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Mon cher Martin , ton prof doit avoir de sacré lacune , depuis quand les plus riche ( 10 % de la population ) paye plus de 50 % de l'impôt ?.......
Ce qui participe le plus , et toutes les etudes le prouve , c'est les plus nombreux , c'est à dire ceux qui corresponde aux 5 eme à 9 eme places , selon le principe bien connu qu'il est plus facile de prendre 1 € a 1 millions de personne qu'un millon d'€ a 1 personne .....
Au lieu de dire "toutes les études le prouvent", donne nous des chiffres, et si possible des chiffres officiels
Quand je vois qu'un mec qui gagne 5000 euros paye 10 fois plus d'impôt qu'un mec qui en gagne 1500, j'ai hate d'entendre ça...
Mon cher Martin , ton prof doit avoir de sacré lacune , depuis quand les plus riche ( 10 % de la population ) paye plus de 50 % de l'impôt ?.......
Ce qui participe le plus , et toutes les etudes le prouve , c'est les plus nombreux , c'est à dire ceux qui corresponde aux 5 eme à 9 eme places , selon le principe bien connu qu'il est plus facile de prendre 1 € a 1 millions de personne qu'un millon d'€ a 1 personne .....
Au lieu de dire "toutes les études le prouvent", donne nous des chiffres, et si possible des chiffres officiels
Quand je vois qu'un mec qui gagne 5000 euros paye 10 fois plus d'impôt qu'un mec qui en gagne 1500, j'ai hate d'entendre ça...
Moi je paye énormément d'impôts et j'aime ca.
Mon rêve a toujours été de payer l'ISF.
il va bientôt être réalisé.
Ca dépend , c'est l'I.S.F version Srako ou Hollande ?
"La question de l’enthousiasme, qui veut dire « Dieu intérieur » est une expression qui s’est perdue dans le bain amer du pessimisme quotidien qui nous tue à petit feu. On ne croit plus en l’avenir, on ne croit plus au bonheur, et pire encore, on déteste les rêveurs, les utopistes, comme si on avait plus le droit de se projeter dans un avenir plus heureux. "
voila ce qu'est être politique !!
"Carmelo Toscanelli
Pourquoi je me présente aux législatives pour le Parti politique Solidarité et Progrès.
Malcom X disait que les médias vous feront détester les opprimés, et aimer ceux qui vous oppriment.
Vous avez eu la chance d’écouter un homme de la trempe d’un Jean Jaurès, cet homme se nomme Jacques Cheminade. Vous ne l’avez pas vraiment entendu. J’essaierai dans cette campagne de porter ses idées…
La chose la plus simple à faire, lorsqu'on est vraiment en colère, c'est de frapper un coup de poing sur un mur, ou pire, sur une vitre, pour assouvir cette rage qui est en nous.
Le vote pour le FN est une réaction assez similaire à ce geste stupide, c'est juste l'expression d'une impuissance à agir dans sa vie de tous les jours. J'ai la haine, donc, je fais du mal, et je me fais mal en même temps.
On observe parfois des enfants maltraités, ou ayant vécu des injustices, se mutiler, ou se brûler pour attirer l’attention des adultes. Ce monde nous maltraite, et nous réagissons comme ces enfants, et non pas comme des adultes qui devront un jour donner un horizon, une ligne de conduite à nos propres enfants.
Car nous avons perdu le sens de nos existences. Les bonnes questions sont :
Pourquoi sommes-nous là ? Quel est notre rôle sur cette terre, il y a-t-il vraiment un rôle à jouer ?
Nous assistons depuis notre premier souffle, à des séries d’injustices, un monde biaisé, des promesses non tenues, les désillusions dans un univers familial que nous imaginions bon et beau.
De cette innocence toute neuve donnée avec la vie qui nous anime, nous nous retrouvons aigris et enragé à l’âge de l’adolescence, et plus tard, nous devenons souvent cyniques, pensant que le sens de la vie, n’est rien d’autre que de survivre dans ce monde devenu médiocre, égoïste, ou il faut bien faire sa place comme on le peut. Souvent en écrasant les autres.
