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Le but est de pouvoir de diriger les pays à distance en les contrôlant par l'Economie car ils contrôlent les Bourses, l’Éducation par infiltration de la structure, la Communication via des boites privées,l' Armée via l'OTAN
et les choix du pays par le contrôle de ceux qui rédigent les Lois.
Enfin ils maitrisent les peuples en les mélangeant afin de créer des tentions quand bon leur semble.
En effet nous n'avons plus d'inconscient collectif commun qui serait une arme redoutable face au pouvoir (1789). Il faut des générations et des générations de cohabitation avant que cela se redevienne dangereux.
De Gaulle disait que les Français sont des veaux. C'est bien là dessus que compte cette oligarchie financière car nous avons perdu cette combativité en étant maintenu dans un cocon mi-rève mi-réalité.
Moi je trouve que le nouveau il est pas mal.
Il parle d'un truc les "Protocoles" avec une majuscule.
Ca vous dit rien ?
Les protocoles des sages de Sion, vous voyez le genre ? Je me trompe ou c'est ça, le titre ?
Le but est de pouvoir de diriger les pays à distance en les contrôlant par l'Economie car ils contrôlent les Bourses, l’Éducation par infiltration de la structure, la Communication via des boites privées,l' Armée via l'OTAN
et les choix du pays par le contrôle de ceux qui rédigent les Lois.
Enfin ils maitrisent les peuples en les mélangeant afin de créer des tentions quand bon leur semble.
En effet nous n'avons plus d'inconscient collectif commun qui serait une arme redoutable face au pouvoir (1789). Il faut des générations et des générations de cohabitation avant que cela se redevienne dangereux.
De Gaulle disait que les Français sont des veaux. C'est bien là dessus que compte cette oligarchie financière car nous avons perdu cette combativité en étant maintenu dans un cocon mi-rève mi-réalité.
Moi je trouve que le nouveau il est pas mal.
Il parle d'un truc les "Protocoles" avec une majuscule.
Ca vous dit rien ?
Les protocoles des sages de Sion, vous voyez le genre ? Je me trompe ou c'est ça, le titre ?
En tout cas il fume du lourd.
Bien joué La hyène ! Je crois que tu l'a bien démasqué...
"C’est comme si la Grèce, constatant que sa dette de 350 milliards d’euros ne cote plus que la moitié sur les marchés, décidait d’inscrire 175 milliards de recettes à son budget. Ca ferait rire tout le monde, et c’est pourtant ce que font les banques américaines et européennes depuis la crise de 2008 pour enjoliver leurs résultats, et accessoirement verser des bonus au passage."
Extrait d'un article du monde qui explique l'explosion de la dette depuis 2007 :
"Comme l'immense majorité des pays européens, la France s'endette : depuis 1974, le pays présente des budgets en déficit, qu'il s'agisse de ceux du gouvernement ou des administrations publiques comme la sécurité sociale. Pour financer la différence entre recettes et dépenses, la France emprunte donc sur les marchés financiers.
La dette française "au sens de Maastricht" (c'est à dire sans lui soustraire les actifs financiers détenus par les administrations publiques), représente actuellement 1 646,11 milliards d'euros environ, soit 84,5 % du produit intérieur brut. Mais plus que ce taux, qui reste dans la moyenne européenne, c'est sa hausse qui est impressionnante : en 2007, la dette n'était "que" de 1211 milliards, soit 64,2 % du PIB, vingt points de moins.
Cette hausse est en partie imputable à la crise financière survenue en 2008, mais pas totalement. Pour y faire face, le gouvernement a en effet décidé de mettre en place une politique de relance active, en choisissant de laisser filer le déficit pour financer, notamment au travers du"grand emprunt", des investissements à même de maintenir l'activité économique et donc de limiter les effets de la crise. Selon un récent rapport de la Cour des comptes, 60 % de la hausse est due aux mesures anti-crise, le reste provenant de la politique générale menée depuis 2007.
En 2008, pour faire face à la crise, François Fillon et Nicolas Sarkozy ont fait le choix d'une politique de relance par l'endettement. Ils ont donc eu recours à plus d'emprunts auprès des marchés financiers pour relancer l'économie. Le brutal ralentissement de celle-ci a, de plus, entraîné des pertes de recettes pour l'Etat. Le déficit est passé de 50,3 miliards fin 2007, soit 2,7 % du PIB, à 148,8 milliards d'euros fin 2010, soit 7,1 % du produit intérieur brut en 2010. Un quasi triplement en trois ans."
Extrait d'un article du monde qui explique l'explosion de la dette depuis 2007 :
"Comme l'immense majorité des pays européens, la France s'endette : depuis 1974, le pays présente des budgets en déficit, qu'il s'agisse de ceux du gouvernement ou des administrations publiques comme la sécurité sociale. Pour financer la différence entre recettes et dépenses, la France emprunte donc sur les marchés financiers.
La dette française "au sens de Maastricht" (c'est à dire sans lui soustraire les actifs financiers détenus par les administrations publiques), représente actuellement 1 646,11 milliards d'euros environ, soit 84,5 % du produit intérieur brut. Mais plus que ce taux, qui reste dans la moyenne européenne, c'est sa hausse qui est impressionnante : en 2007, la dette n'était "que" de 1211 milliards, soit 64,2 % du PIB, vingt points de moins.
