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Libération de Julian Assange
- Le concombre masqué
- Timide
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Libération de Julian Assange
C'est une des rares bonnes nouvelles entendues aux infos ces derniers jours.
Petit rappel de la lettre que Assange avait adressé au président de la république de l'époque, un certain François Hollande qui lui a refusé l'asile politique.
Les corréziens seraient bien inspirés de ne pas voter pour cette ordure dimanche prochain.
Principaux extraits de la lettre publiée dans le monde en juillet 2015 :
Monsieur le président de la République, j’ai l’honneur de vous écrire et, à travers vous, de m’adresser au peuple français.
Mon nom est Julian Paul Assange. Je suis né le 3 juillet 1971 à Townsville, en Australie. Je suis un journaliste poursuivi et menacé de mort par les autorités états-uniennes du fait de mes activités professionnelles. Je n’ai jamais été formellement accusé d’un délit ou d’un crime de droit commun, nulle part dans le monde, y compris en Suède ou au Royaume-Uni.
Je suis le fondateur de WikiLeaks.
En avril 2010, je décide de publier une vidéo intitulée « Collateral murder ». Celle-ci montre le massacre de plusieurs civils, dont deux employés de Reuters, et les graves blessures de plusieurs enfants par des soldats états-uniens en Irak. Les images, filmées depuis un hélicoptère, sont difficilement soutenables. Elles s’accompagnent des rires et des commentaires sarcastiques de ceux qui sont en train de commettre ces crimes. Elles font le tour du monde et révèlent brutalement l’inhumanité d’une guerre qui a déjà fait plusieurs centaines de milliers de victimes.
Dès le lendemain, à travers des menaces de mort précises et ciblées, une persécution politique d’une ampleur inédite est lancée contre moi et les principaux employés de WikiLeaks. Elle n’a, depuis, jamais cessé. L’énumération des actions menées contre mon organisation, mes proches et moi-même ne permet pas d’en saisir toute la violence, mais peut-être en donne-t-elle une idée : appels à mon exécution, à mon kidnapping, et à mon emprisonnement pour espionnage par de hauts responsables politiques et administratifs états-uniens, vols d’informations, de documents et de biens, attaques informatiques répétées, infiltrations successives, interdiction illégale à l’ensemble des plateformes de paiement de procéder à des dons envers mon organisation, surveillance permanente de mes moindres faits et gestes et de mes communications électroniques, poursuites judiciaires inconsidérées se prolongeant depuis plus de cinq ans sans possibilité de me défendre, campagnes de diffamation, menaces physiques répétées, fouilles et harcèlement de mes avocats, etc. (…)
Ces persécutions sont pourtant bien réelles. Elles ont été documentées par une infinité d’organisations, fait l’objet de rapports internationaux et de décisions judiciaires, ont été substantiellement admises par les autorités concernées, et souvent même revendiquées. Érigées en véritable politique par le gouvernement états-unien, elles se sont depuis étendues au-delà de mon cas et de WikiLeaks : l’administration Obama a ainsi poursuivi plus de journalistes et de sources lors de ses deux mandats successifs que tous les gouvernements états-uniens précédents réunis. (…)
Pour le simple fait d’avoir publié des informations d’intérêt public que des sources anonymes avaient transmises à WikiLeaks, je suis personnellement poursuivi pour espionnage, conspiration visant à espionner, vol ou compromission de propriété du gouvernement états-unien, violation de la loi sur la fraude informatique, et conspiration générale, risquant pour cela l’emprisonnement à vie ou pire. Les Etats-Unis ont depuis étendu leur enquête pour y inclure l’assistance que j’aurai offerte à M. Snowden pour préserver sa vie et lui faire obtenir l’asile ; et il en est, selon plusieurs sources journalistiques, déjà de même en ce qui concerne les publications des FranceLeaks concernant les écoutes qui vous ont touché, Monsieur le président. (…)
Les persécutions qui s’en sont suivies m’ont forcé à demander l’asile au sein de l’ambassade d’Equateur à Londres, en juin 2012, pour éviter une extradition vers les Etats-Unis qui devenait à chaque heure plus probable. Après deux mois d’étude approfondie, le ministère des affaires étrangères de l’Équateur a considéré que la persécution qui était menée à mon encontre du fait de mes croyances et de mes activités politiques était réelle, et que les risques d’extradition vers les Etats-Unis ainsi que les mauvais traitements qui s’en suivraient étaient majeurs. J’ai depuis reçu la confirmation informelle que les poursuites menées aux Etats-Unis étaient réelles et avaient débouché sur un acte d’accusation formel maintenu pour l’instant sous scellés.
