Directwind.com

Freefly @ 27/08/2010 - 11h22 a dit:

Même quand il y a pétole, je prends plaisir à sortir le matos, gréer une voile histoire de m'améliorer une fois sur le spot

comment tu peux t'améliorer sur pétole? Pétole bah c'est ricard au mieux quoi!

Je parle d'amélioration au gréage!! Comme ça pas de prise de tête inutile sur le spot+ gros gain de temps. Et puis ça me permet de faire une bonne vérification du matos. je check toutes les parties sensibles (chose que je ne fais jamais avant de me mettre à l'eau)

Perso je pense que si tu as pas les moyens d'avoir un quiver complet et au moins 2 planches, et que tu ne peux nav que pendant tes vacances (c'est à dire pas de mini trip en normandie), la loc est plus avantageuse.

Moi j'ai acheté un planche et 2 voiles, et ca me permet pas de sortir en light, résultat je trimballe mon matos partout en vacances pour très souvent ne même pas pouvoir nav, c'est à te dégouter de l'ingratitude de ce sport!

Je suis à 2h/2h30 en moyenne du spot le plus proche la semaine, et honnêtement y'a pas photo il faut acheter. Si tu loues, tu ne fais rien.


- peu de loc ouvertes l'hiver

- ca vérouille pas mal de destinations

- les horaires...

Du coup il n'est pas facile de covoiturer non plus.


Bref c'est largement plus intéressant d'avoir son matos, tu va où tu veux, à l'heure que tu veux, en fonction du vent, des marées, et des copains.


En plus tu connais mieux ton matos, les réglages.

Niveau casse si le matos est pas trop vieux ça va; je n'ai rien cassé sur la dernière année.

Sur la durée, c'est amorti, sauf qu'en général on a du mal à se retenir quand une bonne affaire passe  


Après si c'est juste pour naviguer pendant les vacances et sur un spot donné, c'est différent.


PS : je viens de voir que tu es en IDF, viens faire une tour sur le KIFF.

Je reviens d'une virée de 2 jours en Normandie, bilan : une nav sous le soleil en 5.0, et une nav sous la pluie en 4.2  

Et généralement, quand on va en mer on se démerde pour trouver les spots qui vont bien donc rien qu'en se limitant à 5.3/4.5 et une planche de vague, tu peux naviguer pas mal, et ca rentre dans l'appart et la voiture  

Pour une pratique saisonnière, mieux vaut louer mais au delà de je dirais 5 nav, il faut acheter..

Je pense en plus de tout ce qui a été dit plus haut que le jour ou tu a acheté du matos tu ne te dis plus:


-ya du vent mais il pleut, un peu la flemme, et puis j'ai pas trente euros, j'ai une soirée ce soir je préfère les garder pour autre chose etc etc...


Quand t'as du matos et qu'il y a du vent, tu te poses pas de question, c'est a l'eau direct....


C'est vrai qu'il faut voir l'achat en relation avec le besoin, ou l'envie appelles ça comme tu veux, mais je pense que le fait d'avoir son matos, ça créé le besoin, ça sublime l'envie, et plus tu vas nav et plus t'en redemande, tu finis par ne vivre que pour ton shoot d'adrénaline, tu vis pour le windsurf, par le windsurf et a travers lui, donc tu déménage près de la mer, tu achètes du nouveau matos en fonction de ta progression et de ton style de nav, pour augmenter les doses d'endorphines et d'adrénaline qui te secouent a chaque fois que tu planes, jibe, saute ou surf... Et comme toute drogue qui se respecte il t'en faut a chaque fois un petit peu plus pour te sentir vivre, car c'est ça en fait qui se passe, tu ne te sent vivant qu'une fois retrouvé le comfort de tes straps, la ligne parfaite de ta board et la sensation si réconfortante de ton wish dans les mains.... Alors tu fais des trips, et tu cherches a échanger avec d'autres addict tes expériences pour retrouver cette sensation perdue une fois a terre, et que tu retrouves a plusieurs une fois sur l'eau....