Nous sentons au fond de nos cœurs que quelque chose ne tourne pas rond.
Des pauvres gens qui se noient par centaine dans le détroit de Gibraltar, pour fuir une misère terrible, des enfants qui meurent de faim en Afrique, nous qui bouffons mal, le stress du boulot, le stress de perdre son boulot. Des enfants qui s’alcoolisent avant d’aller s’exposer en boîte de nuit, et qui ne reviendront peut-être jamais, ou parfois mutilés. La vieille maman que l’on balance dans une maison de retraite. Le soleil qui va s’éteindre un de ces jours, les centrales qui explosent, Le chien qui se prend pour un humain, le sida, les radars, la perte du permis. Et bien sûre, j’allais oublier, le prix de l’essence. Ah oui, le prix de l’essence, ça, c’est important.
Allongeons-nous un instant sur le sable d’une plage de Sète, par une bonne nuit d’été, et laissons notre regard se perdre dans le firmament. Laissons notre esprit vagabonder d’une étoile à l’autre, perdons nous un instant dans l’inconnu…
Le monde est un mystère, et nos existences sont, du fait de nos pensées, un mystère encore plus grand, aussi immense que l’univers qui nous entoure. Mettons nous un instant à la place de nos ancêtres, de ces hommes et de ces femmes qui observant le ciel étoilé, il y a cent mille ans, se demandant ce qu’étaient ces petites lumières, cette chose ronde qu’on appelle la lune, qui flotte dans le ciel, pourquoi ne tombe-t-elle pas ? Repensons à nos ancêtres, comme des hommes, qui malgré leur ignorance sur les choses, ont quand même, dés le commencement de l’humanité, transmis à leurs enfants ce qu’ils connaissaient du monde, pour qu’à leur tour, ces enfants puissent passer le relais aux autres générations, avec leur petit plus de savoir, acquis par l’expérience, et ceci jusqu’à nous, qui sommes les enfants des enfants de ces premiers hommes.
L’invention du feu, de l’élevage, puis de l’agriculture, la mécanisation, la compréhension des principes physiques toujours plus complexes, le premier vol dans les airs, l’amélioration du langage, la navigation, la découverte de nouveaux mondes, tout cela faisait parti d’une aventure commune, qui c’est déroulée avec des bons moments et des moments douloureux : Des guerres, des violences inouïes, qui apportent aussi une incompréhension sur notre propre nature. Sommes-nous si bons que cela ? Nous avons parfois complètement dérapé.
Nous avons perdu les pédales dans des sales périodes, et atteint des points de non retour.
Comme hier, les mêmes causes produiront les mêmes effets. C’est pour cela que nous devons intervenir avant qu’il ne soit trop tard. Nous ne devons pas nous laisser endormir par ces théoriciens fumeux qui n’ont que les mots : « austérité, rigueur budgétaire » dans leurs bouches. Nous ne pouvons pas regarder le peuple Grec comme le mauvais élève de la classe, mais bien comme le premier pays à payer les absurdités d’une politique Européenne qui a trahi toutes nos espérances. Nous serons les suivants, c’est certain, si nous n’affrontons pas les intérêts privés qui dominent cette Europe du Fric, et cette chose absurde qu’on appelle la libre concurrence. Le mot Coopération vous aurait écorché, messieurs de la commission ?
Nous nous sommes laissé dominer par des groupes d’individus, qui défendent des intérêts privés, au détriment des peuples.
Les crises successives qui ont apporté la guerre, ne sont qu’une mauvaise réponse d’un problème posé, à un moment donné. Le sommeil de la raison à engendré des monstres, comme disait le grand Jaurès.
Car une question que nous devrions nous poser aujourd’hui, et pourquoi vivons-nous une crise aussi dure depuis ces quarante dernières années ? Il y a eu un cataclysme ? Des épidémies ? Une guerre mondiale qui aurait tout détruit ? Non ! Rien de tout cela ! Ce qu’il y a eu, se sont des mauvais choix, faits par des gens souvent malintentionnés, qui nous ont dépossédés de nos biens, et surtout, qui ont transformé notre Enthousiasme Européen en pessimisme nationaliste.