Dénué de l’assistance consulaire et de la protection que me devait mon pays d’origine, l’Australie – où le gouvernement a été sujet à des critiques d’une ampleur inédite suite à sa tentative de me retirer mon passeport en 2010, jusqu’à devoir faire marche arrière et se justifier –, je demeure depuis maintenant trois ans et dix jours au sein de cette ambassade.
J’y dispose de cinq mètres carrés et demi pour mes usages privatifs. L’accès à l’air libre, au soleil, m’a été interdit par les autorités du Royaume-Uni ; ainsi que toute possibilité de me rendre à un hôpital ; je n’ai pu utiliser le balcon du rez-de-chaussée de l’appartement que trois fois depuis mon refuge, à mes risques et périls, et n’ai jamais été autorisé à sortir pour faire de l’exercice. (…)
Mes proches, y compris mes enfants, n’ont pas pu me rendre visite depuis, du fait de cette situation. (…)
Le Royaume-Uni refuse de reconnaître mon asile et de garantir ma non-extradition aux Etats-Unis, violant la convention de 1951, et se refuse par ailleurs à confirmer ou à infirmer la réception d’une demande d’extradition de la part des Etats-Unis d’Amérique. Il en va de même pour le gouvernement suédois qui, à l’ONU, a refusé de garantir ma non-extradition dans le cas où je m’y rendrais. La Suède comme le Royaume-Uni ont annoncé à plusieurs reprises qu’ils demanderaient mon arrestation dès que je sortirai de l’ambassade, ces derniers le réaffirmant « quel que soit le résultat de l’enquête suédoise ».
Cela, alors que je n’ai été formellement accusé d’aucun crime ni délit dans aucun des deux pays.(…)
C’est pourquoi j’ai été particulièrement touché par l’appel inattendu du gouvernement français, par la voie de la ministre de la justice et garde des sceaux Christiane Taubira, et relayé par des dizaines d’autres personnalités, à ce que la France me donne l’asile. Gardienne d’une constitution qui oblige la France à accueillir les combattants pour la liberté menacés de leur vie, d’une constitution qui oblige le monde à ouvrir les yeux par la noblesse d’une telle exigence, elle a ouvert une voie qui, je l’espère, ne se refermera pas.
En m’accueillant, la France accomplirait un geste humanitaire mais aussi probablement symbolique, envoyant un encouragement à tous les journalistes et lanceurs d’alerte qui, de par le monde, risquent leur vie au quotidien pour permettre à leurs concitoyens de faire un pas de plus vers la vérité.
Elle enverrait aussi un signal à tous ceux qui, de par le monde, saisis par l’hubris, trahissent leurs valeurs en s’attaquant incessamment aux citoyens qui s’y refusent.
La France a longtemps été porteuse d’espérance et de singularité pour de nombreux peuples et individus de par le monde. Ses mythes nourrissent encore aujourd’hui bien des enfances. Mes liens avec ce pays ne sont pas seulement idéels. De 2007 jusqu’à la perte de ma liberté en 2010, j’y ai résidé. Nos structures techniques y sont encore installées.
Mon plus jeune enfant et sa mère sont français. Je n’ai pas pu les voir depuis maintenant cinq ans, depuis que la persécution politique à mon égard a commencé. (…)
Ma vie est aujourd’hui en danger, Monsieur le président, et mon intégrité, physique comme psychologique, est, chaque jour qui passe, un peu plus menacée.
