.
J'y vois la même recherche de perfection et d'absolu, un même refus du relativisme des choses. Car enfin...:
Freud est aussi l'héritier d'un passé complexe et multiple, il ne s'est pas fait "seul". Par ailleurs, son athéisme ne doit faire oublier, par exemple, les probables origines talmudiques de la psychanalyse, que Gérard Haddad relate si bien dans "L'enfant illégitime". Je souligne cela pour appuyer que rien n'est ex-nihilo, que, de tout temps les hommes ont cherché des solutions pour penser et panser leurs maux et leurs mots...
Et qu'effectivement, dans le Talmud entre autre, on perçoit ce souci de l'écoute de l'autre, cette nécéssité du "tiers" dans la guérison psychique et ou physique d'un homme. Bref, Freud doit aussi beaucoup à divers prédecesseurs. Les Lumières du XVIIIème, aussi, lui ont servi de "boussole" rationnaliste.
Les religions baissant la garde à la fin du XIXème siècle, les croyances perdant leur punch, Freud est arrivé au bon moment pour aider l'homme à trouver des chemins pour supporter un peu mieux sa misère, qui, d'"hystérique", a quelque chance sur le divan de devenir "banale"(Je le cite). Mais misère quand même. Regardez autour de vous. La vie, même avec Freud, même avec un divan, n'est pas un long fleuve tranquille. Et les détracteurs de l'invention freudienne lui en veulent surement de cette "imperfection" et cette relativité.
Re :délire
mmm oui , oui, continue...
Re :délire
http://www.oedipe.org/forum/read.php?6,4909,4972#msg-4972Re: Le géant Freud...
Envoyé par: Nathalie (---.w83-204.abo.wanadoo.fr)
Date: Mon 9 January 2006 22:48:51
Hassanin :
Lisant votre message, j'ai envie de dire :
Les gens qui ainsi execrent et disent haïr la psycahnalyse et son inventeur me semblent dans la même posture excessive que celui qui encense et idolâtre un savant, fut-il "grand" en effet.
J'y vois la même recherche de perfection et d'absolu, un même refus du relativisme des choses. Car enfin...:
Freud est aussi l'héritier d'un passé complexe et multiple, il ne s'est pas fait "seul". Par ailleurs, son athéisme ne doit faire oublier, par exemple, les probables origines talmudiques de la psychanalyse, que Gérard Haddad relate si bien dans "L'enfant illégitime". Je souligne cela pour appuyer que rien n'est ex-nihilo, que, de tout temps les hommes ont cherché des solutions pour penser et panser leurs maux et leurs mots...
Et qu'effectivement, dans le Talmud entre autre, on perçoit ce souci de l'écoute de l'autre, cette nécéssité du "tiers" dans la guérison psychique et ou physique d'un homme. Bref, Freud doit aussi beaucoup à divers prédecesseurs. Les Lumières du XVIIIème, aussi, lui ont servi de "boussole" rationnaliste.
Les religions baissant la garde à la fin du XIXème siècle, les croyances perdant leur punch, Freud est arrivé au bon moment pour aider l'homme à trouver des chemins pour supporter un peu mieux sa misère, qui, d'"hystérique", a quelque chance sur le divan de devenir "banale"(Je le cite). Mais misère quand même. Regardez autour de vous. La vie, même avec Freud, même avec un divan, n'est pas un long fleuve tranquille. Et les détracteurs de l'invention freudienne lui en veulent surement de cette "imperfection" et cette relativité.
google powaaa
Envoyé par: Nathalie (---.w83-204.abo.wanadoo.fr)
Date: Mon 9 January 2006 22:48:51
Hassanin :
Lisant votre message, j'ai envie de dire :
Les gens qui ainsi execrent et disent haïr la psycahnalyse et son inventeur me semblent dans la même posture excessive que celui qui encense et idolâtre un savant, fut-il "grand" en effet.
J'y vois la même recherche de perfection et d'absolu, un même refus du relativisme des choses. Car enfin...:
Freud est aussi l'héritier d'un passé complexe et multiple, il ne s'est pas fait "seul". Par ailleurs, son athéisme ne doit faire oublier, par exemple, les probables origines talmudiques de la psychanalyse, que Gérard Haddad relate si bien dans "L'enfant illégitime". Je souligne cela pour appuyer que rien n'est ex-nihilo, que, de tout temps les hommes ont cherché des solutions pour penser et panser leurs maux et leurs mots...
Et qu'effectivement, dans le Talmud entre autre, on perçoit ce souci de l'écoute de l'autre, cette nécéssité du "tiers" dans la guérison psychique et ou physique d'un homme. Bref, Freud doit aussi beaucoup à divers prédecesseurs. Les Lumières du XVIIIème, aussi, lui ont servi de "boussole" rationnaliste.
Les religions baissant la garde à la fin du XIXème siècle, les croyances perdant leur punch, Freud est arrivé au bon moment pour aider l'homme à trouver des chemins pour supporter un peu mieux sa misère, qui, d'"hystérique", a quelque chance sur le divan de devenir "banale"(Je le cite). Mais misère quand même. Regardez autour de vous. La vie, même avec Freud, même avec un divan, n'est pas un long fleuve tranquille. Et les détracteurs de l'invention freudienne lui en veulent surement de cette "imperfection" et cette relativité.
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