La question de l’enthousiasme, qui veut dire « Dieu intérieur » est une expression qui s’est perdue dans le bain amer du pessimisme quotidien qui nous tue à petit feu. On ne croit plus en l’avenir, on ne croit plus au bonheur, et pire encore, on déteste les rêveurs, les utopistes, comme si on avait plus le droit de se projeter dans un avenir plus heureux. On nous a culpabilisés pour avoir soi-disant vécu au dessus de nos moyens. On croit que l’argent est une fin en soi, une masse immobile qui stagne dans des coffres, et on confond Economie et masse monétaire. On croit que comme par magie, en changeant nos Euros en Francs, les choses redeviendront comme avant. Mais, c’est quoi l’argent ? N’est ce pas juste un moyen d’échange pour donner une valeur aux choses ? Un pays sans industries, sans agriculteurs, sans artisans, et plein d’argent, que vaut-il ? Ces économistes qui nous ont vendu une société de services, pardon, de domestiques, ne sont que des idiots qui mériteraient un coup pied dans le cul pour leur trahison. Ils ont détruits notre industrie, nos PME, nos Artisans et avec cela, notre savoir faire. La capacité de transformer de la matière brut en produit fini et la clef de voute de notre société. Cette capacité de transformation est le lien entre la pensée et l’action, une idée qui ce concrétise en acte. La raison d’être de notre société Européenne est d’avoir mis en place un système capable de transformer une invention en objet. Passer de l’abstrait au concret. Si on réfléchit deux minutes la dessus, on peut se rendre compte qu’une voiture n’est rien d’autre que quelques kilos de roche, et quelques litres de pétrole. Tout le reste est du domaine du savoir faire. Perdre ce savoir faire, c’est perdre le sens même de ce qui nous a porté jusqu’aujourd’hui, c’est une action criminelle, contre l’humanité, contre nos ancêtres, et surtout contre les générations à naître. L’intelligence d’une nation, n’est pas simplement de construire des voitures ou des tracteurs, mais de continuer à chercher de nouveaux concepts pour améliorer sans cesse la vie des gens. Faire des voitures électriques, ou des moteurs à hydrogène, lancer un programme de transports en commun, à des tarifs accessible au citoyens, construire des nouvelles villes à visage humain, penser aux Handicapés, respecter la faune et la flore, ouvrir des universités pour tous, Etc.
Pour réaliser ces projets, nous devons rétablir un ministère du plan, et investir l’argent dans l’équipement, la recherche, l’éducation et la santé. Pour accomplir cela, nous devons prendre ce qui nous appartient, et virer les spéculateurs. Qu’ils aillent au diable.
Nous devons pour cela, nous battre contre le pessimisme ambiant, contre les paris à court terme, et contre cette rage impuissante qui vient gonfler les voiles des partis de la haine et de la médiocrité. Nous devons retrouver ce que nos ancêtres nous ont offerts, cette joie de donner le savoir aux générations futures, et leur faire confiance pour la suite. Nous devons devenir plus morals, et apprendre aussi des sociétés Africaines qui respectent les anciens. En les aidants, nous nous aiderons nous-mêmes. Si des pseudos économistes viennent vous dire que cela coûte trop cher, vous n’avez qu’à leur répondre que la mort coûte moins cher que la vie. Que l’Economie doit-être à l’image même du vivant, et que nous sommes vivants, avec un petit plus. Ce petit plus que nous devrions léguer à nos enfants, nous ne devons pas le perdre, nous devons continuer à nous battre. Car, personnellement, j’aurai trop honte de dire un jour à mes petits enfants, nous n’avons plus rien à vous léguer. J’ai une belle pensée pour ces hommes de la préhistoire qui n’avaient rien, et qui nous ont tant donné, et une mauvaise pensée pour notre génération qui avait tout dans les mains, et qui s’est fait déposséder, sans offrir aucune résistance.