Seule la France se trouve aujourd’hui en mesure de m’offrir la protection nécessaire contre, et exclusivement contre, les persécutions politiques dont je fais aujourd’hui l’objet. En tant qu’Etat membre de l’Union européenne, en tant que pays engagé par toute son histoire dans la lutte pour les valeurs que j’ai faites miennes, en tant que cinquième puissance mondiale, en tant que pays qui a marqué ma vie et qui en accueille une partie, la France peut, si elle le souhaite, agir.
Petit rappel de la lettre que Assange avait adressé au président de la république de l'époque, un certain François Hollande qui lui a refusé l'asile politique.
Les corréziens seraient bien inspirés de ne pas voter pour cette ordure dimanche prochain.
Principaux extraits de la lettre publiée dans le monde en juillet 2015 :
Monsieur le président de la République, j’ai l’honneur de vous écrire et, à travers vous, de m’adresser au peuple français.
Mon nom est Julian Paul Assange. Je suis né le 3 juillet 1971 à Townsville, en Australie. Je suis un journaliste poursuivi et menacé de mort par les autorités états-uniennes du fait de mes activités professionnelles. Je n’ai jamais été formellement accusé d’un délit ou d’un crime de droit commun, nulle part dans le monde, y compris en Suède ou au Royaume-Uni.
Je suis le fondateur de WikiLeaks.
En avril 2010, je décide de publier une vidéo intitulée « Collateral murder ». Celle-ci montre le massacre de plusieurs civils, dont deux employés de Reuters, et les graves blessures de plusieurs enfants par des soldats états-uniens en Irak. Les images, filmées depuis un hélicoptère, sont difficilement soutenables. Elles s’accompagnent des rires et des commentaires sarcastiques de ceux qui sont en train de commettre ces crimes. Elles font le tour du monde et révèlent brutalement l’inhumanité d’une guerre qui a déjà fait plusieurs centaines de milliers de victimes.
Dès le lendemain, à travers des menaces de mort précises et ciblées, une persécution politique d’une ampleur inédite est lancée contre moi et les principaux employés de WikiLeaks. Elle n’a, depuis, jamais cessé. L’énumération des actions menées contre mon organisation, mes proches et moi-même ne permet pas d’en saisir toute la violence, mais peut-être en donne-t-elle une idée : appels à mon exécution, à mon kidnapping, et à mon emprisonnement pour espionnage par de hauts responsables politiques et administratifs états-uniens, vols d’informations, de documents et de biens, attaques informatiques répétées, infiltrations successives, interdiction illégale à l’ensemble des plateformes de paiement de procéder à des dons envers mon organisation, surveillance permanente de mes moindres faits et gestes et de mes communications électroniques, poursuites judiciaires inconsidérées se prolongeant depuis plus de cinq ans sans possibilité de me défendre, campagnes de diffamation, menaces physiques répétées, fouilles et harcèlement de mes avocats, etc. (…)
Ces persécutions sont pourtant bien réelles. Elles ont été documentées par une infinité d’organisations, fait l’objet de rapports internationaux et de décisions judiciaires, ont été substantiellement admises par les autorités concernées, et souvent même revendiquées. Érigées en véritable politique par le gouvernement états-unien, elles se sont depuis étendues au-delà de mon cas et de WikiLeaks : l’administration Obama a ainsi poursuivi plus de journalistes et de sources lors de ses deux mandats successifs que tous les gouvernements états-uniens précédents réunis. (…)
Pour le simple fait d’avoir publié des informations d’intérêt public que des sources anonymes avaient transmises à WikiLeaks, je suis personnellement poursuivi pour espionnage, conspiration visant à espionner, vol ou compromission de propriété du gouvernement états-unien, violation de la loi sur la fraude informatique, et conspiration générale, risquant pour cela l’emprisonnement à vie ou pire. Les Etats-Unis ont depuis étendu leur enquête pour y inclure l’assistance que j’aurai offerte à M. Snowden pour préserver sa vie et lui faire obtenir l’asile ; et il en est, selon plusieurs sources journalistiques, déjà de même en ce qui concerne les publications des FranceLeaks concernant les écoutes qui vous ont touché, Monsieur le président. (…)
Les persécutions qui s’en sont suivies m’ont forcé à demander l’asile au sein de l’ambassade d’Equateur à Londres, en juin 2012, pour éviter une extradition vers les Etats-Unis qui devenait à chaque heure plus probable. Après deux mois d’étude approfondie, le ministère des affaires étrangères de l’Équateur a considéré que la persécution qui était menée à mon encontre du fait de mes croyances et de mes activités politiques était réelle, et que les risques d’extradition vers les Etats-Unis ainsi que les mauvais traitements qui s’en suivraient étaient majeurs. J’ai depuis reçu la confirmation informelle que les poursuites menées aux Etats-Unis étaient réelles et avaient débouché sur un acte d’accusation formel maintenu pour l’instant sous scellés.