Maintenant plus rien n'a de gout, a la place des jérémiades de ta femme tu n'entends que le déferlement des vagues prètes a te croquer dans ton dos, ton boulot n'est qu'une sorte de rêve éveillé ou tu te repasses inlassablement les images de ta dernière nav et en imaginant la prochaine, ce que tu vas améliorer, changer, quel matos est le mieux adapté pour tel ou tel spot, tu finis meme par demander a ta femme de t'acheter  un deboichet a 300 euros pour la saint valentin, et les prochaines vacances seront décidées selon les stats de vent du mois en question, cette année tu vas au cap vert tu payes le billet d'avion plus les charges pour amener ton matos avec toi, dans l'avion tu n'arrives pas a dormir, tu as l'impression d'avoir 5 ans la veille de noël...

Tu arrives sur le spot, tu as la gole rien qu'en voyant les vagues parfaites qui se dessinent devant toi, tu nav toute la journée, et tu sais quand tu es en plein surf que cette image resteras gravée dans ta mémoire, dans toute les cellules de ton corps qui te poussent a crier,  a exulter de bonheur, tu te sens trop petit pour contenir toute cette énergie qui te prends au tripes et remonte jusqu'a ta gorge...Alors tu cries, comme un nouveau-né, tu cries car c'est la seule façon de ne pas exploser, car,tu sais que cet instant sera un des plus pur de toute ton existence, tu sais que peut etre jamais plus tu ne ressentiras cela...


Le soir tu te couches et en faisant l'amour a ta femme tu revoit ce souvenir, et l'acte en lui même devient fade et insipide...


45 ans ont passé, tu n'as plus gout a rien,  les seuls souvenir qu'il te reste sont ceux de tes innombrables session, tu est veuf, tu ne voit plus tes enfants, alors tu restes dans un film perpétuel remplit d'eau, d'air et de sensations fortes, comme un substitut  mais en plus pervers, cela t'obsède, tu te fermes a tout et restes seul, jusqu'a l'ultime saut...













Freefly: loue!!!!

baamutdono @ 27/08/2010 - 13h20 a dit:

Je pense en plus de tout ce qui a été dit plus haut que le jour ou tu a acheté du matos tu ne te dis plus:


-ya du vent mais il pleut, un peu la flemme, et puis j'ai pas trente euros, j'ai une soirée ce soir je préfère les garder pour autre chose etc etc...


Quand t'as du matos et qu'il y a du vent, tu te poses pas de question, c'est a l'eau direct....


C'est vrai qu'il faut voir l'achat en relation avec le besoin, ou l'envie appelles ça comme tu veux, mais je pense que le fait d'avoir son matos, ça créé le besoin, ça sublime l'envie, et plus tu vas nav et plus t'en redemande, tu finis par ne vivre que pour ton shoot d'adrénaline, tu vis pour le windsurf, par le windsurf et a travers lui, donc tu déménage près de la mer, tu achètes du nouveau matos en fonction de ta progression et de ton style de nav, pour augmenter les doses d'endorphines et d'adrénaline qui te secouent a chaque fois que tu planes, jibe, saute ou surf... Et comme toute drogue qui se respecte il t'en faut a chaque fois un petit peu plus pour te sentir vivre, car c'est ça en fait qui se passe, tu ne te sent vivant qu'une fois retrouvé le comfort de tes straps, la ligne parfaite de ta board et la sensation si réconfortante de ton wish dans les mains.... Alors tu fais des trips, et tu cherches a échanger avec d'autres addict tes expériences pour retrouver cette sensation perdue une fois a terre, et que tu retrouves a plusieurs une fois sur l'eau....


Maintenant plus rien n'a de gout, a la place des jérémiades de ta femme tu n'entends que le déferlement des vagues prètes a te croquer dans ton dos, ton boulot n'est qu'une sorte de rêve éveillé ou tu te repasses inlassablement les images de ta dernière nav et en imaginant la prochaine, ce que tu vas améliorer, changer, quel matos est le mieux adapté pour tel ou tel spot, tu finis meme par demander a ta femme de t'acheter  un deboichet a 300 euros pour la saint valentin, et les prochaines vacances seront décidées selon les stats de vent du mois en question, cette année tu vas au cap vert tu payes le billet d'avion plus les charges pour amener ton matos avec toi, dans l'avion tu n'arrives pas a dormir, tu as l'impression d'avoir 5 ans la veille de noël...

Tu arrives sur le spot, tu as la gole rien qu'en voyant les vagues parfaites qui se dessinent devant toi, tu nav toute la journée, et tu sais quand tu es en plein surf que cette image resteras gravée dans ta mémoire, dans toute les cellules de ton corps qui te poussent a crier,  a exulter de bonheur, tu te sens trop petit pour contenir toute cette énergie qui te prends au tripes et remonte jusqu'a ta gorge...Alors tu cries, comme un nouveau-né, tu cries car c'est la seule façon de ne pas exploser, car,tu sais que cet instant sera un des plus pur de toute ton existence, tu sais que peut etre jamais plus tu ne ressentiras cela...