Cette hausse est en partie imputable à la crise financière survenue en 2008, mais pas totalement. Pour y faire face, le gouvernement a en effet décidé de mettre en place une politique de relance active, en choisissant de laisser filer le déficit pour financer, notamment au travers du"grand emprunt", des investissements à même de maintenir l'activité économique et donc de limiter les effets de la crise. Selon un récent rapport de la Cour des comptes, 60 % de la hausse est due aux mesures anti-crise, le reste provenant de la politique générale menée depuis 2007.
En 2008, pour faire face à la crise, François Fillon et Nicolas Sarkozy ont fait le choix d'une politique de relance par l'endettement. Ils ont donc eu recours à plus d'emprunts auprès des marchés financiers pour relancer l'économie. Le brutal ralentissement de celle-ci a, de plus, entraîné des pertes de recettes pour l'Etat. Le déficit est passé de 50,3 miliards fin 2007, soit 2,7 % du PIB, à 148,8 milliards d'euros fin 2010, soit 7,1 % du produit intérieur brut en 2010. Un quasi triplement en trois ans."
A mettre en comparaison avec là dernière intervention de Sarko devant les caméras sur le thême "c'est pas moi c'est les autres". Malheureusement les rapports de la Cour des Comptes de ce type ne font pas la une du JT.
"Avec ce mécanisme, plus la situation de la banque se détériore, plus elle peut augmenter ses recettes avec de l’argent virtuel. C’est le capitalisme inversé, plus tu perds, plus tu gagnes ! Cette véritable manipulation est bien sûr avalisée par les "normes comptables internationales", et l’on voit une fois de plus comment la collusion entre le big business, les normes étatiques et l’ingénierie financière détruisent le capitalisme de l’intérieur. "
Mon pauvre Joke. Les ressorts de la science économique sont très simples, ce sont leurs manifestations qui sont complexes. La crise, c'est pas les machins et les truc, c'est l'avidité humaine.
1 / les US ne cessent de pérécliter économiquement mais les ricains veulent continuer à augmenter leur consommation : ils empruntent (etat comme particuliers)
2 / les banques répondent à cette frénésie de consommation en augmentant les encours de crédit à un point tel qu'ils sont obligés de les cacher (en gros ils foutent la poussière sous le tapis)
3 / les gens, à un moment, se sont tellement endettés qu'ils ne peuvent plus rembourser.
Ca c'est la crise des subprimes.
Maintenant la crise de la dette.
1 / les ricains ne peuvent plus rembourser, leurs emprunts :situations de faillite
2 / cette faillite est transférée aux banques
3 / les banques ne soutiennent plus les entreprises, faillite transférée
4 / les etats empruntent pour soutenir les entreprises et les banques, faillite transférée
5 / la BCE est en train de créer un SPV (outil juridique qui ressemble au tapis à poussière de tout à l'heure) qui va récupérer la dette, elle est transférée.
6 / on propose aux chinois de racheter le placement financier constitué par cette SPV
Ils réfléchissent........
On voit bien que c'est un phénomène classique de bulle, comme sous le papier peint mal posé, tu as beau la déplacer, elle reste là.
Une seule solution, la faire pêter.
Finalement c'était la solution allemande la meilleure : 4 % de baisse de salaires en 10 ans.
Ceci dit tu ne dis pas que des conneries : le capitalisme qui se bouffe de l'intérieur, c'est parce qu'il est fondé sur une frénésie de consommation et que ce modèle a des limites.
l'avidité humaine dont tu parles n'est réalisée que par les riches!!
les pauvres ne subissent que celles des riches!
et le systeme est conçu pour engraisser les riches sur les pauvres!
si les US periclitent c'est depuis que le monde est entré sous la direction de l'oligarchie financiere britannique dans la logique du court terme financier ( abandon d'un etalon or, perte du controle monetaire) avec le developpement de produits financiers qui ne sont en réalité que des pyramides de ponzi!
voila la cause!
ce dont tu me parles de correspond qu' à arranger les chaises sur le pont du Titanic... et les allemands sans changer le cap du navire ont mis à la diète les travailleurs des ponts inférieurs!!
la frénésie de consommation n'est que la conséquence de obsolescence programmée et du marketing effréné mais cependant n'est pas la cause de la crise financière..
J'ai zappé sur un sujet de Thalassa sur l'Islande hier, un des premiers pays (si ce n'est le premier) touché gravement par la crise, et dont l'économie est repartie de manière spectaculaire.
En 2008, "là où tous les autres ont renfloué les banques et laissé les citoyens en payer le prix, l'Islande a laissé les banques aller à la faillite et a, en fait, augmenté son filet de protection social» [...] là où tous les autres étaient occupés à essayer de rassurer les investisseurs internationaux, l'Islande a imposé temporairement des contrôles sur les mouvements de capitaux afin de se laisser une marge de manœuvre». (Paul Krugman, prix Nobel d'économie).
Ce qui laisse entendre que la crise de la dette actuelle est en grande partie liée aux choix politiques désastreux fait en Europe au moment de la crise financière.
cependant en Islande il existait une bulle speculative de trois banques islandaises qui se sont retrouvées en faillite apres celle de Lehman Brothers
elles sont nationalisées!
la tutelle de 14 familles "PIEUVRE" dominent toute l'économie et le politique via PI depuis 1945 jusque 1970 et là une faction libérale "LOCOMOTIVE" promeut le libre échange sans tutelle de la PIEUVRE
ODDSSON est le leader de cette LOMOTIVE et il arrivera à la tête de l'Etat et dérégulera les marchés des 1998, puis les prêts hypothécaires..