Dénué de l’assistance consulaire et de la protection que me devait mon pays d’origine, l’Australie – où le gouvernement a été sujet à des critiques d’une ampleur inédite suite à sa tentative de me retirer mon passeport en 2010, jusqu’à devoir faire marche arrière et se justifier –, je demeure depuis maintenant trois ans et dix jours au sein de cette ambassade.
J’y dispose de cinq mètres carrés et demi pour mes usages privatifs. L’accès à l’air libre, au soleil, m’a été interdit par les autorités du Royaume-Uni ; ainsi que toute possibilité de me rendre à un hôpital ; je n’ai pu utiliser le balcon du rez-de-chaussée de l’appartement que trois fois depuis mon refuge, à mes risques et périls, et n’ai jamais été autorisé à sortir pour faire de l’exercice. (…)
Mes proches, y compris mes enfants, n’ont pas pu me rendre visite depuis, du fait de cette situation. (…)
Le Royaume-Uni refuse de reconnaître mon asile et de garantir ma non-extradition aux Etats-Unis, violant la convention de 1951, et se refuse par ailleurs à confirmer ou à infirmer la réception d’une demande d’extradition de la part des Etats-Unis d’Amérique. Il en va de même pour le gouvernement suédois qui, à l’ONU, a refusé de garantir ma non-extradition dans le cas où je m’y rendrais. La Suède comme le Royaume-Uni ont annoncé à plusieurs reprises qu’ils demanderaient mon arrestation dès que je sortirai de l’ambassade, ces derniers le réaffirmant « quel que soit le résultat de l’enquête suédoise ».
Cela, alors que je n’ai été formellement accusé d’aucun crime ni délit dans aucun des deux pays.(…)
C’est pourquoi j’ai été particulièrement touché par l’appel inattendu du gouvernement français, par la voie de la ministre de la justice et garde des sceaux Christiane Taubira, et relayé par des dizaines d’autres personnalités, à ce que la France me donne l’asile. Gardienne d’une constitution qui oblige la France à accueillir les combattants pour la liberté menacés de leur vie, d’une constitution qui oblige le monde à ouvrir les yeux par la noblesse d’une telle exigence, elle a ouvert une voie qui, je l’espère, ne se refermera pas.
En m’accueillant, la France accomplirait un geste humanitaire mais aussi probablement symbolique, envoyant un encouragement à tous les journalistes et lanceurs d’alerte qui, de par le monde, risquent leur vie au quotidien pour permettre à leurs concitoyens de faire un pas de plus vers la vérité.
Elle enverrait aussi un signal à tous ceux qui, de par le monde, saisis par l’hubris, trahissent leurs valeurs en s’attaquant incessamment aux citoyens qui s’y refusent.
La France a longtemps été porteuse d’espérance et de singularité pour de nombreux peuples et individus de par le monde. Ses mythes nourrissent encore aujourd’hui bien des enfances. Mes liens avec ce pays ne sont pas seulement idéels. De 2007 jusqu’à la perte de ma liberté en 2010, j’y ai résidé. Nos structures techniques y sont encore installées.
Mon plus jeune enfant et sa mère sont français. Je n’ai pas pu les voir depuis maintenant cinq ans, depuis que la persécution politique à mon égard a commencé. (…)
Ma vie est aujourd’hui en danger, Monsieur le président, et mon intégrité, physique comme psychologique, est, chaque jour qui passe, un peu plus menacée.