Le soir tu te couches et en faisant l'amour a ta femme tu revoit ce souvenir, et l'acte en lui même devient fade et insipide...


45 ans ont passé, tu n'as plus gout a rien,  les seuls souvenir qu'il te reste sont ceux de tes innombrables session, tu est veuf, tu ne voit plus tes enfants, alors tu restes dans un film perpétuel remplit d'eau, d'air et de sensations fortes, comme un substitut  mais en plus pervers, cela t'obsède, tu te fermes a tout et restes seul, jusqu'a l'ultime saut...

Alors toi, t'es un grand malade  


Fuck, on dirait du Hervé Hauss de la grande époque !!!!

baamutdono @ 27/08/2010 - 13h20 a dit:

Je pense en plus de tout ce qui a été dit plus haut que le jour ou tu a acheté du matos tu ne te dis plus:


-ya du vent mais il pleut, un peu la flemme, et puis j'ai pas trente euros, j'ai une soirée ce soir je préfère les garder pour autre chose etc etc...


Quand t'as du matos et qu'il y a du vent, tu te poses pas de question, c'est a l'eau direct....


C'est vrai qu'il faut voir l'achat en relation avec le besoin, ou l'envie appelles ça comme tu veux, mais je pense que le fait d'avoir son matos, ça créé le besoin, ça sublime l'envie, et plus tu vas nav et plus t'en redemande, tu finis par ne vivre que pour ton shoot d'adrénaline, tu vis pour le windsurf, par le windsurf et a travers lui, donc tu déménage près de la mer, tu achètes du nouveau matos en fonction de ta progression et de ton style de nav, pour augmenter les doses d'endorphines et d'adrénaline qui te secouent a chaque fois que tu planes, jibe, saute ou surf... Et comme toute drogue qui se respecte il t'en faut a chaque fois un petit peu plus pour te sentir vivre, car c'est ça en fait qui se passe, tu ne te sent vivant qu'une fois retrouvé le comfort de tes straps, la ligne parfaite de ta board et la sensation si réconfortante de ton wish dans les mains.... Alors tu fais des trips, et tu cherches a échanger avec d'autres addict tes expériences pour retrouver cette sensation perdue une fois a terre, et que tu retrouves a plusieurs une fois sur l'eau....


Maintenant plus rien n'a de gout, a la place des jérémiades de ta femme tu n'entends que le déferlement des vagues prètes a te croquer dans ton dos, ton boulot n'est qu'une sorte de rêve éveillé ou tu te repasses inlassablement les images de ta dernière nav et en imaginant la prochaine, ce que tu vas améliorer, changer, quel matos est le mieux adapté pour tel ou tel spot, tu finis meme par demander a ta femme de t'acheter  un deboichet a 300 euros pour la saint valentin, et les prochaines vacances seront décidées selon les stats de vent du mois en question, cette année tu vas au cap vert tu payes le billet d'avion plus les charges pour amener ton matos avec toi, dans l'avion tu n'arrives pas a dormir, tu as l'impression d'avoir 5 ans la veille de noël...

Tu arrives sur le spot, tu as la gole rien qu'en voyant les vagues parfaites qui se dessinent devant toi, tu nav toute la journée, et tu sais quand tu es en plein surf que cette image resteras gravée dans ta mémoire, dans toute les cellules de ton corps qui te poussent a crier,  a exulter de bonheur, tu te sens trop petit pour contenir toute cette énergie qui te prends au tripes et remonte jusqu'a ta gorge...Alors tu cries, comme un nouveau-né, tu cries car c'est la seule façon de ne pas exploser, car,tu sais que cet instant sera un des plus pur de toute ton existence, tu sais que peut etre jamais plus tu ne ressentiras cela...


Le soir tu te couches et en faisant l'amour a ta femme tu revoit ce souvenir, et l'acte en lui même devient fade et insipide...


45 ans ont passé, tu n'as plus gout a rien,  les seuls souvenir qu'il te reste sont ceux de tes innombrables session, tu est veuf, tu ne voit plus tes enfants, alors tu restes dans un film perpétuel remplit d'eau, d'air et de sensations fortes, comme un substitut  mais en plus pervers, cela t'obsède, tu te fermes a tout et restes seul, jusqu'a l'ultime saut...













