http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/05/21/la-finance-folle-ne-doit-pas-nous-gouverner_1047738_3232.htmlquand les élites (acques Delors, Jacques Santer, anciens présidents de la Commission européenne ;
Helmut Schmidt, ancien chancelier allemand ;
Massimo d'Alema (Italie), Lionel Jospin (France), Pavvo Lipponen (Finlande), Goran Persson (Suède), Poul Rasmussen (Danemark), Michel Rocard (France), anciens premiers ministres ;
Daniel Daianu (Roumanie), Hans Eichel (Allemagne), Par Nuder (Suède), Ruairi Quinn (Irlande), Otto Graf Lambsdorff (Allemagne), anciens ministres de l'économie et/ou des finances.)
s'accordent a nommer la crise financière
a dénoncer le capital fictif:
"- Procéder à une analyse détaillée de la crise financière dans le contexte plus large que nous avons essayé de décrire plus haut ;
- Identifier et évaluer les risques socio-économiques que comporte la crise financière pour l'économie réelle, en particulier en Europe ;
- Proposer une série de mesures au Conseil de l'UE afin d'éviter ou de limiter ces risques ;
- Présenter au conseil des ministres, aux Etats membres du Conseil de sécurité de l'ONU, au directeur général du FMI et à toutes les autorités et instances concernées une série de propositions afin de limiter les effets de la crise et préparer une conférence financière mondiale afin de repenser les règles de la finance internationale et de la gouvernance concernant les thèmes économiques mondiaux.
En 2000, nous nous sommes accordés pour faire de l'Union européenne la région la plus compétitive au monde. Cette ambition a été réitérée en 2005. Nous devons garantir que la compétitivité de l'Europe soit soutenue et non minée par les marchés financiers. Nous devons agir sans plus tarder : pour nos citoyens, pour davantage d'investissements, pour la croissance économique, pour la justice sociale, pour des opportunités d'emplois, et en définitive, pour un meilleur avenir pour tous les Européens. "