Seule la France se trouve aujourd’hui en mesure de m’offrir la protection nécessaire contre, et exclusivement contre, les persécutions politiques dont je fais aujourd’hui l’objet. En tant qu’Etat membre de l’Union européenne, en tant que pays engagé par toute son histoire dans la lutte pour les valeurs que j’ai faites miennes, en tant que cinquième puissance mondiale, en tant que pays qui a marqué ma vie et qui en accueille une partie, la France peut, si elle le souhaite, agir.
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- Killer
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Re: Libération de Julian Assange
Oui c'est bien que ca se termine cette histoire. Et si il a mis la lumiere dans ce que font en douce les US (comme beaucoup d'autres d'ailleurs), il a aussi entraine ma mort d'un paquet de collaborants en Irak ou Afganistan en publiant des listes de noms secretes. Bref, il a pas paye cher pour ce qu'il a fait.
En fait il a de la chance d'avoir fait ca aux USA plutot qu'en Russie par exemple car la conclusion aurait ete tres differente pour lui... La il est libre. Il peut apprecier. Il est moins dangereux de denoncer les exces des democraties que ceux des dictatures...
En fait il a de la chance d'avoir fait ca aux USA plutot qu'en Russie par exemple car la conclusion aurait ete tres differente pour lui... La il est libre. Il peut apprecier. Il est moins dangereux de denoncer les exces des democraties que ceux des dictatures...
- Le concombre masqué
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Re: Libération de Julian Assange
En parlant de démocratie, tu vas suivre le débat Biden / Trump ce soir ?
Je sais, ça relève du masochisme mais au cas où, tu nous raconteras.
Ça se passe dans un EHPAD ?
Je sais, ça relève du masochisme mais au cas où, tu nous raconteras.
Ça se passe dans un EHPAD ?
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- Killer
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Re: Libération de Julian Assange
Ca ne risque pas. Je connais leurs programmes de toute facon. Je sais aussi qui mets ses momes et sa famille au gouvernement et a la tete du partie comme le president d'une republique banariere et qui ne le fait pas. Ou qui se bat les couilles de la constitution et pense qu'elle devrait etre mis en pause quand necessaire. Qui a tente de faire un coups d'etat meme si aussi molasson que sa petite bite. Qui serait deja en tole si pas autant de juges nommes par lui meme n'avaient ralentis les procedures. [je pourrais faire 100 pages mais c'est pas la peine]. Bref, Trump c'est jamais jamais jamias. Biden pourrait etre une momie je voterais pour lui (et surtout son equipe qui fait un super boulot).Le concombre masqué a écrit : ↑27 juin 2024, 13:17 En parlant de démocratie, tu vas suivre le débat Biden / Trump ce soir ?
Je sais, ça relève du masochisme mais au cas où, tu nous raconteras.
Ça se passe dans un EHPAD ?
Re: Libération de Julian Assange
OK pour le super boulot de l'équipe de Biden !
Il y a longtemps qu'il n'y en avait pas eu une de cette carrure.
Il y a longtemps qu'il n'y en avait pas eu une de cette carrure.
- Le concombre masqué
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Re: Libération de Julian Assange
Je ne crois pas que ce soit de la propagande russe, il se murmure que Biden a offert une prestation calamiteuse dans le débat qui l'opposait à Trump.
Un court extrait lu dans le Monde qui est un des médias les moins sévères :
Joe Biden devait en particulier rassurer sur sa vitalité et sa santé et, à cet égard, sa prestation jeudi a tout d’une occasion manquée. « Ça a été un début laborieux, c’est évident pour tout le monde, je ne le conteste pas », a reconnu la vice-présidente, Kamala Harris
Ce serait même la panique dans le camp démocrate qui chercherait à remplacer Biden.
Bref tout le monde le sait depuis 4 ans, Biden est sénile.
Un court extrait lu dans le Monde qui est un des médias les moins sévères :
Joe Biden devait en particulier rassurer sur sa vitalité et sa santé et, à cet égard, sa prestation jeudi a tout d’une occasion manquée. « Ça a été un début laborieux, c’est évident pour tout le monde, je ne le conteste pas », a reconnu la vice-présidente, Kamala Harris
Ce serait même la panique dans le camp démocrate qui chercherait à remplacer Biden.