Freefly: loue!!!!

ENORME

baamutdono @ 27/08/2010 - 13h20 a dit:

Je pense en plus de tout ce qui a été dit plus haut que le jour ou tu a acheté du matos tu ne te dis plus:


-ya du vent mais il pleut, un peu la flemme, et puis j'ai pas trente euros, j'ai une soirée ce soir je préfère les garder pour autre chose etc etc...


Quand t'as du matos et qu'il y a du vent, tu te poses pas de question, c'est a l'eau direct....


C'est vrai qu'il faut voir l'achat en relation avec le besoin, ou l'envie appelles ça comme tu veux, mais je pense que le fait d'avoir son matos, ça (...)


45 ans ont passé, tu n'as plus gout a rien,  les seuls souvenir qu'il te reste sont ceux de tes innombrables session, tu est veuf, tu ne voit plus tes enfants, alors tu restes dans un film perpétuel remplit d'eau, d'air et de sensations fortes, comme un substitut  mais en plus pervers, cela t'obsède, tu te fermes a tout et restes seul, jusqu'a l'ultime saut...




Freefly: loue!!!!

la vache fait tourner, c'est de la bonne

euh ouais, j'sais pas à quoi tu tournes, mais fais pêter






donc euh ouais je vais louer alors

Bon plus sérieusement. Je vais louer mais c'est vrai qu'après, je sais pas trop à quel moment faut acheter en fait. En plus je voulais en faire cet hiver sur l'étang de Viry-Châtillon car  c'est le moins loin de chez moi, mais si j'achète un truc de débutant trop débutant, je vais devoir le refourguer assez vite pour évoluer (c'est chiant), et au contraire, si j'achete un truc trop technique, je vais me dégouter.


Donc là ce we, je vais sur troyes, mais y'a pas de zef (http://www.windguru.cz/fr/index.php?sc=3637 ) donc pas de planche du coup :/

baamutdono @ 27/08/2010 - 13h20 a dit:

Je pense en plus de tout ce qui a été dit plus haut que le jour ou tu a acheté du matos tu ne te dis plus:


-ya du vent mais il pleut, un peu la flemme, et puis j'ai pas trente euros, j'ai une soirée ce soir je préfère les garder pour autre chose etc etc...


Quand t'as du matos et qu'il y a du vent, tu te poses pas de question, c'est a l'eau direct....


C'est vrai qu'il faut voir l'achat en relation avec le besoin, ou l'envie appelles ça comme tu veux, mais je pense que le fait d'avoir son matos, ça créé le besoin, ça sublime l'envie, et plus tu vas nav et plus t'en redemande, tu finis par ne vivre que pour ton shoot d'adrénaline, tu vis pour le windsurf, par le windsurf et a travers lui, donc tu déménage près de la mer, tu achètes du nouveau matos en fonction de ta progression et de ton style de nav, pour augmenter les doses d'endorphines et d'adrénaline qui te secouent a chaque fois que tu planes, jibe, saute ou surf... Et comme toute drogue qui se respecte il t'en faut a chaque fois un petit peu plus pour te sentir vivre, car c'est ça en fait qui se passe, tu ne te sent vivant qu'une fois retrouvé le comfort de tes straps, la ligne parfaite de ta board et la sensation si réconfortante de ton wish dans les mains.... Alors tu fais des trips, et tu cherches a échanger avec d'autres addict tes expériences pour retrouver cette sensation perdue une fois a terre, et que tu retrouves a plusieurs une fois sur l'eau....


Maintenant plus rien n'a de gout, a la place des jérémiades de ta femme tu n'entends que le déferlement des vagues prètes a te croquer dans ton dos, ton boulot n'est qu'une sorte de rêve éveillé ou tu te repasses inlassablement les images de ta dernière nav et en imaginant la prochaine, ce que tu vas améliorer, changer, quel matos est le mieux adapté pour tel ou tel spot, tu finis meme par demander a ta femme de t'acheter  un deboichet a 300 euros pour la saint valentin, et les prochaines vacances seront décidées selon les stats de vent du mois en question, cette année tu vas au cap vert tu payes le billet d'avion plus les charges pour amener ton matos avec toi, dans l'avion tu n'arrives pas a dormir, tu as l'impression d'avoir 5 ans la veille de noël...

