Endorphin @ 10/06/2015 - 09h07 a dit:
CHRISTOPHE ROUSSE @ 09/06/2015 - 23h11 a dit:
Ou j'ai dis tout le monde au meme salaire ? j'ai dis une echelle en moyenne de 1 à 3 , la Scoop dont on parle a été plus radical , elle a limité pour l'instant de 1 à 1,3 ....
Tous les créateurs de cette Scoop , ( une cinquantaine sur 180 ) ont mis leurs prime de licensiment dans l'affaire soit en moyenne 170 000 Euros par personne , tu aurrais eu les couilles de le faire ?
Et toi tu touches une participation en fin d'année si la boite fait du bénéfice qui peut aller jusqu'à 1 an de ton..
1 a 3 oui j'y crois . 1 a 1.3 non. Après ceux qui ont investi ils ont quels avantages par rapport à ceux qui n'ont pas investi (les nouveaux embauchés éventuellement)? Les nouveaux embauchés ont aussi droit au profit? Non? On ne viens pas de recréer une classe d'actionnaires ?
Et si tu veux quitter la boîte, tu récupères ton investissement ? En combien de temps ?
Je me fais l'avocat du diable car j'aime bien l'approche et honnêtement a fourniture égale je privilégierais ça a une multinationale mais il y a tellement de problèmes potentiels j'ai l'impression que certains ont un peu une vision bisounours.
Dans une Scoop , il y a 2 status :
Les adhérents , en général ceux qui la monte , en investisant de l'argent dans des parts sociale ( Toute les banques coopératives marche comme cela , Credit Agricole , Credit Mutuel , quand tu ouvre un compte tu achetes 1 part social )
Les salariées embauché sur le droit commun ( CDD , CDI , Interim ) , apres en général une période plus ou moins longue ou on "teste" la motivation et la compétence du salarié en CDI , on lui propose d'acheter des parts social et de devenir adhérent ( Il est pas question de laisser rentrer un monton noir qui va pas en branler une et profiter de la Scoop ) . En cas de départ , les salariés de droit commun sont soumis à la meme législation que tout le monde , licenciment économique , fin de CDD , et peuvent se retourner sur les prud'hom en cas de litige .
Pour l'adhérent , c'est pareil , il dépend du droit commun des salariés et en général c'est la scoop qui lui rachete ses parts social ( droit de préemption , toujours pour éviter qu'un adhérent vende ses part à un monton noir ....) .
En cas de faillite , l'adhérent pert ses parts social et donc son investisement de départ et peux meme etre caution des prets souscrit par la Scoop tout comme dans une SARL .