Bref tout le monde le sait depuis 4 ans, Biden est sénile.
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- Jiber
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Re: Libération de Julian Assange
Après, qu'est-ce qui est mieux, un vieux sénile momifié avec une bonne équipe dynamique en coulisses, ou un jeune coq survitaminé qui court partout avec une équipe de cloportes qui font dans leur froc en coulisses ?
Reste que la momie est toujours là, alors le jeune coq lui, a pris du plomb dans l'aile...
Reste que la momie est toujours là, alors le jeune coq lui, a pris du plomb dans l'aile...
Re: Libération de Julian Assange
fafouffle!!! a écrit : ↑28 juin 2024, 14:06 Après, qu'est-ce qui est mieux, un vieux sénile momifié avec une bonne équipe dynamique en coulisses, ou un VIEUX coq Sous Stéroides qui court partout avec une équipe de cloportes qui font dans leur froc en coulisses ?
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Re: Libération de Julian Assange
Bah le truc surtout c'est que Trump, outre etre quasi incapable d'aligner une phrase sans mentir effrontemment (au moins il restait comprehensible remarque) ne repondait pas a la moindre question des extraits que j'ai pu voir. Au final il aura fait son boulot (les MAGots se moquent de la realite) alors que Biden a montre a quel point il est bon pour une vrai retraite. Il faut vraiment esperer que le parti democrate reviennent sur terre et trouve un nouveau candidat. .. Ou que Biden meurt vite avant l'election...Papounet a écrit : ↑28 juin 2024, 16:13fafouffle!!! a écrit : ↑28 juin 2024, 14:06 Après, qu'est-ce qui est mieux, un vieux sénile momifié avec une bonne équipe dynamique en coulisses, ou un VIEUX coq Sous Stéroides qui court partout avec une équipe de cloportes qui font dans leur froc en coulisses ?
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Re: Libération de Julian Assange
On ne peut qu'esperer... Il y a trop en jeu.Le concombre masqué a écrit : ↑28 juin 2024, 10:52 Ce serait même la panique dans le camp démocrate qui chercherait à remplacer Biden.
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- Jiber
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Re: Libération de Julian Assange
Y a gourance les gars, je comparais Biden, vieille momie avec une équipe qui fait le job, et Macron, jeune coq qui se veut maître après Dieu avec une équipe qui ne peut rien faire sans l'aval de son maître, qui barbote dans son sillage et qui a finit par boire la tasse.
- Le concombre masqué
- Timide
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Re: Libération de Julian Assange
Les mensonges de Trump ont été relevés par quasi tous les médias.
Sur le plan intérieur, je comprends ton appréhension de revoir un tel personnage aux manettes.
Mais égoïstement en tant que français, je préfère un Trump non interventionniste sur le plan extérieur à un parti démocrate belliciste.
Il reste un 3ème candidat qui lui n'a que 70 ans, Robert Kennedy Jr.
Sur le plan intérieur, je comprends ton appréhension de revoir un tel personnage aux manettes.
Mais égoïstement en tant que français, je préfère un Trump non interventionniste sur le plan extérieur à un parti démocrate belliciste.
Il reste un 3ème candidat qui lui n'a que 70 ans, Robert Kennedy Jr.
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- Killer
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Re: Libération de Julian Assange
Alors la je me mefierai. Trump suis le courant populiste. Si il y besoin d'une bonne querre il n'hesiterait pas un instant a envoyer la jeunesse ricaine se faire trucider. Il voulait notamment envoyer les troupes au Mexique si tu te souviens bien. Le Mexique ca va, la Chine serait plus problematique. Les veterans sont juste des losers de toute facon selon lui. Il ne comprends par qu'on puisse faire quelque chose au dela de son petit interet personnel.Le concombre masqué a écrit : ↑28 juin 2024, 20:55 Mais égoïstement en tant que français, je préfère un Trump non interventionniste sur le plan extérieur à un parti démocrate belliciste.
Kennedy et son cerveau vereux (literallement ), a la ramasse, denonce par toute sa famille comme le cousin complotiste de la famille, non on va passer