Tu arrives sur le spot, tu as la gole rien qu'en voyant les vagues parfaites qui se dessinent devant toi, tu nav toute la journée, et tu sais quand tu es en plein surf que cette image resteras gravée dans ta mémoire, dans toute les cellules de ton corps qui te poussent a crier,  a exulter de bonheur, tu te sens trop petit pour contenir toute cette énergie qui te prends au tripes et remonte jusqu'a ta gorge...Alors tu cries, comme un nouveau-né, tu cries car c'est la seule façon de ne pas exploser, car,tu sais que cet instant sera un des plus pur de toute ton existence, tu sais que peut etre jamais plus tu ne ressentiras cela...


Le soir tu te couches et en faisant l'amour a ta femme tu revoit ce souvenir, et l'acte en lui même devient fade et insipide...


45 ans ont passé, tu n'as plus gout a rien,  les seuls souvenir qu'il te reste sont ceux de tes innombrables session, tu est veuf, tu ne voit plus tes enfants, alors tu restes dans un film perpétuel remplit d'eau, d'air et de sensations fortes, comme un substitut  mais en plus pervers, cela t'obsède, tu te fermes a tout et restes seul, jusqu'a l'ultime saut...













Freefly: loue!!!!

Bel effort littéraire.  


Mais  il y a beaucoup de vrai...


Avant je faisais des petites sorties à Beauduc, à Leucate, je naviguais à Lyon, et même à Monteynard. J'ai tenté de naviguer au Jaï (mais c'est pas navigable). Le port de la Grande-Motte, Le Boucanet, la Plage Sud de Port-Camargue, La baie du Grau du Roi, les Aresquiers. J'ai osé l'Aber-Wrac'h, (c'est mieux que le Jaï - prononcer « Abèr Vrak))

Mais la guerre familiale faisant rage, j'ai du céder des territoires, et je suis restreint à un spot. Mais la résistance s'est organisée via la Formula et les petites toiles de 11 m² (et les petits ailerons de 70 cm).

Je lâcherai pas.

Maintenant quand on me dit : "tu viens à la plage te faire c.... avec nous, y'a que 6 nds ?". Je réponds : "6 nds, super je vais être au taquet tout l'après midi !"


Finalement, achète le matos, c'est un rempart contre l'adversité, si tu ne l'a pas tu risques le pire : la tentation de ne pas naviguer, voire d'arrêter (si, il  y a en a qui ont arrêté sous la pression sociale).

c'est quelle marque les formula? Je vais chercher sur le fofo. En gros ça marche fort quand y'a pas trop de vent? limite moi ça m'irait en fait ça!



euh ça a pas l'air du tout fais pour moi pour le moment, je vais regarder pour comprendre ce que c'est par contre...

baamutdono @ 27/08/2010 - 13h20 a dit:

Je ...













Freefly: loue!!!!

C'est de la prose !!!! à faire pâlir Ouazon !!

Ah ouais si tu va toujours sur la même flaque et que tu débutes, il vaut mieux louer, au moins au début. Si tu passes l'hiver, et que tu es encore mordu, là tu pourra acheter, je pense que tu aura largement les bases.

Et après tu verra la mer, c'est tellement mieux, tu pourra plus t'en passer  


Tu as aussi oublié une voie tierce : les clubs de voile. Tu paies une cottise à l'année (variable selon les clubs, dans le mien c'est de l'ordre de 180€/an ca paie l'essence, l'encadrement et l'entretien) et une license (là c'est la FFV qui te la vend par le biais du club, c'est quasi 50€).

Après tu navigues tous les samedi, voire les dimanches, avec de la sécu, des conseils et une émulation collective.

Inconvénient : tu ne choisis pas le spot ni les conditions, c'est toujours le même endroit qu'il y ait 5 ou 25nds, off ou onshore. Et le matos se limite généralement à des grosses planches.


ps : enorme ton laius baatmundo, moi j'en suis à l'étape 2, j'ai pas encore pris l'avion pour le cap vert   (mais j'y rêve quand il fait -10°c en février)

La suite fait peur  

bon on est pas obligés de saborder sa vie pour la planche, ça n'est pas une fatalité


heureusement, comme dit un bon pote, y'a pas que la planche dans la vie


et des fois la vie se charge de vous le rappeler sérieusement...